Macron et les VTC Uber
Le Ministre Macron préfère la disparition des artisans Taxis qui paient leurs impôts en France, au système mafieux Uber qui planque ses bénéfices dans les paradis fiscaux.
Depuis plus de sept mois, un conflit oppose le Californien Uber, société de véhicules avec chauffeurs (VTC) et les taxis traditionnels
Ces derniers dénoncent une concurrence déloyale (coûts d’installation quasi inexistants, formation très allégée…)
Le gouvernement semble avoir choisi son camp en assouplissant encore les conditions pour devenir VTC.
A l’As Vegas, Emmanuel Macron a même défendu le modèle Uber, qui permettrait à des jeunes sans formation d’accéder à une activité économique… sans préciser que, bien souvent, les chauffeurs VTC se contentent d’un salaire dérisoire, quand les profits d’Uber explosent.
Et que la start-up ne paie pas d’impôts sur les bénéfices en France, des taxis ont bloqué l’accès à Orly à la suite d’une agression de l’un d’entre eux par un VTC.
Une dizaine d’organisations syndicales (dont la CGT, CFDT et SUD) ont appelé à une mobilisation nationale, le 26 janvier, pour demander l’interdiction des voitures pour touristes avec chauffeurs afin d’éviter « la destruction de leur métier »