Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Les vaccins obligatoires et les bonnes affaires des laboratoires pharmaceutiques !

3 Janvier 2018, 17:07pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Combien ces "conneries gouvernementale" ont coûté au budget et à nos impôts. Combien les effets secondaires  coûteront-ils en soins à la Sécurité Sociale ?Combien ces "conneries gouvernementale" ont coûté au budget et à nos impôts. Combien les effets secondaires  coûteront-ils en soins à la Sécurité Sociale ?
Combien ces "conneries gouvernementale" ont coûté au budget et à nos impôts. Combien les effets secondaires  coûteront-ils en soins à la Sécurité Sociale ?

Combien ces "conneries gouvernementale" ont coûté au budget et à nos impôts. Combien les effets secondaires coûteront-ils en soins à la Sécurité Sociale ?

Nous avons connu la pharmacienne, ministre de la Santé sous le quinquennat de Sarkozy, celle qui aujourd'hui s'est reconvertie dans « l’animation télé-visuel » à 71 ans, afin de  boucler ses fins de mois.

Celle, qui nous a « inventé »le vaccin contre la grippe H1N1, commandé par centaines de milliers de doses, qui ont fini pour la plupart à la poubelle, mais qui ont fait aussi les « choux gras » des laboratoires pharmaceutiques. 

Aujourd’hui, l’exemple que nous donne la ministre de la Santé du gouvernement Macron Philippe, n’est guerre plus reluisant et nous pose d’autres questions avec le risque une fois de plus de crever un peu plus le déficit de la Sécurité Sociale.

En effet, les déclarations d’intérêts publiques d’Agnès Buzyn la ministre actuelle de la Santé,

Lorsqu’elle était présidente du Conseil d’administration de l’IRNS (institut radioprotection de la sûreté nucléaire) et de l’INCa (institut national du cancer)

Ces déclarations datent bien sûr de 2012 et de 2014 et seuls les conflits d’intérêts  qui couraient encore lors des cinq années précédentes devaient être mention.

 

Pourtant ces documents sont accablants pour celle qui considère que les conflits d’intérêts entre experts et laboratoires pharmaceutiques sont « un gage de compétence ! »

En effet elle déclare avoir été directement rémunérée pour diverses activités (organisation de congrès, interventions en conférences "cours" dispensés à des médecins et professionnels de santé) par le laboratoire Genzymz, désormais filiale de Sanofi, dès 1998, puis par les laboratoires Bristol Meyers-Squibb  (BMS)

A partir de 2007 chez BMS et 2008 chez Novartis, elle siégeait même au comité consultatif  (Advisory Board en anglais) en charge du développement de plusieurs molécules anticancéreuses.

Siéger au « Board » d’un labo consiste en réalité à occuper une position clef de conseil en stratégie marketing ainsi qu’à intervenir lors des colloques dans l’optique d’une mise sur le marché des différents médicaments.

 

Selon Médiapart certains professeurs peuvent être rémunérés 2 000 € la journée pour une seule réunion ! ce qui choque particulièrement c’est qu’elle était dans le même temps membre du conseil d‘administrations et vice-présidente de l’institut national du cancer.

 

Un conflit d’intérêt, comme le soulignait déjà « Mediapart » en 2016 lorsqu’elle a pris la tête de la Haute autorité de la Santé.

 

Ces deux laboratoires ainsi que Pierre Fabre et Schering-Plough  « filiale de Merck » ont également financé entre 2005 et 2011, l’association Robert Debré, que dirigeait Agnès Buzyn.

La future ministre a finalement jugé nécessaire de mettre un terme à l’ensemble de ses contrats avec l’industrie pharmaceutique en mars 2011, juste avant d’être nommée présidente de l’INCa. .

 

De fait, il est légitime de se poser plusieurs questions !

Peut-on accepter qu’une ministre de la Santé présente de tels conflits d’intérêts avec « Big Pharma »

Comment peut-on imaginer que la médecine puisse être libre et indépendante vis-à-vis des intérêts financiers colossaux des laboratoires pharmaceutiques ?

Selon Anne Chailleu, présidente du Formindep, association pour une médecine indépendante, « la conception de l’expertise d’Agnès Buzyn va à l’encontre du sens de l'Histoire mais également de la rigueur scientifique »

On note également qu’Agnès Buzyn était membre du conseil supérieur des programmes de l’éducation nationale entre 2013 et 2016.

Comme tend à le confirmer le reportage ci-dessous, les étudiants en médecine semblent fortement sous l’influence de labos au cours de leur cursus.

Le 8 février dernier, le Conseil d’État enjoignait au ministère de la Santé, de rendre disponible les seuls vaccins obligatoires, « Une défaite importante , mais de courte durée pour l’industrie pharmaceutique » 

Comme nous pouvions nous y attendre, le 16 juin dernier Agnès Buzyn ministre de la Santé d’Emmanuel Macron, annonce et confirme sa décision unilatérale de rendre obligatoire non plus 3, mais 11 vaccins pour « prévenir les maladies infantiles ».

Extension du nombre de vaccins qui a été incluse dans le projet de loi de financement de la Sécurité Sociale.

Le calendrier annoncé ne permettant pas de prendre le temps  d’entendre les différentes parties et de débattre sereinement de ce qui est pourtant un « Thème majeur de santé publique »

On peut effectivement s’étonner de cette précipitation au vu  notamment  d’éléments récents venus alimenter le débat comme cet avis de mars 2017de l’ANSM  sur les travaux du Pr Romain Gherardi concernant les effets sur l’organisme des sels d’aluminium présents dans les vaccins, seulement rendu public en septembre par le journal « Le Parisien »

Et ce,  alors que de nombreux professionnels de la santé (souvent mis au ban) et des chercheurs dénonçaient  leurs effets secondaires neurologiques et musculaires mesurés et parfois irréversibles.

Un coup de force imposé à défaut de convaincre, tout à fait à l’identique des ordonnances de Macron !

 

Il est urgent aujourd’hui de dévoiler la politique de ce gouvernement et de ses ministres qui ont « réussi » à bluffer la société, beaucoup d’entre eux millionnaires par « la volonté du Saint- Esprit »  de la ministre de la Santé, trop proche encore aujourd’hui des laboratoires pharmaceutiques et des agences de surveillance du médicament qui lui emboîte le pas.

Mais revenir surtout sur les accords et autorisations du ministère pris au bénéfice des laboratoires MERCK  concernant les accords que ce monde médical à pris sur le  LEVOTHYROX dont madame Buzyn n’est pas une étrangère auprès de ce labo   ( voir ci-dessus) .

 

Quel sont les bénéfices tirés par le laboratoire Merck sur une boite de Levothyrox nouvelle formule, mise sur le marché actuellement ?

Sachant que des milliards de boites sont prescrites tous les mois pour les patients qui doivent se soigner pour le dysfonctionnement de la thyroïde, quel en est le bénéfice pour Merck et ses « associés »

Ceux qui tiennent tant au changement de formule ??? 

 

Quel sera le « Coût » pour les soins à prodigués aux patients pour cause d’effets contraires et de handicaps, que la Sécurité Sociale devra prendre en charge pour le magouillage de certains et  les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques ???

 

Pourquoi la Cour des Comptes de la République, qui n’est pas la dernière à dénoncer la « fraude «  tous azimuts, du chômeur « pour le plaisir » aux faux malades, aux gens de Rien qui fraudent les « allocs »  ou sur les remboursements de médicaments de moins en moins pris en compte par la Sécu suivant les rapport de cette Cour et dur ordre du gouvernement.

Pourquoi ne met-elle pas le nez dans les comptes des labos aidés en cela par les politiques au gouvernement qui trompent tout le monde ?

 

Ces gens respectables de la Cour des Comptes, commencent toujours à frapper par le bas de la société ; mais, dès qu’ils passent aux étages supérieurs de cette société, ils se retrouvent vite bloqués par les politiques de l'Elysée et de Matignon ou surtout par BERCY.

Commenter cet article