Un gouvernement totalement sourd aux revendications d'un peuple français laborieux, qu'il assassine par les taxes et autres "au nom de l'Ecologie" mais qui continue les cadeaux par milliards à ses amis banquiers et au grand patronat!
Macron -Philippe- Castaner et les autres: TROP C'EST TROP; Il est temps de discuter avant la casse de la vaisselle de l'Elysée...
La baisse du chiffre d’affaires dans le commerce, l’hôtellerie, la restauration etc . de cette fin d’année, tous les médias à la botte du gouvernement actuel nous le répètent en boucles sur les ondes : « C’est la faute aux Gilets jaunes ! »
Mais en aucune façon, ils ne parlent de la baisse du pouvoir d'achat qui touche des millions de Français et pour qui , cela fait plusieurs années, la fin du mois est plus proche du 15 au 20 du mois. C'est la faute des manifestants Gilets jaunes.
* Ce sont les paroles et écrits que laissent divulguer dans le presse et les ondes le gouvernement Macron/Philippe et autres Bercy ainsi que les représentants du grand commerce. Sans se soucier des millions de familles qui vivent sous le seuil de pauvreté en France et encore moins des ménages de travailleurs pauvres qui ont du mal à boucler les fins de mois sans se priver de trop de choses nécessaires pour vivre décemment.
Le pouvoir d'achat est en baisse depuis maintenant 25 ans pour les retraités et les salariés à qui chaque année qui passent, les gouvernements leur ajoutent taxes, hausses des dépenses obligatoires, chauffage-électricité, loyers, impôts locaux et fonciers pour les retraités qui ont travaillé toute leur vie, se privant de beaucoup de choses et payant les études de leurs enfants afin d'avoir un toit pour leurs vieux jours.
Les prix du timbre en hausse
* Envoyer vos plis risque de vous coûter cher ! Pour un courrier « prioritaire »de 20 g , le timbre passe de 095 à 1.05 € soit +10%. Mais tous les Français ne sont pas au même tarif, une majoration existe pour les envois vers l'Outre Mer, les anciennes colonies, appelées pompeusement (DOM-TOM).
Ce supplément s'applique sur chaque tranche de 10 g et s'élève 0.05 € vers la Guyane, la Guadeloupe, la Martinique, la Réunion, St Pierre et Miquelon, St Barthélemy, St Martin et Mayotte. De 0.10 € vers la Nouvelle Calédonie, la Polynésie française, Wallis-et-Futuna et les terres australes et antarctiques françaises (TAAF)
* La fiscalité sur les nouveaux contrats d'assurance de prêt immobilier s'est alourdie. La taxe spéciale sur les conventions d'assurances (TSCA) est désormais étendue à la garantie décès. Jusqu'à présent, elle ne s'appliquait qu'à celles concernant la perte d'emploi et le handicap. Concrètement, le surcoût devrait être limité à quelques euros par mois. (tout comme l’APL des logement sociaux des retraités et des étudiants)
* Les primes pour travaux d'amélioration à l'habitat au niveau de l'économie d'énergie qui avaient été supprimées pour les portes, fenêtres isolantes, isolation des murs et combles, ont été rétablies après d’âpres discutions avec les entreprises spécialisées mais sont passées de 30 à 15% (la France et la COP 21...)
* Les taxes excessives sur le carburant, le durcissement du contrôle technique, toutes choses qui ont mis le feu aux poudres et dont les usagers de la route ont été les premières victimes avant que le gouvernement ne se reprenne à la dernière minute, mais après avoir encaissé l’excèdent des prix pendant quelques temps.
* La prime à la casse pour les voitures de plusieurs années d’âge de quelque 1 000 euros et plus suivant les revenus, en échange d’une voiture hybride ou électrique qui ont aujourd’hui une autonomie de quelques centaines de km, mais qui avoisinent les 20 000 euros à l’achat. Il serait d’abord curieux de connaître le nombre de concessionnaires automobiles qui avanceront à l’acheteur les milliers d’euros promis, certains d'entre eux, encore aujourd'hui attendent toujours des dizaines de milliers d'euros promis par l’État lors des dernières « primes à la casse »
* En effet, le SMIC est revalorisé de 1.5% au 1er janvier, il était de 1.24% en janvier 2018 alors que l’inflation sur ces deux années a été de plus de 2% par an. A la suite de la « révolte » des Gilets jaunes, Macron et son gouvernement, après six semaines de mouvement « ont lâché » une revalorisation de 100 € net pour les salariés touchant de salaire minimum. (100 € net) encore faut-il savoir si cela sera repris en compte pour le calcul des retraites ?
Il en sera de même pour les heures supplémentaires exemptes de charge ?
* Le pouvoir d'achat des retraités, « ces nantis de la société » est en chute libre depuis 25 ans. Si leur niveau de vie moyen a fortement progressé ces dernières années, au point de dépasser celui des actifs, un document de travail du Conseil d’orientation des retraites, révélé par « Les Échos » vient nuancer très nettement cet état des lieux. Il révèle en effet que les retraités ont, en fait, subi de fortes pertes de pouvoir d’achat au cours des 25 dernières années.
Comment expliquer ce constat a priori paradoxal ? La hausse du niveau de vie global des retraités est, en fait, quasi exclusivement due à l’arrivée de nouveaux retraités aux carrières mieux rémunérées que les anciennes générations. En regardant l’évolution des pensions des retraités en place, par contre, le bilan est tout autre…
Ne parlons pas ici des veuves ou veufs de retraités qui touchent comme ressource 60% de réversion de leur défunt et qui sont imposés pour une part au lieu d'une part et demi, cette demie part perdue. Cette demi-part supplémentaire reprenait normalement les frais fixes d'un couple, loyer, électricité, gaz et tout ce qui est commun à un couple. Aujourd'hui, beaucoup d'entre-eux sont imposables par le décision de Macron!
Les retraités ont en effet pâti de plusieurs mesures d’économies ces dernières années, en particulier en matière de revalorisations des pensions. Ainsi la valeur du point Agirc, servant au calcul de la pension complémentaire dédiée aux cadres, a évolué moins fortement que l’inflation pendant 13 des 26 dernières années.
Leur pouvoir d'achat a chuté, du fait de la faible revalorisation des pensions, en particulier depuis 2010, et de l'augmentation des prélèvements sociaux. C'est ce que montre un document de travail du Conseil d'orientation des retraites (COR) que « Les Échos » ont pu consulter. Il retrace l'évolution de la pension nette pendant dix à vingt-cinq ans pour quatre générations-types âgées entre 70 ans (nés en 1947) et 85 ans (1932). Il faut souligner la revalorisation de celles-ci de 0,3 % en janvier 2019, après des années de gel ou de sous-indexation au sein des régimes de base et complémentaire. Néanmoins, cela sera loin de compenser tout à fait l'inflation prévue cette année, d'autant que la revalorisation intervient sur le dernier trimestre et que pour beaucoup d'entre-eux ils continueront d'être ponctionnés des 1,7% de CSG, et pour les locataires de logement sociaux les 60 euros par an retirés des APL.
Les fonctionnaires ne sont pas mieux lotis, loin de là : le pouvoir d’achat net de ceux de la catégorie B a enregistré un recul pouvant aller jusqu’à 8%.
L’histoire se répète comme en 2018. En effet, la hausse de la CSG, engagée par Macron, va pénaliser environ 60% des retraités ou un peu moins suivant les « nouveaux » calculs de Bercy à qui, nous pouvons faire confiance pour en lâcher le moins possible, tandis que les pensions de base ne seront pas revalorisées et que les pensions complémentaires risquent de subir le même sort si l’inflation ne dépasse pas 1%.
Un soulagement, après des années de gel ou de sous-indexation au sein des régimes de base et complémentaire. Néanmoins, cela ne compensera pas tout à fait l'inflation prévue cette année, d'autant que la revalorisation intervient sur le dernier trimestre. Ainsi, la retraite complémentaire des cadres, qui représente à peu près la moitié de leur pension, avec l'évolution de la valeur du point Agirc a été inférieure à l'inflation de 1994 à 2000, en 2010-2011 et depuis 2014, c'est-à-dire pendant 13 années sur 26. Résultat, un cadre de 85 ans a vu le pouvoir d'achat de sa pension brute diminuer de 5 % en 25 ans. Pour un cadre de 70 ans, la glissade est de 2 % en 10 ans.
Le pouvoir d'achat chute encore plus si l'on prend en compte la pension nette, diminuée des prélèvements sociaux.
Les non cadres et fonctionnaires sont également touchés.
Pourtant si l'on reprend les « dires « de Macron, à l'époque où il était ministre de l’Économie, de l'Industrie et du Numérique du gouvernement Hollande, texte sorti à l'occasion de la sortie de l’ Annuaire 2016 de la Silver économie.
« L’avancée en âge de notre société est un immense défi . Mais il est surtout une chance considérable, la preuve ultime que l’horizon des possibles continue de s’étendre.
L’horizon des possibles s’étend encore, parce que nous vivons plus longtemps. En 1960, l’espérance de vie des Français à la naissance était de 70 ans ; aujourd’hui, elle est supérieure à 82 ans. Ce temps supplémentaire pour chacun, c’est de la vie en plus pour tous. Car nous connaissons le volontarisme des seniors, l’attention qu’ils portent à leurs proches, leur engagement dans le monde associatif, sur le marché de l’emploi et dans la vie de la Cité.
L’horizon des possibles s’étend encore, parce que le vieillissement est également un formidable gisement d’opportunités économiques. D’abord, parce que les personnes âgées consomment plus que la moyenne – à titre d’exemple, les plus de 60 ans assurent aujourd’hui 60% des dépenses d’alimentation et 57% des dépenses de loisirs. Ensuite, parce que le vieillissement engendre mécaniquement l’émergence de nouveaux marchés : pour répondre aux aspirations et aux besoins inédits de nos seniors, il faut innover et créer de nouveaux produits, de nouveaux services, de nouveaux usages.
Ces marchés vont eux aussi s’étendre au cours des prochaines années : en 2005, un Français sur cinq était âgé de plus de 60 ans ; en 2035, ce sera un Français sur trois. Il ne tient donc qu’à nous de transformer ce phénomène démographique en opportunités. »
Alors, aujourd’hui le même Macron président de la République par défaut, impose sa loi. Il met sur le dos de gens qu'ils lui rappellent ses mensonges pré-électoraux par des manifestations interdites des « Gilets jaunes » faisant de la répression, un acte qu'il appelle « Républicain » Avec des victimes de manifestants paisibles, sabotés par l'infiltration voulue de casseurs, ces derniers retournent le plus souvent s'en être inquiétés, alors que les arrestations, mise en en garde à vue, procès politiques en comparution immédiate, enfermements tout aussi politiques.
Il est à espérer quand même, qu'ils n'en arriveront pas comme dans certains pays dont des dirigeants sont reçus à l’Élysée, qu'ils n'arriveront à des disparitions politiques !