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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Comme on pourrait le dire en mécanique auto, la rentrée des classes de Blanquer « tourne sur trois pattes »

16 Septembre 2020, 21:40pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Comme lui-même le disait en mai dernier: 0 + 0 = « la tête à toto »  : mais il continue quand même !
Comme lui-même le disait en mai dernier: 0 + 0 = « la tête à toto »  : mais il continue quand même !

Comme lui-même le disait en mai dernier: 0 + 0 = « la tête à toto » : mais il continue quand même !

« C'est quand même une rentrée qui est bonne » comme dirait le ministre de

l'Education , satisfait de lui-même.

 

Un ministre de l'Education nationale qui écoute trop ses technocrates et sa propre voix afin de décider ce qui n'est pas décidable pour lui. L'obligation du port de masques est pour tous, dès la 6ème jusqu'à la terminale !

Quant aux classes primaires ou le masque n'est pas obligatoire pour les élèves, sachons que si les professeurs des écoles, professeurs et élèves du secondaire ainsi que les personnels administratif ou de service, sont dans l'obligation de porter le masque.

 Ces personnels ne sont pas tous âgés de 20 ou 30 ans et beaucoup d'entre eux peuvent être, eux aussi des personnels vulnérables à la contamination !  

Encore faudrait-il connaître l'efficacité des masques fournis par l'Education nationale aux enfants et aux personnels et, de savoir s'ils sont aux normes sanitaire tout en correspondant à l'essai de souffle sur la flamme d’allumette ! (ce qui n'est pas gagné !)

Il faut lire qu'aujourd’hui, il ne se passe pas un jour sans apprendre la fermeture de classes ou d'écoles primaires pour cause de foyers d'infection au Covid. Le ministre lui-même a annoncé ce 16 septembre que 81 établissements  scolaires, soit un peu plus de 2100 classes étaient actuellement fermées en raison  de cas de Covid 19.   

( ça, c'est au 16 septembre 2020 ! ) Et après ?

En ministre masqué: Il demande les masques, les gels hydroalcoolique dans les écoles collèges et lycées  sachant que le produit ne remplace pas le lavage des mains . Mais il se fiche totalement des communes rurales qui paient la note.
En ministre masqué: Il demande les masques, les gels hydroalcoolique dans les écoles collèges et lycées  sachant que le produit ne remplace pas le lavage des mains . Mais il se fiche totalement des communes rurales qui paient la note.En ministre masqué: Il demande les masques, les gels hydroalcoolique dans les écoles collèges et lycées  sachant que le produit ne remplace pas le lavage des mains . Mais il se fiche totalement des communes rurales qui paient la note.

En ministre masqué: Il demande les masques, les gels hydroalcoolique dans les écoles collèges et lycées sachant que le produit ne remplace pas le lavage des mains . Mais il se fiche totalement des communes rurales qui paient la note.

UNE NOTE QUI PROMET D’ÊTRE

PARTICULIÈREMENT SALÉE

 

Une semaine après la rentrée scolaire, les parents d’élèves commencent déjà à faire les comptes. Et pour cause, la crise de la Covid-19, loin d’être terminée, va durement impacter le portefeuille des foyers. Jean- Yves Guéant, président de la FCPE Nord, fait le point pour Liberté Hebdo.

« Ça varie très fréquemment. La fourchette va de 200 à 500 euros car on n’a pas les mêmes besoins en fournitures à la maternelle ou au lycée. » Une semaine à peine après le début de la rentrée et les traditionnels achats de fournitures scolaires, la note de cette rentrée scolaire 2020 s’annonce déjà particulièrement salée pour les parents d’enfants scolarisés à la maternelle et au primaire, craint Jean-Yves Guéant, président de la FCPE Nord.

La raison ? La baisse des dotations aux municipalités. Ces dernières, livrées à elles-mêmes, reçoivent moins d’argent de la part de l’État, ce qui les oblige à rogner sur des secteurs de dépenses essentiels comme l’éducation.

Fermetures d’écoles : l’enjeu du congé parental

Cependant, il estime qu’on pourra réellement analyser le coût global de cette rentrée scolaire une fois que l’on connaîtra la totalité des charges que doivent régler les familles.

Si certains établissements de la région ont pris l’initiative de fournir des masques aux élèves, Jean-Yves Guéant prédit que des inégalités territoriales vont voir le jour.             « Il va y avoir des iniquités entre les familles des différentes classes sociales. Tout le monde sera pénalisé mais pas de la même manière » décrypte ce dernier.

Ainsi, les classes les plus défavorisées, bien que disposant de la gratuité des masques, vont devoir compter le moindre centime, quand les classes moyennes et supérieures vont devoir intégrer dans leur budget l’achat de masques au tarif plein. Pour Jean-Yves Guéant, l’État « refile la patate chaude aux municipalités » et fuit ses responsabilités.

« Je reproche à l’État de ne pas avoir mis en place un dispositif national sur les masques afin que tout le monde soit logé à la même enseigne. Je considère que l’Éducation nationale ne compense pas le coût de ces dépenses supplémentaires » tonne le président de la FCPE Nord.

Tandis que la Covid-19 continue de sévir dans l’Hexagone, certaines écoles ont déjà été contraintes de fermer dès la rentrée et l’idée d’instaurer un congé parental fait son chemin du côté du ministère de l’Éducation nationale, ce qui n’est pas pour déplaire au représentant des parents d’élèves.

« C’est extrêmement important car généralement les familles l’apprennent [la fermeture des écoles, ndlr] le jour même pour le lendemain. » Pour le président de la FCPE Nord, si l’école ferme, il faut des solutions. Il juge que l’instauration du congé parental aurait dû se faire dès la rentrée scolaire.

Mais qui dit congé parental, dit potentielles baisses de revenu pour des foyers déjà impactés financièrement par une situation sanitaire et économique inédite.

Et sur ce point, Jean-Yves Guéant ne transige pas, lors d’un congé parental lié à la fermeture d’une école en raison du coronavirus, les revenus des parents « doivent être égal au Smic et sans baisse ».

 

 

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