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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

la macronie de Benalla à Ferrand

2 Octobre 2019, 21:12pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

les "bons amis" ne se lâchent que sur les médias à leurs bottes.
les "bons amis" ne se lâchent que sur les médias à leurs bottes. les "bons amis" ne se lâchent que sur les médias à leurs bottes.

les "bons amis" ne se lâchent que sur les médias à leurs bottes.

 * Lorsque Benalla et Crase ont le soutien sans faille de Macron et de ses sbires à Elysée ou Matignon  ...

Il y a pus d'une année que Le Monde a révélé la vidéo montrant Benalla , alors chargé de mission de l'Elysée, en train de malmener des manifestants place de la Contrescarpe à Paris le 1er mai 2018. Depuis, l'affaire Benalla a pris une dimension tentaculaire, allant même jusqu'à éclabousser certains membres de l'Elysée.

Toujours impliqué dans de nombreuses enquêtes, Benalla est aujourd'hui en Afrique, cela malgré son licenciement de l'Elysée et ses passeports diplomatiques retirés sur un tard ( même très tard) il est au Maroc à la tête d'une entreprise de sécurité privée. Entreprise qu'il a lui-même fondée et qui sert à faciliter l'implantation d'entreprises sur ce continent. Il serait également devenu « consultant sécurité de Marcel Campion, le « roi des forains ».

Avec son acolyte Vincent Crase, qui publie un livre pour « revenir sur l'affaire », ils sont toujours poursuivis pour les violences qu'ils ont commisses le 1er mai 2018 sur la place de la Contrescarpe à Paris. Le couple qu'ils avaient alors molesté a de sont côté été condamnés (très rapidement par la justice française) à versé 500 euros chacun pour violence « contre policiers ».

La macronie tirée d'affaire

L'affaire a aussi emporté dans son sillage trois proche de l'Elysée. Patrick Strzoda, directeur du cabinet de l'Elysée, Alexi Kohler, secrétaire général de l'Elysée et Lionel Lavergne, chef du groupe de sécurité de la présidence qui a depuis quitté ses fonctions, ont fait eux aussi l'objet d'un signalement au Parquet de Paris de la part de la commission d'enquête sénatoriale.

Poursuivi pour « suspicion de faux témoignage » devant le Sénat, Patrick Strzoda était visé par une enquête préliminaire ouverte par le Parquet de Paris à la suite d'un signalement de la part de Gérard Larcher, président du Sénat. Mais la procédure judiciaire visant le directeur du cabinet l'Elysée a depuis été « CLASSÉE SANS SUITE », le mettant à l'abri de nouvelles poursuites judiciaires.Même une plainte du groupe Lrem sur cette affaire a été classée « sans suite ».

Malgré ses « casseroles » Benalla est aussi soupçonné d'avoir, depuis l'Elysée, donné un coup de pouce au Russe » à Monaco.

La liste des activités nombreuses et variées d'Alexandre Benalla s'allonge au fil des rebondissements de cette hallucinante saga. Sans aucune contrainte sur ses déplacements à l'étranger bien au contraire. Selon les informations de L'Express, alors qu'il était officiellement « chargé de mission » auprès du chef de cabinet du président de la République, le jeune homme n'aurait pas hésité à intervenir afin de favoriser l'obtention d'un titre de séjour. Pas à n'importe qui : à l'oligarque russe Iskander Makhmmodov, un proche de Vladimir Poutine, impliqué dans les transports, l'énergie et les mines, partenaire de Bouygues et Alstom en Russie. Un milliardaire qui, avec son associé Andrey Bokarev,

possède le groupe Kalachnikov. Une personnalité en tout cas sulfureuse.

Investi par Macron et l' LREM
Investi par Macron et l' LREM

Investi par Macron et l' LREM

 

* La macronie ne veut pas lâcher le soldat Ferrand...

Ministre de la Cohésion des territoires dans le gouvernement Philippe (1) il démissionna de son poste, après l'affaire des mutuelles de Bretagne qui lui collé à la peau. Il fut vite « recasé » par la macronerie au poste de la présidence du groupe « Lrem » à l'Assemblée nationale, avant de prendre la place au « perchoir » de l’Assemblée nationale en remplacement de De Rugy, mis en difficulté avec les « homards »

Celle de Richard Ferrand sur des transactions immobilières au temps où il était directeur des Mutuelles de Bretagne. Après avoir démissionné ( Toujours en place au perchoir )

Mis en examen mais néanmoins président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand symbolise à lui seul le manque de probité de la macronie. Car il ne compte nullement démissionner et se dit déterminé à se « défendre en bénéficiant de tous les droits attachés à ce statut »

Ce statut, c'est donc celui de président de l'Assemblée nationale et il invoque la séparation des pouvoirs entre le législatif et le judiciaire pour se maintenir en poste. L'ordonnance des juges d'instruction de Lille est accablante, puisque Richard Ferrand  a été mis en examen - ce qui implique l’existence d'indices suffisamment concordants - pour prise illégale d'intérêts dans l'affaire des Mutuelles du Bretagne.

 

Pour ces trois là, la justice sera tout aussi « rapide » que pour l'affaire »Karachi »

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