Le racket de l'Etat Macron sur la santé et la flambées des prix sur les médicaments continuent de vider la poche des travailleurs...
Même sur les médicaments, Jupiter augmente la TVA pour remplir les caisses de l'Etat et réduire les charges des ses amis milliardaires.
Business en famille...
Depuis la « chasse au pognon de dingue » lancée par Macron et ses sbires, c’est une poursuite sans fin contre les chômeurs, les bénéficiaires d'avantages sociaux, la réduction des APL qui met en péril les sociétés d’HLM, les petits salaires, les pensions des retraités ainsi que les finances des étudiants etc. Mais un exécutif qui prend soins des grandes fortunes de France et des grands patrons des multinationales qui placent l'argent du CICE et des diminutions de charges dans les paradis fiscaux.
La réforme mise en place en 2017 « déjà sous le règne de Jupiter » et qui entre en application au 1er janvier 2019. Presque incognito, sauf pour le porte-monnaie. Pour compenser la perte sur la marge de certains médicaments, forcée par la baisse du prix des médicaments remboursables, les pharmaciens perçoivent depuis 2015 ce qu’on appelle des « honoraires de dispensation ».
En gros, dès qu’ils vendent une boîte de ces médicaments prescrits par un médecin généraliste, ils touchent 1,02 euro fixe. Mais comme l’explique « Le Parisien » le patient n’en voit pas la couleur puisque jusqu’ici c’est l’Assurance maladie qui prend le relais pour les deux tiers et les complémentaires (quand elles le remboursent) pour le reste.
Or, à partir de 2019, la somme de ces « honoraires de dispensation » ne sera plus fixe mais variable, selon le médicament. Et elle pourra varier du simple au triple, et se retrouver à charge du patient. « L’Assurance maladie nous l’a confirmé lors d’une réunion de travail le 14 novembre : si leurs contrats ne prévoient pas de rembourser les médicaments à 15 % ou 30 %, les complémentaires santé ne participeront pas aux honoraires du pharmacien », a révélé au Parisien, Philippe Gaertner, président de la FSPF (Fédération des syndicats pharmaceutiques de France). Si la complémentaire ne rembourse pas, ce sera donc au patient de régler.
Le quotidien fait même la démonstration que c’est en demandant le remboursement du médicament que le patient en aura pour sa poche... Et que s’il ne veut pas payer, il lui faudrait éviter d’en demander le remboursement à l’Assurance maladie.
La liste exacte des médicaments qui seraient concernés par cette hausse des prix n’a pas été officiellement communiquée, alors que l’Assurance maladie n’a pas souhaité répondre aux sollicitations du Parisien.
La ministère de la santé, en cheville sur les finances du remboursement des médicaments avec l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) et l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM) ont décidé de faire disparaître un nombre indéfinis de médicaments, non-remboursables.
Madame Agnès Buzyn et son mari Yves Lévy, furent soupçonnés de conflits d’intérêts, après sa nomination de ce dernier en 2014 par la ministre de la Recherche Geneviève Fioraso, alors qu’il était en ce temps là, le conseiller spécial au ministère. Yves Lévis, fut le président de l’Inserm avant d’être nommé récemment par l’État « Conseiller d’État Extraordinaire » pour cinq ans.
Pendant ce temps, l'arnaque de la Sécurité Sociale sur les médicaments non remboursés continue.
À partir de janvier 2019, certains médicaments de type « Spasfon » des sirops pour la toux ou des sprays nasaux pourront vous coûter plus cher. La faute à ces « honoraires de dispensation » attribués aux pharmaciens, qui ne seront plus pris en charge par des complémentaires de santé.
De nouveaux médicaments jusqu’ici remboursés par la Sécurité Sociale avec cette TVA de 2,1 % et qui auront été reconnus « pour un service médical non suffisant par le ministère de la Santé » à l'exemple des médicaments anti-Alzheimer qui ne sont plus remboursés depuis le mois d'août 2018 passeront à une TVA de 10 %.
Le tout à charge du patient. qui devra compter aussi sur l'augmentation de ces médicaments sur le prix hors taxes à la sortie des laboratoires pharmaceutiques, afin de combler le manque de vente en officines ?