Philippe... Le lobbyiste du nucléaire impliqué dans l'uranium gate nigérian
Maintenant que le PS qui a représenté une pseudo « gauche » pendant un quinquennat et qui a fait le sale travail de droite, associé à des traites à la cause qui se sont infiltrés dans le gouvernement (« Valls » qui a déserté en Espagne, « Macron le banquier », qui a trahi son bienfaiteur qui l'avait mis en place. Des « Le Drian » celui a vendu sa carte afin de garder un fauteuil au chaud pour ses vieux jours, et combien d'autres traites à la cause !
La bourgeoisie peut s'afficher sans complexe: avec un président aussi « pute » qu'un banquier (dixit Minc) et un premier sinistre néocolonial et nucléocrate
Le 15 mai 2017 : L'Observatoire du nucléaire dénonce la nomination au poste de premier ministre de M. Edouard Philippe qui n’est en rien le personnage « modéré » que la communication macronienne tente de mettre en scène. Bien au contraire, M. Philippe a les mains très sales, ou plutôt… radioactives.
En effet, lorsqu’il travaillait pour la multinationale atomique Areva, il a participé à de sombres manœuvres dans les coulisses uranifères de la Françafrique.
Il est alors nommé de 2007 à 2010, directeur de la communication et directeur des affaires publiques d’Areva. Il a également voté contre les lois de transition énergétique et sur la biodiversité et s’est dit favorable à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes.
C’est alors pendant la période, le 13 janvier 2008, qu’un accord est signé entre Areva et le pouvoir du Niger concernant l’exploitation de l’uranium, accord immédiatement contesté par le Mouvement des Nigériens pour la justice, mouvement touareg en rébellion contre le pouvoir centrale de Niamey. En effet, les maigres revenus de l’uranium, largement sous payé depuis des décennies par Areva, ne bénéficient en rien à la population, et encore moins aux Touaregs, alors que les mines d’uranium sont situées dans leurs zones traditionnelles de vie.
Le signal envoyé aux écolos était déjà inquiétant. Son activité principale est alors de s’assurer de la collaboration de parlementaires acquis au lobby de l’atome. Il est ainsi en contact rapprochés avec Marc Vampa, député de l’Eure et président du groupe d’amitié France-Niger à l’Assemblée Nationale.
Le groupe Areva pourrait payer une amende colossale... Mais Edouard Philippe n'est au courant de rien !
Ceux qui étaient là s'en souviennent. Nous sommes en 2008 et Charles Hufnagel, aujourd'hui conseiller en communication d'Edouard Philippe, s'apprête à quitter le siège parisien d'Areva fleuron du nucléaire français rebaptisé Orano. Il y dirige les relations avec la presse et s'envole pour de nouvelles fonctions, à Abu Dhabi, toujours au sein du même groupe.
Un tel changement de vie, cela se fête. Les salariés de son service et ceux des
affaires publiques ont répondu présent. Parmi eux, un certain Edouard
Philippe, qui travaille alors dans le même "open space". Lui, est chargé chargé des relations institutionnelles . Un joli mot pour dire lobbyiste.