Lorsque la finance passe avant la santé des citoyens et des enfants en bas âge!
Mais que fait donc d'autre, la ministre de la Santé que de s'occuper des milliards de bénéfices des laboratoires pharmaceutiques ?
Lactalis :
Encore un scandale de plus, mais le gouvernement est en « colère et s'en occupe ! »
En effet, c'est Bruno Le Maire, ancien ministre UMP de l'Agriculture sous Sarkozy, ministre de l’Économie dans le gouvernement Macron/Philippe qui prend le mors aux dents et commence a réclamer des comptes chez Lactalis et son lait contaminé à la salmonelle.
Voilà encore là un scandale sanitaire supplémentaire à ajouter sur le compte des entreprises de agroalimentaire en France. Pourtant tout est toujours prévu de la part de nos gouvernants. Or ils ont été incapable depuis les premiers soupçons de février 2017, de mettre en place des contrôles supplémentaires à la sortie des chaînes de production.
Comment une telle affaire a-t-elle pu se produire ? Alors que Lactalis affirme que « toutes les analyses réalisées sur les produits finis entre dès le 1er janvier 2017, le manque de contrôles sanitaires de l’État n'ont pas suivis, loin de là ; Lactalis a pu continuer de livrer ses produits contaminés. Dès que les contrôles ont eu lieu, l'application d'un programme de nettoyage adapté et à des contrôles renforcés sur les lots fabriqués à ces dates n'ont eu d'autres vérifications que les mesures prisent par l'entreprise.
Le 2 décembre 2017, Lactalis est informé de deux cas de salmonellose, la découverte de salmonelle est confirmée le 4 décembre, Lactalis retire 625 lots début décembre, cinq nouveaux lots de lait en poudre le 16 décembre et 720 lots supplémentaire le 21 décembre.
Il a fallu au gouvernement attendre le 26 décembre 2017 pour « ordonner » une enquête préliminaire » et l'arrêt total de la production de l'usine, avec le « rappel » des lots distribués dans le commerce,
Aujourd'hui, les grandes surfaces (Leclerc, Auchan, Intermarché, Cora, Système U, Carrefour) sans compter les magasins individuels et les parapharmacies, « disent avoir oubliés » de faire retirer les lots incriminés et porteurs de salmonelle,
Il est certain que pour ce scandale sanitaire et les risques importants envers la santé des nourrissons, c'est le ministre de l’Économie Le Maire qui met les pieds dans le plat ; quant à Madame Agnès Buzyn, elle reste bien invisible sur ce sujet de santé.
Cela doit être beaucoup moins important que les vaccinations obligatoires qu'elle impose à ces mêmes nourrissons, l'enjeu financier est moins important pour la nourriture des enfants en bas âges que les milliards d'euros que représentent les onze vaccinations obligatoires et le scandale du Levothyrox toujours en attente de résolution avec les laboratoires Merck, Décision trop difficile à prendre par le ministère de la Santé qui risque de contrarier les bénéfices inconnus ou cachés des laboratoires.
Sachons quand même que ce n'est pas le premier scandale commercial, médical ou sanitaire que nous subissons en France! Toujours pour un problème de sauvegarde de la finance et toujours contre l'usager qui n'a rien à dire et dont souvent la justice pour tous est du côté du plus fort.
Après les « Ghyphosates » soutenus en France par la FNSEA, le ministère de l'agriculture et une grande partie des technocrates de Bruxelles, on a connu le scandale des prothèses PIP - le scandale de l'amiante (dont les procès traînent aux profits des grands patrons empoisonneurs restent toujours en suspens ou effacés de l'ardoise judiciaire) - le scandale de la Dépakine – celui du Médiator, et le Levothyrox dont, toujours ministre de la Santé est dans l'incapacité de prendre ses dispositions pour revenir à l'ancienne formule du laboratoire Merck (pour quelles raison ???)
Il y a toujours celui de la viande de cheval, vendu pour du bœuf, etc,,, car cela n'arrête pas, toujours au bénéfice des mêmes .
On constate à chaque découverte d'un scandale, que nos gouvernants réagissent comme une poule devant un os ! Il faut savoir aussi que les contrôles en amont des sorties de produits alimentaires ou médicaux sont toujours aussi insuffisants et que le gouvernement actuel par « économies budgétaires » n'est pas là d'investir de nouvelles dépenses pour la santé des Français.
Moins de frais pour les contrôles de l’État, toujours l'économie budgétaire en cause ; c'est un fait. Mais le résultat se retourne dès lors sur le coût des soins médicaux et hospitaliers pris en charge par la Sécurité Sociale .
Une Sécurité Sociale que Macron et le grand patronat se sont mis « En marche » pour son démantèlement depuis passage de ce dernier au ministère de l’Économie !!!