Les briseurs de vies dirigés par l'Elysée et par l'Intérieur.
Arrestations aussi musclées pour les femmes, que pour les hommes par les troupes de Castaner ( Madame Geneviéve Legay 73 ans à Nice )
Et pendant ce temps, les briseurs de vies continuent leur travail macabre :
En un an, onze personnes ont perdu la vie dont une femme de 80 ans, tuée sur son balcon du 4e étage par des éclats de grenade lacrymogène tirée lors des incidents qui ont suivi les manifestations organisées le 1er décembre à Marseille.
Les mutilations physiques, 82 blessés graves depuis le 17 novembre, mains arrachées, œils et faces détruits par les LBD 40, ou grenades, des statistiques contestées par le collectif "Désarmons-les ", engagé contre « les violences d' État », « Il y a tellement de blessés que l’on ne pourrait pas en faire un recensement exhaustif mais 1.700, ça paraît peu, on serait plutôt entre 2.000 et 3.000 personnes, en n’incluant que les blessures dues aux forces de l’ordre » Celles-ci sont toujours en attente de reconnaissance par d'Etat et la justice.
* Sur les 212 (provisoires) enquêtes confiées par la parquet à l'IGPN, 146 ont déjà été « clôturées par la justice »
Parmi elles, 54 ont été classées sans suite et seulement 18 procédures ont fait l’objet d’une ouverture d’information judiciaire, dont les convocations des deux policiers devant le tribunal correctionnel. D’après un décompte du ministère de la Justice, transmis à l’AFP, 372 procédures ont été enregistrées dans toute la France, après des plaintes contre les forces de l’ordre. 109 ont été classées sans suite et 29 ont fait l’objet de l’ouverture d’une information judiciaire.
Policiers infiltrés et black-blocs --- Même combat! « la casse des manifestations revendicatives des droits de vivre »
* Les policiers infiltrés dans les manifs Gilets jaunes, commencent la casse au sein de black-blocs et se « défilent » en présentant la carte de la maison de « Intérieur » aux collègues qui les interpellent ...
* « Maroc Online » nous a fait suivre une scène précédant la séquence controversée. Des manifestants ont monté une barricade avec des barrières de chantier, les forces de l’ordre envoient des gaz lacrymogènes.
Quelques minutes avant la charge, une personne est blessée, au sol. Une scène aussi filmée en direct sur CNews. « Ça charge », crient les manifestants à un moment, et rebroussant chemin.
Une fois le cordon de CRS reformé après la charge, on voit nettement deux personnes encadrer un troisième homme, tous habillés de noirs et rentrer derrière le cordon de CRS qui les laisse passer en répétant : « C’est la BAC, c’est la BAC ».
Quelques secondes après, un homme à terre est en train d’être interpellé. Si la mauvaise qualité des images ne permet pas de reconnaître exactement ces trois personnes, on distingue toutefois que l’une d’entre elle porte à chaque fois un masque chirurgical vert.
Vu l’enchaînement des faits, il s’agit vraisemblablement des mêmes personnes (des agents de la BAC, à en croire le commentaires des CRS) qui ont emmené un homme derrière le cordon pour pouvoir l’interpeller.
« Sincèrement, je ne saurais vous dire si c’est les mêmes personnes, mais c’est fort possible. La situation était très chaotique hier, nous montrons les images qui parlent d’elles-mêmes où on les entend », indique « Maroc Online » à Check News, insistant sur le « chaos et les gaz aveuglants »
Pratique courante du maintien de l’ordre.
Alors que de nombreux internautes s’insurgent de voir « des policiers déguisés en casseurs » ( la scène a notamment été re-tweetée, sans commentaire par Jean-Luc Mélenchon ), il convient de rappeler que l’infiltration des forces de l’ordre dans les cortèges de manifestants n’a rien de nouveau.
Comme Check News l'expliquait déjà en décembre, à la suite de plusieurs scènes de ce type ayant interpellé des internautes, l’infiltration des cortèges par des policiers en civil est une pratique courante. Leur mobilité et leur relative discrétion leur permettent en effet d’effectuer des interpellations et des missions de renseignement...
Pris au piège dans une laverie par les black-blocs, ! Pour leurs « collègues » , ils avaient d'autres chats à fouetter ! Un autre remplit son sac de maillots du PSG, le lanceur de pierre de l'A1... ou encore, le commandant boxeur d'homme de coulleur:.; Tous des gens en attente de procès, de blanchiment par l'IGPN ou en attente d'un appel de leur avocat !
A Toulon : Un commandant de police boxe des gilets jaunes, il avait été recensement décoré par l'Etat, mais avait aussi bien avant la « récompense reçue » été sanctionné...
Le procureur de la République a ouvert deux informations judiciaires pour « faire la lumière » sur les éventuelles violences commises samedi à Toulon par trois hommes après une manifestation de « Gilets jaunes », mais aussi sur leur interpellation par le policier filmé en train de les frapper, a annoncé le procureur de la République, Bernard Marchal. L'IGPN est « saisie ».
L'acte 53 du 17 novembre dernier/
Alors que les « forces de répressions » continuaient leurs œuvres destructives envers des Gilets jaunes pacifiques, deux de leurs « camarades » étaient pris au piège dans une « laverie » sur les boulevards. Les reporters télé et autres journalistes étaient sur place… Mais les compagnies de répression, étaient trop occupés à mutiler d'autres gilets jaunes, laissant filer ainsi les black-blocs en cause !
* Pour le CRS de la 1A, lanceur de pierre du 1er mai dernier, c'est le premier cas « jugé » suite à son intervention vers les gilets jaunes qui n'a pas fait de blessé.
Ce CRS comparaissait « pour violences volontaires de la part d'une personne dépositaire de l'autorité publique » pour son geste pour lancé un pavé en direction de manifestants gilets jaunes lors de la mobilisation, dans le XIIIe arrondissement de la capitale...
* Samedi 16 mars 2019 pendant l'acte XVIII des gilets jaunes, la boutique du PSG des Champs-Élysées a été vandalisée. Un journaliste de « Brut » qui faisait un live de la manifestation a filmé un moment étrange où on peut voir un policier en train de mettre des maillots dans son sac à dos. Juste après avoir filmé cette scène, le journaliste a reçu un coup de matraque. Ce policier était-il en train de voler des maillots ???
Le procureur de la République a ouvert deux informations judiciaires pour « faire la lumière » sur les éventuelles violences commises samedi à Toulon par trois hommes après une manifestation de « Gilets jaunes », mais aussi sur leur interpellation par le policier filmé en train de les frapper, a annoncé le procureur de la République, Bernard Marchal. L'IGPN a été « saisie »...
Soutiens pour Manu et sa famille à Valenciennes éborgné par une grenade lacrymogène lancée par la police avec un lance grenade PGL 65. Mais pour Castaner et ses hommes de la répréssion « démocratique", les journalistes contredisent trop leurs mensonges d'Etat.
Un jeune Valenciennois – Manu T, parti en car à Paris avec des sympathisants et amis, afin de faire entendre dans le calme les revendications de vivre mieux en France. Il a reçu une grenade lacrymogène dans la figure, suite à un lancement de grenade lacrymogène au lance grenade multiple PGL 65 …
Après une prise en charge dans les hôpitaux parisiens pour les premiers soins, il fut rapatrier au CHU de Lille avec des fractures multiples à la face, mais, à 40 ans, son œil est perdu à vie et plusieurs fractures faciales . Une marche de soutien pour Manu et sa famille a été organisée ce samedi 23 novembre, réunissant plus de de 600 Gilets jaunes dans les rues de Valenciennes.
Si Jean Lassalle s'est élevé contre l'arrestation d'Eric Drouet, le nouveau « macroniste Laurent Degallaix »; le maire de Valenciennes, qui a fait allégeance au maître de l'Elysée dans l'espoir de conserver son siège :
A-t-il eu un mot pour la défense du Valenciennois Manu, qui a perdu un œil et différentes fractures lors de l'acte 53 à Paris, handicap majeur dû à la sauvagerie des hommes que Macron et Castaner et Lallement commandent ???
* Un autre jeune homme de 18 ans, qui portait un masque à gaz et un dossard presse, a eu le nez fracturé par un projectile. Il filmait les manifestations pour un média indépendant.
Il faut reconnaître , que même le Parlement de droite de l'UE se soucie beaucoup plus de 800 arrestations au Soudan que des plus de 5000 Gilets jaunes placés en garde à vue, les morts et les handicapés à vie, par la police ed Macron et Castaner !
* Rappelons aussi, les interpéllations le 6 décembre 2018.
Ce jour-là, 151 jeunes âgés de 12 à 21 ans, sont arrêtes par les « forces de l’ordre » après des incidents en marge d’une manifestation dans le cadre d’une mobilisation nationale des lycéens… La vidéo postée sur les réseaux sociaux avait suscité une vague d'indignation. Les images de ces jeunes forcés de se tenir à genoux, les mains sur la tête durant plusieurs heures, avaient été qualifiées de « choquantes » par le ministre de l’Éducation nationale ... Plusieurs d’entre eux ont déposé plainte par la suite pour violation de liberté individuelle.
Cinq mois plus tard, deux jeunes ont été entendus par les enquêteurs de l’IGPN, ( la police des polices ) « n'est-ce pas trop tard ?»
Celui qui a été entendu le matin n’a pas fait qu’être mis à genoux. Il sortait du lycée où il avait assisté aux cours, ce qui a été vérifié. Il ne faisait pas partie des manifestants. Mais il a été pris dans la nasse mise en place par la police de Castaner.
Comme la plupart des lycéens, il ne pouvait pas s’en extraire. Ils ont été repoussés vers les « Resto du cœur » où ils ont été mis à genoux. Il a expliqué aux enquêteurs que cela avait duré plus de deux heures, qu’il avait également reçu des coups de matraque lorsqu’il a été couché au sol par les policiers. Son téléphone portable, qui était dans son sac, a été cassé par ces coups.
Un agent lui a écrasé le dos avec son pied, il lui a marché dessus. Ce jeune de 15 ans a ensuite été placé en garde à vue. Les policiers lui ont fait du chantage en lui disant que s’il voulait un avocat, il devait attendre une nuit de plus. C’est la raison pour laquelle il a été entendu sans avocat. Finalement, il n’a eu qu’un rappel à la loi. Forcément, ils n’avaient rien à lui reprocher. Il a donc déposé plainte pour violation de liberté individuelle.
Mais comme par hasard, cinq mois après les faits témoignages recueillis tout de suite, ont mystérieusement disparu.Des dossiers, une fois de plus, concernant des violences policières, l’institution judiciaire a tout fait pour éviter que la vérité ne soit faite. Simplement parce que le procureur de la République n’est pas indépendant et qu’il protège les policiers de manière générale. Même si l’affaire a été dépaysée, ça ne suffit pas.
Il faut constater que les policiers de l'IGPN n’ont posé qu’un quart des questions qu’ils auraient dû poser. Il aurait été souhaitable que l’ensemble des lycéens soient entendus. Dans une enquête, il faut entendre l’ensemble des témoins, même s’ils ne souhaitent pas forcément déposer plainte.
Ce que l'on a pu observé au fil des auditions, c’est que ce qui s’est passé est bien pire que ce qu’on a pu voir sur la vidéo.
* L’enquête, ouverte le 12 février et confiée à la « police des polices », a été classée sans suite le 24 juillet, a indiqué la procureure de la République dans un communiqué à l’AFP
En bonne mère de famille, la procureure explique le classement « sans suite »
« Le fait de retenir les personnes interpellées en position à genoux ou assise, entravées pour certaines d’entre elles, apparaît justifié par le contexte exceptionnel de violences urbaines graves et le nombre de personnes devant être conduites dans les locaux de police, nécessitant une organisation matérielle incompressible », écrit la procureure de Nanterre, où le dossier a été dépaysé. Les plaignants « placés en garde à vue ont bénéficié des droits légaux attachés au régime de la garde à vue », souligne-t-elle.
Aussi, à ce jour quelle question faut-il se poser? Sur le régime macronie ainsi que sur les cas de Castaner-Nuñez et le préfet de police de Paris Didier Lallement. Lorsque ce préfet s'autorise de répliquer à une Gilet jaune « Nous ne sommes pas dans le même camps » Ou en sommes nous de la démocratie en France ? Existe-t-elle encore à ce jour ?
Ces personnages veulent-ils concurrencer le ministre de l'Intérieur Roger Frey et son préfet Papon qui en 1961 ont fait exécuter plusieurs centaines d'algériens noyés pour la plupart dans la Seine et qui manifestaient dans Paris pour la paix et l’indépendance de leur pays.
Ou encore le massacre du 8 février 1962 des neuf manifestants français membres du PCF et de la CGT au métro Charonne, qui eux aussi manifestaient pour la PAIX !
Il faut se rappeler que Papon avait un passé lourd, suite à sa collaboration avec le nazis et l’arrestation de juifs bordelais envoyés dans les camps d'exterminations.