Ce qu'il est nécessaire de savoir: C'est que le PS et sa gauche caviar, s'est vendu a Macron et la droite UMP/UDI/MoDem, qu'il représente, y compris extrémiste Alain MADELIN le fondateur d'OCCIDENT et des clubs de casseurs étudiants d'extrême droite..
Nous vous avons bien eu !!! Ils viendront dire qu'ils ont été mis en place par le PS de Hollande, Valls et les autres "les bons socialistes"
Le 7 mai 2017 "Emmanuel macron" le 8 mai "Emmanuel Ma-Pen"
(I)
Lorsque E. Macron veut faire du "neuf" avec des vieux routards de la politique de 70 ans et plus, allant de la droite excessive à son extrême jusqu'à la gauche caviar...
Cela promet du sport pour un avenir proche !
C’est un 49-3 qui nous retombe dessus, avec comme tireur de ficelles, rien de mieux qu’un Jean-Paul Delevoye l’homme aux multiples facettes, né en 1947 comme le RPF de De Gaulle, l’UNR de 1958,il servi toujours à droite de l’UD 5e République en 1967, l’UDR-UDT en 1968 au RPR en 1976,de l’UMP en 2002 et le LR en 2015.
Enfin, toujours le même parti politique de droite qui a changé de nom depuis 1967/68 à chaque fois qu’il y avait des scandales financiers, faux emplois, travail fictif et autres.
Aujourd’hui il sert « En Marche » pour faire oublier son « passé micmac » et de ses prises de positions de politique de droite anti-sociale pendant plus de 55 années. Il arrive tous neuf à 70 ans chez Emmanuel Macron pour faire une politique « nouvelle »
Pour les travailleurs, contre la grande finance et le grand patronat. « Hum !!! » Il y a beaucoup à réfléchir et à revoir cela de prêt !
Quant à M. Valls, alors qu’il n’a jamais eu que pour métier « la politique » bien rémunéré par le PS, il se raccroche difficilement aux branches en se retournant vers En marche, après avoir trahi son parti, la langue léchant le sol pour essayer ne pas aller pointer à Pôle Emploi.
C’est encore un gaillard qui croit, qu’à force de cracher en l’air, on le reçoit jamais sur le nez.
Quelques exemples de nos « acheteurs de vestes réversibles » dans l’équipe de supporteurs du nouveau Président de la République Française. Emmanuel MACRON.
Alain Madelin (71 ans)
Alain Madelin se présente à l’élection présidentielle de 2002, où il obtient 3,91 % des suffrages exprimés. Ce score étant inférieur à 5 %, il n'obtient pas le remboursement d'une grande partie de ses frais de campagne. Il se rallie à l’UMP en 2002. Au sein de ce parti, il incarne la ligne libérale en étant membre du courant « Les réformateurs »
3 fois pour un essai et le ralliement en fin de course, après être passé par Juppé, Fillon et Macron..
François Bayrou (66 ans)
Le mulet du MoDem, premier porteur des valises d’Emmanuel Macron à qui il a proposé une alliance pour éviter la « dispersion des voix » lors d’une déclaration le 22 février 2017,
Il pose quatre exigences pour cette proposition (à savoir une véritable alternance dans les pratiques politiques, une loi sur la moralisation de la vie publique, l'amélioration de la rémunération du travail et l'introduction de la proportionnelle pour les législatives. Emmanuel Macron accepte aussitôt sa proposition. La décision du président du MoDem est toutefois critiquée par des élus de droite et de gauche, en raison notamment de l'incohérence avec ses déclarations passées à l'égard de l'ancien ministre de l’Economie.
Celui, qui après 3 essais infructueux aux présidentielles, pensait par ses redondances envers E.M se payer un mandarin dans son futur gouvernement. Pas de chance pour lui, il reste coincé dans l’encoignure de la première porte, après l’élection du nouvel homme de droite anti ouvrière et pro-Medef. Après s’être mis à plat ventre devant les gros bras d’E.M, il réussit difficilement à récupérer une centaine d’investitures (pas toutes gagnables loin de là).
Il pose quatre exigences pour cette proposition (à savoir une véritable alternance dans les pratiques politiques, une loi sur la moralisation de la vie publique, l'amélioration de la rémunération du travail et l'introduction de la proportionnelle pour les législatives.; Emmanuel Macron accepte aussitôt sa proposition. La décision du président du MoDem est critiquée, en raison de l'incohérence avec ses déclarations passées à l'égard de l'ancien ministre de l’économie.
Jean-Paul Delevoye (70 ans)
Président du conseil économique, social et environnemental (2010-2015). Ancien médiateur de la République (2004-2010) et ancien membre de l'UMP, maire de Bapaume et sénateur président de l'Association des maires de France (de 1992 à 2002)
Ministre de la Fonction Publique, de la Réforme de l'État et de l'Aménagement du territoire de Jean-Pierre Raffarin (2002-2004)
Maire de Bapaume. Il a été également conseiller régional, conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais, président de la Communauté de communes de la région de Bapaume (élargie à la Communauté de communes du Sud Artois à partir de 2013, et qu'il préside également) et président de l’Association des maires de France (1992-2002)
Il est député du Pas-de-Calais de 1986 à 1988. Sénateur de 1992 à 2002, président du groupe des sénateurs-maires, il dirige le rapport « Cohésion sociale et Territoire » pour le commissariat au plan en 1999.
Il préside la mission sénatoriale d’information chargée de dresser le bilan de la décentralisation et de proposer les améliorations de nature à faciliter l’exercice des compétences locales en 1999-2000. Il conduit également le groupe d’étude sur la responsabilité pénale des décideurs publics au ministère de la justice. En 1998, il participe à l’étude « Pour une approche globale du temps de l’enfant : l’expérimentation des rythmes scolaires ».
Soutenu par Chirac Président, il brigue en décembre 1999 la présidence du RPR, mais il est battu par Michèle Alliot-Marie, qui recueille 62,7 % des voix des militants au second tour. Il intègre l’UMP en 2002.
Marie-Anne Monchamp (60 ans)