Comme dans les années 1930 Outre-Rhin, Macron sortirait-il ses "gros-bras" afin de faire avaler sa politique au peuple de France ?
Les casseroles (suite) de Macron et de sa bande LREM !
Le 1er mai, Alexandre Benalla, l'homme de mains d'Emmanuel Macron, était accompagné le 1er mai 2018 d'un gendarme réserviste, Vincent Crase, salarié de LREM.
Benalla, ce collaborateur zélé du président de la République, un de ceux qui ont « réussi », a été filmé en train de frapper un manifestant. On le voit habillé d'une veste sombre sur un sweat clair, avec sur la tête un casque de police de maintien de l'ordre et évoluer près de CRS qui viennent d'interpeller un manifestant.
Ceux-ci, ne réagissant pas quand il se met à le frapper alors qu’il est à terre. Sur une autre vidéo, on le voit très bien arborant un brassage orange de la police, comme certains faux « casseurs » qui une fois la pagaille lancée arborent eux aussi le fameux brassards de police.
Aussi, c'est avec une rare unanimité que la classe politique dénonce ce jeudi les violences perpétrées par Alexandre Benalla le 1er mai et la légèreté des sanctions qui lui ont été infligées. « 15 jours de suspension, » alors que certains ouvriers dans grandes firmes industrielles françaises sont licencier manu-militari, pour avoir récupérer dans les poubelles de l'entreprise quelques chutes ou chiffons.
Benalla, était en charge de la « sécurité de Macron » pendant la campagne présidentielle, il a été filmé le 1er mai dernier en train de frapper un manifestant à terre, dans une vidéo publiée par « Le Monde » mercredi soir. Sur une autre vidéo, le voit très bien arborant un brassage orange de la police, comme certains faux « casseurs » qui une fois la pagaille lancée arborent eux aussi le fameux brassards de police.
Le parquet a ouvert une enquête préliminaire pour violences par personne chargée d'une mission publique, usurpation de fonctions et usurpations de signes réservés à l'autorité publique.
Toujours en poste à l’Élysée, il a été rétrogradé à une autre fonction, en charge des événements « internes » à l’Élisée.
Ce qui ne l'a pas empêché de participer à la cérémonie de l'entrée au Panthéon de Simone Veil et de son époux le 1er juillet dernier et à la venue des Bleus à l’Élysée.
Celles du secrétaire d’État Julien Denormandie, qui qualifie, sur « France Inter, » son comportement « inacceptable » : quant à Nicole Belloubet, la garde des Sceaux, représentant la justice « la même pour tous les citoyens de France,» elle a fustigé des « gestes absolument pas inadaptés. »
Sans doute dans le but d'anticiper de nouvelles révélations, Bruno Roger Petit a précisé que Benalla était accompagné le 1er mai d'un gendarme réserviste, Vincent Crase. Salarié de La République en marche, « ponctuellement mobilisé, comme d'autres réservistes, par le commandement militaire de la présidence de la République » lui aussi a été lui aussi sanctionné par une mise à pied de cinq jours au sein du parti, dont il est toujours salarié.
Ne soyons pas « aveugles », ce genre de personnages qui font partie du cercle Macron de ceux qui ont « réussit » ne se retrouveront pas au chômage comme l’ouvrier qui lui, « n’est rien » licencier manu-militari de l’entreprise PSA, pour un « vol » de chutes trouvé dans la poubelle
Même virer de Élysée ou des ses satellites, ils auront rapidement retrouvé un emploi de directeur de police municipale chez les amis LREM ; à Lyon ou ailleurs !