Le scandale du Lévothyrox en France et ailleurs.
Levothyrox nouvelle vague, qui a rendu encore plus handicapant les patients soignés. Pourquoi ? et pour quels profits ? ,
Dès le mois de janvier 2010, elle annule auprès des laboratoires pharmaceutiques la livraison de 50 millions de doses encore non payées. Un dédommagement de près de 48 millions d’euros avait été versé aux laboratoires.
Plus de 19 millions, plus 9,3 millions de dose ont été détruites par incinération, douze millions de doses ont été données à l’OMS.
Les 310 000 doses de ventes marginales ont été effectuées vers le Qatar ou Monaco.
Dans un rapport bienveillant de la Cour des comptes, celle-ci avait évalué à seulement 382,7 millions d’euros le coût de ces vaccins pour l’Etat.
Pourtant, en France, on pourrait revenir sur certains faits marquants.
Le scandale des prothèses exécutées par un praticien sans scrupule, en polyuréthane "qualité bâtiment"
Le scandale de la "Dépakine" un antiépileptique qui empoisonna les patients; résultat plus de 450 cas de malformations.
Le scandale du sang contaminé …
Alors, combien d’autres affaires, passées sous silence radio, dont les "ministères, Institut national, Agence pour la Sécurité etc" n'ont jamais été en cas de découvrir avant l'accident ou la mort des patients ?
Aujourd'hui, il reste aux patients de connaître " l'équivalent commercial " au lévothytox dont Madame la ministre vient d'annoncer sa mise en vente "très prochainement" sur le marché, ainsi que la mise en vente d'un générique.
Rappelons que dès 2003, trois organisations américaines,"l'Américan Thyroïd Association" et plusieurs autres organismes, représentant plus de 4600 médecins, s'alertaient de la décision de l'agence du médicament américain de valider les génériques.
En France c'est différent; plus intelligent que le médecins américains ou allemands, mais au nom de l'économie, pour les caisses de Sécurité Sociale; l'AFSSAPS (elle s'appelait ainsi à l'époque) s'opposée déjà aux attaques contre le générique du l'évothyrox
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A quoi faut-il encore s'attendre si le produit, n'en doutons pas, aura la bénédiction de l'ANSM, de l'INSERM etc. ainsi que du ministère?
Vers quels problèmes graves allons-nous, pour les "clients" du Lévothyrox, (car se ne sont plus des patients pour ces gens là), si les laboratoires Merck et autres, arrêtent la fabrication du produit existant, remise sur le marché après les problèmes de dysfonctionnements importants qui viennent de ce produire ???