DE RUGY: le transfuge vert chez Jupiter
Vive la St-Valentin et les gueuletons entre-amis, à la santé des "cons" qui paient ! Dressing à 81 euros en grande surface.
François de Rugy se défend avec un faux alibi
Il paie les homards ou les remet à la mer, et l'affaire est clause !
S’agissant du dressing par exemple, le rapport impute son coût exorbitant à « la qualité des matériaux utilisés » et à « l’agencement, réalisé sur mesure ». Il s’étonne que la commande ait été passée « avec une relative urgence » et estime que la facture aurait pu être moins salée si l’on avait opté « par exemple » pour « un degré de finition moindre ». Les ministres devront désormais obtenir l’aval de Matignon pour les travaux supérieurs à 20 000 euros. De Rugy profite lui aussi d’un logement à vocation sociale.à Orvault » Tel était le titre, purement factuel, de Médiapart paru en juillet. Et contrairement à ce qu’a voulu à tout prix faire croire François de Rugy, cette information est bien vraie. Ou plutôt : elle était vraie. Selon nos informations, l’ancien ministre de la transition écologique va quitter son logement début septembre, après avoir déposé son préavis début août.
De Rugy, se dit victime d'une "vengeance politique" de son ancien parti EELV
Orange avec AFP-Services, publié le vendredi 06 septembre 2019 à 11h08
L'ancien ministre réserve les preuves qu'il dit avoir à la publication d'un livre dans les mois qui viennent. Un peu plus tôt, sur franceinfo, l'ancien ministre de la Transition écologique avait accusé le parti écologiste d'être à l'origine des révélations qui ont provoqué sa démission dans le courant de l'été.
« J'ai bien identifié, depuis, une vengeance politique, ça c'est très clair, de la part de mon ancien parti. Cela ne fait aucun doute », a dénoncé M. de Rugy. Redevenu député, il assure également avoir identifié une vengeance « politico-syndicale liée à ce que j'ai fait à la fois à l'Assemblée nationale -où j'avais engagé une réforme de la fonction publique parlementaire- et également au ministère de la Transition écologique et solidaire, où j'avais engagé un certain nombre de changements, qui évidemment déplaisaient fortement et bousculaient un certain nombre d'intérêts bien établis. »
« Ça ne peut pas venir de chez nous » : les Verts s'étonnent des accusations de « vengeance politique » lancées par François de Rugy. Sur franceinfo, le ministre démissionnaire a estimé, vendredi, que les révélations sur le paiement de ses cotisations à EELV avec son indemnité de frais de mandat venaient forcément de son ancien parti.
De retour dans les médias un mois et demi après sa démission, François de Rugy passe à l'offensive. Invité de franceinfo, vendredi 6 septembre, l'ancien ministre de la Transition écologique et solidaire a pointé du doigt une nouvelle source des révélations sur l'utilisation de l'argent public : outre une « vengeance personnelle » qu'il avait déjà évoquée, il affirme être la cible d'une « vengeance politique très claire » prenant sa source dans les rangs d'Europe Écologie-Les-Verts (EELV), son ancien parti. Interrogés par franceinfo, plusieurs responsables du parti répondent qu'ils n'avaient "aucun moyen" de disposer des informations évoquées par Rugy.
Sur le plateau de franceinfo, l'ancien ministre évoquait en effet un volet bien précis de l'affaire : l'utilisation de ses frais de mandat de député pour payer sa cotisation annuelle à EELV et ce à plusieurs (il faut le rappeler, les cotisations politiques étant remboursées à 66 % par le fisc)
Une information dévoilée par Mediapart le 16 juillet dernier, quelques minutes après la démission de l'intéressé. Le site explique qu'il l'avait interrogé sur ce nouveau volet la veille au soir, sans recevoir de réponse. Par ailleurs, avance-t-il, "on n'avait aucun moyen de savoir qu'il avait payé une partie de ses cotisations d'élu avec son IRTM ".Même son de cloche chez l'eurodéputé Yannick Jadot, qui ne commente pas les accusations, mais "comprend que ça ne peut pas venir de chez nous, car nous ne savons pas l’origine du compte débiteur."
Bien sûr... On n'a que ça à faire..." ironise David Cormand, le secrétaire national du parti, joint par franceinfo. « Un compte libellé au nom de François de Rugy »
C'est ce que confirme le trésorier du parti, Thierry Brochot. Après la publication de l'article de Mediapart, il explique avoir mené des vérifications « pour voir si on aurait pu savoir ». Selon lui, « non, on n'avait aucun moyen : les règlements venaient d'un compte libellé au nom de François de Rugy, et lié à son adresse personnelle ». Rien n'indiquait que ce compte était alimenté par son indemnité représentative de frais de mandat (IRFM). Simplement qu'il avait été ouvert au Crédit coopératif de Nantes.
Thierry Brochot assure également avoir interrogé l'Assemblée nationale, qui lui aurait confirmé qu'il était impossible pour le parti de connaître la provenance de ces montants. Il déplore d'ailleurs que les chèques puisant dans l'IRFM ne soient pas clairement indiqués comme tels. "Il faudrait qu'on le sache et que l'on puisse refuser de les encaisser si on pense que ce n'est pas conforme" aux règles d'utilisation de cette somme. Quoi qu'il en soit, "je sais que ça ne vient pas de moi, ni de mes services, ni de l'équipe actuelle".
Quant à la trésorière en poste à l'époque des faits, Marie-Pierre Bresson, elle a depuis quitté EELV pour rejoindre l'UDE ... comme l'avait fait François de Rugy, même s'il s'est rallié depuis à LREM.
Interrogé par franceinfo, Julien Bayou, porte-parole d'Europe Écologie - Les Verts, estime que l'accusation portée par François de Rugy est « grave », mais qu'il n'avance « rien de concret », et que le parti devrait donc s'abstenir de l'attaquer en diffamation.
L'ancien ministre promet également de revenir plus tard sur ses accusations "tranquillement, sereinement, mais avec beaucoup de détermination". Il a d'ailleurs assuré avoir des « preuves », mais il s'est refusé à les rendre publiques, les réservant à un livre qu'il publiera. « Ce n'est pas du tout un complot », « il n'y a pas quelqu'un qui tire toutes les ficelles dans l'ombre ». « En revanche, il ne faut pas être naïf, tout cela n'est pas le fruit du hasard », a estimé François de Rugy.
» Il est complètement en « nervous breakdown », (dépression nerveuse) C'est ainsi qu'a réagi vendredi 6 septembre a dénoncé sur franceinfo le secrétaire national d'EELV, David Cormand après les accusations de François de Rugy. On n'avait aucun moyen de savoir qu'il avait payé une partie de ses cotisations d'élu avec son IRFM », l'indemnité des parlementaires. « Nous venger de quoi ?, s'est-il encore interrogé. Ça fait un moment qu'on est passés à autre chose. Bref, c'est quand même pathétique... »
Il est utile de rappeler que, comme en matière d’abus de biens sociaux dans les entreprises, le remboursement a posteriori, même spontané, ne change rien à la donne.
Mais dans la bouche de François de Rugy, cet usage irrégulier de l’IRFM devient une simple « avance de trésorerie ».
Blanchi par Jupiter, il peut continuer comme ça à appuyer les lois scélérates de Macron et Philippe, touchant tant pour les petites entreprises, les salariés, les retraités, étudiants, l'Administration, les travailleurs sociaux, le salariés pauvres et autres.
Comme tous ces gens de la "haute" il sera peut-être un jour condamné à 1 mois de prison avec sursis eyt 1000 euros d'amende..; Mais dans combien d'années ?