Que les communes dont les sols ont été empoisonnés par les acides et métaux lourds d'entreprises qui ont fermé leurs activités pour délocaliser l’empoisonnement des terres à moindre prix dans des pays à bas coup de salaire , prennent exemple
Pourtant,la COP 21 la Paris voulait « sauver la nature » et les forêts. C e n'était pas le projet de Jupiter : Mais aujourd’hui trop de clairières en forêts domaniales se forment, sans replantation ! L'exemple d'un chêne de 350 ans d'âge abattu pour la vente. mais combien d'autres milliers d'hectares disparaissent en France ?
Trop d’arbres tels les chênes tri-centenaires ou plus, sont abattus en France pour être exportés à plus de 30% en Chine, tout comme d'autres grumes de bois fins prennent la même route.
Alors, il faut saluer la position d'une commune dont les sols ont été empoisonnés par les acides et métaux lourds d'industries qui ont laissé le plus souvent leurs terrains sans les purger à la charge pour eux du contribuable. Comme cela s'est passé à Noyelles-Godault et Courcelles-les-Lens avec l'abandon de l'usine Metaleurop usine de raffinage de zinc et plomb.
Un million d'arbres au chevet des sols.
Depuis le 25 novembre les premiers arbres ont été plantés sur une terre empoisonnée mené par les métaux lourds, acides et autres.
Le résultat d'un long combat porté par le maire PCF de Pierrelaye
Un sol bourré d'acides et de métaux lords, des décharges à ciel ouvert… a plaine de Pierrelaye-Bessancourt, qui a accueilli les eaux usées de Paris jusqu’en 1992, est salement détériorée. Après des années d’études, de procédures, une forêt de 1350 hectares prend enfin racine sur ces terres du Val-d'Oise. Un projet inédit, et l'espoir d'une résilience.
C'est une immense plaine où personne n'aurait l'idée de s'aventurer. Depuis des années, elle abrite une décharge à ciel ouvert. Aménagements sauvages, installations illégales, carcasses de voitures, dépôts de matériaux de construction, de pots de peinture et autres solvants…
Dans le Val-d'Oise, à 25 km de Paris, ma plaine de Pierrelaye-Bessancourt, qui s'étant sur 2000 hectares, a triste figure. Les agriculteurs, plus qu'une poignée, sont condamnés à produire des cultures destinées à la consommation animale ou qui finiront en biomasse.
Leurs légumes « les plus beaux des Halles de Paris, disait-on » faisaient jadis la fierté de tout un territoire. Mais les terres sont polluées. Pourtant, Michel Vallade affiche aujourd’hui un franc sourire. Le maire communiste de Pierrelaye, l'une des sept communes frontalières de ce vaste terrain, a de quoi se réjouir.
Ce qui, pendant longtemps était considéré comme une douce utopie prend racine, enfin. Une forêt va s’ériger sur 1350 hectares. Le 25 novembre dernier, les premiers arbres ont été plantés. « Un million d'arbres en cinq ans » Du jamais vu en Île-de-France.
Pour lui, c'est l’histoire d'un long combat. Lorsqu'il est élu en 1977,
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