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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Ce qu'il est nécessaire de savoir: C'est que le PS et sa gauche caviar, s'est vendu a Macron et la droite UMP/UDI/MoDem, qu'il représente, y compris extrémiste Alain MADELIN le fondateur d'OCCIDENT et des clubs de casseurs étudiants d'extrême droite..

14 Mai 2017, 19:10pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Nous vous avons bien eu !!! Ils viendront dire qu'ils ont été mis en place par le PS de Hollande, Valls et les autres "les bons socialistes"Nous vous avons bien eu !!! Ils viendront dire qu'ils ont été mis en place par le PS de Hollande, Valls et les autres "les bons socialistes"Nous vous avons bien eu !!! Ils viendront dire qu'ils ont été mis en place par le PS de Hollande, Valls et les autres "les bons socialistes"

Nous vous avons bien eu !!! Ils viendront dire qu'ils ont été mis en place par le PS de Hollande, Valls et les autres "les bons socialistes"

Le 7 mai 2017 "Emmanuel macron" le 8 mai "Emmanuel Ma-Pen" 

 

(I) 

Lorsque E. Macron veut faire du "neuf" avec des vieux routards de la politique de 70 ans et plus, allant de la droite excessive à son extrême jusqu'à la gauche caviar... 

Cela promet du sport pour un avenir proche !
C’est un 49-3 qui nous retombe dessus,  avec comme tireur de ficelles, rien de mieux qu’un Jean-Paul Delevoye l’homme aux multiples facettes, né en 1947 comme le RPF de De Gaulle, l’UNR de 1958,il servi toujours à droite de l’UD 5e République en 1967, l’UDR-UDT en 1968 au RPR en 1976,de l’UMP en 2002 et le LR en 2015.
Enfin, toujours le même parti politique de droite qui a changé de nom depuis 1967/68 à chaque fois qu’il y avait des scandales financiers, faux emplois, travail fictif et autres.


Aujourd’hui il sert « En Marche » pour faire oublier son « passé micmac » et de ses prises de positions de politique de droite anti-sociale pendant plus de 55 années. Il arrive tous neuf à 70 ans chez Emmanuel Macron pour faire une politique « nouvelle »


Pour les travailleurs, contre la grande finance et le grand patronat. « Hum !!! » Il y a beaucoup à réfléchir et à revoir cela de prêt !
 

Quant à M. Valls, alors qu’il n’a jamais eu que pour métier « la politique » bien rémunéré par le PS, il se raccroche difficilement aux branches en se retournant vers En marche, après avoir trahi son parti, la langue léchant le sol pour essayer ne pas aller pointer à Pôle Emploi.

C’est encore un gaillard qui croit, qu’à force de cracher en l’air, on le reçoit jamais sur le nez.

Quelques exemples de nos « acheteurs de vestes réversibles » dans l’équipe de supporteurs du nouveau Président de la République Française. Emmanuel MACRON.

Le meilleur des conseillers représentant le nationalisme extrémiste
Le meilleur des conseillers représentant le nationalisme extrémiste

Le meilleur des conseillers représentant le nationalisme extrémiste

Alain Madelin (71 ans)

Ses débuts:  Il s'engage, dès l'âge de 16 ans, dans la cause nationaliste et devient familier des affrontements avec les militants d’extrême gauche. En 1963, il fait partie de la Fédération des étudiants nationalistes (FEN, extrême droite), où il est responsable de l'action militante.
Début 1964, alors étudiant en droit à Assas et à peine âgé de 18 ans, il est un des principaux fondateurs d’Occident, mouvement étudiant d’extrême droite qui comprendra également dans ses rangs les futurs ministres Gérard Longuet, Hervé Novelli et Patrick Devedjian
En 1965, Alain Madelin est délégué à la jeunesse dans le comité de soutien à Jean-Louis Tixier-Vignancour dans le 10e arrondissement de Paris.
En novembre 1965, Patrick Devedjian et Alain Madelin sont condamnés par le tribunal correctionnel de Draguignan à un an de prison avec sursis et trois ans de mise à l'épreuve pour vol et détention d'armes.
Le 12 juillet 1967, il est condamné, avec douze autres militants d'extrême droite, pour « violences et voies de fait avec armes et préméditation »
À l'automne 1968, il adhère aux Républicains indépendants de Valéry Giscard d’Estaing. Il est directeur de publication du journal antisocialiste « Spécial Banlieue » lors de la campagne présidentielle de 1974. Il intègre l'état-major de Valéry Giscard d'Estaing, qui est élu président en 1974, et conserve sa place pour l’élection de 1981.
Mandats et fonctions
* Du 3 avril 1978 au 22 mai 1981, du 2 juillet 1981 au 1er avril 1986, du 6 juin 1988 au 1er avril 1993, du 2 avril 1993 au 1er mai 1993, du 9 octobre 1995 au 21 avril 1997, du 1er juin 1997 au 18 juin 2002, du 19 juin 2002 au 19 juin 2007 : député d'Ille-et-Vilaine.
* du 16 mars 1986 au 22 mars 1992 : membre du conseil régional de Bretagne.
20 mars 1986 au 10 mai 1988 : ministre de l'Industrie, des P. et T. et du Tourisme) (gouvernement Chirac II)
* du 25 juillet 1989 au 3 novembre 1989 : député européen
* du 23 mars 1992 au 15 mars 1998 : vice-président du conseil régional de Bretagne
* du 30 mars 1993 au 11 mai 1995 : ministre des Entreprises et du Développement économique, chargé des Petites et moyennes entreprises, du Commerce et de l'Artisanat (gouvernement Balladur)
* du 28 mars 1994 au 8 octobre 1995 : membre du conseil général d’Ille-et-Vilaine.
* du 18 mai 1995 au 26 août 1995 : ministre de l'Économie et des Finances (gouvernement Juppé)
* du 19 juin 1995 au 18 mars 2001 : maire de Redon (Ile-et-Vilaine)
* en 1997 : le Parti républicain se transforme en Démocrate libérale, et il en devient le président jusqu’en 2002.
* du 20 juillet 1999 au 17 juin 2002 : député européen
Le refus d'Alain Madelin de condamner, en mars 1998, les présidents de région élus, comme Charles Million et Jacques Blanc, avec les voix du Front National, provoque la rupture entre Démocratie libérale et l'UDF.

Alain Madelin se présente à l’élection présidentielle de 2002, où il obtient 3,91 % des suffrages exprimés. Ce score étant inférieur à 5 %, il n'obtient pas le remboursement d'une grande partie de ses frais de campagne. Il se rallie à l’UMP en 2002. Au sein de ce parti, il incarne la ligne libérale en étant membre du courant « Les réformateurs »

 3 fois pour un essai et le ralliement en fin de course, après être passé par Juppé, Fillon et Macron..

3 fois pour un essai et le ralliement en fin de course, après être passé par Juppé, Fillon et Macron..

François Bayrou (66 ans)

 

Le mulet du MoDem, premier porteur des valises d’Emmanuel Macron à qui il a proposé une alliance pour éviter la « dispersion des voix » lors d’une déclaration le 22 février 2017,

Il pose quatre exigences pour cette proposition (à savoir une véritable alternance dans les pratiques politiques, une loi sur la moralisation de la vie publique, l'amélioration de la rémunération du travail et l'introduction de la proportionnelle pour les législatives. Emmanuel Macron accepte aussitôt sa proposition. La décision du président du MoDem est toutefois critiquée par des élus de droite et de gauche, en raison notamment de l'incohérence avec ses déclarations passées à l'égard de l'ancien ministre de l’Economie.

Celui, qui après 3 essais infructueux aux présidentielles, pensait par ses redondances envers E.M se payer un mandarin dans son futur gouvernement. Pas de chance pour lui, il reste coincé dans l’encoignure de la première porte, après l’élection du nouvel homme de droite anti ouvrière et pro-Medef. Après s’être mis à plat ventre devant les gros bras d’E.M, il réussit difficilement à récupérer une centaine d’investitures (pas toutes gagnables loin de là).

Il pose quatre exigences pour cette proposition (à savoir une véritable alternance dans les pratiques politiques, une loi sur la moralisation de la vie publique, l'amélioration de la rémunération du travail et l'introduction de la proportionnelle pour les législatives.; Emmanuel Macron accepte aussitôt sa proposition. La décision du président du MoDem est critiquée, en raison de l'incohérence avec ses déclarations passées à l'égard de l'ancien ministre de l’économie.

Carrière politique.
* Enseignant dans l’école publique, il n’a jamais eu trop l’occasion de pratiquer son métier. À 30 ans, en 1982, il est élu conseiller général des Pyrénées-Atlantiques (canton de pau-Sud)
Il devient député en 1986 sous les couleurs de l’UDF, se faisant élire à la proportionnelle sur une liste d'union avec les néo-gaullistes du RPR, aux côtés de Gougy et Michèle Alliot-Marie. Réélu sans cesse jusqu’en 2012.
Ministre de l'Éducation nationale (1993-1997)
* En 1993, il est nommé ministre de l’Education nationale dans le gouvernement Balladur. Il propose une réforme de la loi Falloux, qui aurait déplafonné la possibilité, pour les collectivités locales, de subventionner les investissements des établissements d’enseignement privé.
* Le 24 janvier 1994, près d'un million de manifestants s'en prennent à ce projet, pour défendre l'école laïque. La méthode Bayrou est alors critiquée et finalement, le Conseil Constitutionnel rejette son projet.
Bien que soutenant Balladur aux présidentielle de1995, il fait partie du comité politique avec Sarkozy et François Léotard, et qu'il se soit opposé au projet de référendum sur l'éducation proposé par le candidat Chirac, il obtient dans le1er gouvernement Juppé un portefeuille élargi à l'enseignement supérieur, à la recherche et à la formation professionnelle. Il perd la responsabilité de la Formation professionnelle dans le second, mais reste à l'Éducation nationale jusqu'à la dissolution de l'Assemblée nationale par Jacques Chirac en 1997.
L'élection qui la suit est remportée par la gauche plurielle.
Sous la troisième cohabitation (1997-2002)
Un temps vice-président du CDS (1991-1994), il en est élu président en 1994. Au congrès de Lyon en 1995, il fusionne ce parti avec le Parti social-démocrate, parti de tradition laïque également adhérent de l'UDF.
Il est élu en 1998 à la tête de l'UDF malgré l'opposition de Démocratie libérale (DL) d’Alain Madelin. Après les élections régionales de 1998, Madelin et d'autres leaders de DL approuvent les présidents de région réélus grâce au soutien des élus FN alors que François Bayrou rejette toute alliance avec l'extrême droite.
Lors des élections européennes de juin 1999, Bayrou conduit la liste UDF qui recueille 9,28 % des voix et entre donc au Parlement européen, dont sa seconde de liste Nicole Fontaine obtient la présidence.
Alliance avec Emmanuel Macron (2017)
Peu après l'annonce de la candidature d’Alain Juppé à la primaire de droite et du centre en vue de la présidentielle, Bayrou annonce son soutien au maire de Bordeaux, tout en refusant de faire participer officiellement le MoDem à la primaire, et ainsi faire barrage à Sarkozy si celui-ci était finalement désigné candidat.
Après la large victoire de Fillon, qui devient ainsi le candidat LR et de leurs alliés dans la course à l’Elysée, Bayrou dément avoir conclu un accord avec ce dernier.
Interrogé sur la candidature d'E. Macron, président du mouvement E.M qui souhaite dépasser le clivage droite-gauche comme lui, le 7 septembre 2016, il estime que celle-ci s'inscrit dans la lignée de celle de Sarkozy en 2007 de D. Strauss-Kahn en 2012 , accusant « le monde des grands intérêts et celui de l'argent » d'être derrière sa candidature. Cette relation lui semble « incompatible avec l'impartialité exigée par la fonction politique » et il annonce qu'il « mènera la bataille pour qu'il n'en soit pas ainsi »
le service de "TRI" d'En Marche

le service de "TRI" d'En Marche

Jean-Paul Delevoye (70 ans)

Président du conseil économique, social et environnemental (2010-2015). Ancien médiateur de la République (2004-2010) et ancien membre de l'UMP, maire de Bapaume et sénateur président de l'Association des maires de France (de 1992 à 2002)

Ministre de la Fonction Publique, de la Réforme de l'État et de l'Aménagement du territoire de Jean-Pierre Raffarin (2002-2004)

Maire de Bapaume. Il a été également conseiller régional, conseiller régional du Nord-Pas-de-Calais, président de la Communauté de communes de la région de Bapaume (élargie à la Communauté de communes du Sud Artois à partir de 2013, et qu'il préside également) et président de l’Association des maires de France (1992-2002)

Il est député du Pas-de-Calais de 1986 à 1988. Sénateur de 1992 à 2002, président du groupe des sénateurs-maires, il dirige le rapport « Cohésion sociale et Territoire » pour le commissariat au plan en 1999.

Il préside la mission sénatoriale d’information chargée de dresser le bilan de la décentralisation et de proposer les améliorations de nature à faciliter l’exercice des compétences locales en 1999-2000. Il conduit également le groupe d’étude sur la responsabilité pénale des décideurs publics au ministère de la justice. En 1998, il participe à l’étude « Pour une approche globale du temps de l’enfant : l’expérimentation des rythmes scolaires ».

Soutenu par Chirac Président, il brigue en décembre 1999 la présidence du RPR, mais il est battu par Michèle Alliot-Marie, qui recueille 62,7 % des voix des militants au second tour. Il intègre l’UMP en 2002.

De DeVillepi en passant par Copé, Sarkozy, Fillon et pour finir "En Marche"

De DeVillepi en passant par Copé, Sarkozy, Fillon et pour finir "En Marche"

Marie-Anne Monchamp (60 ans)

Adjointe sous l'étiquette RPR au maire de Nogent-sur-Marne à partir de 2001, puis députée de la 7e circonscription du Val-de-Marne depuis 2002.

Marie-Anne Montchamp est secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Santé et de la Protection sociale, chargée des Personnes handicapées, du 31 mars 2004 au 31 mai 2005, dans le 3e gouvernement Jean-Pierre Raffarin.

Alors qu'elle se réclame de la tendance des « républicains sociaux » et des « gaullistes sociaux », elle est en 2006 vice-présidente du club d'inspiration libérale, Réforme et Modernité, qui est pour une large part une structure de soutien à Dominique de Villepin en vue de son éventuelle candidature à l'élection présidentielle 2007.

Lors de l'élection municipale de 2008 à Nogent-sur-Marne, elle est candidate dissidente où elle échoue au second tour. Membre de l’UMP depuis sa fondation en 2002, elle est suspendue, à la suite de cette candidature dissidente, puis exclue pour trois ans de son parti politique. Elle continue néanmoins de siéger au groupe UMP à l'Assemblée nationale.

Membre du Club Villepin, elle participe à la fondation du parti de l'ancien Premier ministre, République solidaire (RS), dont elle devient la porte-parole en juin 2010. Elle devient très critique, notamment après la suppression de sa circonscription législative dans le cadre du redécoupage législatif, sur les principales réformes de la majorité et envers Nicolas Sarkozy, et à ce qu'elle nomme être une « UMP droitière ». Elle tente à l'Assemblée nationale de rallier des députés non-inscrits (MoDem, centristes et UMP pour fonder un nouveau groupe parlementaire mené par RS, sans que cela n'aboutisse.

Elle quitte sa fonction de porte-parole de RS le 15 novembre 2010, au lendemain de sa nomination de secrétaire d'État dans le 3e gouvernement François Fillon, entrée qui suscite l'incompréhension dans les rangs de la formation politique villepiniste et fait dire au politologue Thomas Guénolé : « Bien qu'il n'ait pas été officiellement enregistré au Livre Guinness des records, ce laps de temps de cinq mois pour retourner sa veste semble constituer un record de brièveté »

Elle est investie par l’UMP le 28 janvier 2012 comme candidate dans la nouvelle 4e circonscription établis hors de France (Benelux)) pour les élections législatives françaises de 2012. Elle est battue au second avec par le socialiste Philip Gordery.

À l'occasion du congrès de l’UMP de 2012, elle soutient la candidature de J-François Copé

En janvier 2013, à la suite de l’accord entre J-F Copé et François Fillon qui a suivi la crise politique du congrès de novembre 2012, elle est nommée avec la filloniste Anne Grommerch déléguée générale chargée de la formation

En mai 2013, elle montre son souhait d'être investie pour être la candidate UMP lors des élections municipales de 2014 à Nantes. Le 2 juillet 2013, la commission nationale d'investiture de l'UMP décide de reporter sa décision à la rentrée. C'est finalement Laurence Garnier qui est désignée

Elle soutient alors Nicolas Sarkozy pour la primaire présidentielle LR de 2016 , pour rallier le 28 mars 2017 Emmanuel Macron et le mouvement En Marche.

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