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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Le « rêve américain » que Macron et ses courtisans des sous-sols de l'Elysée veulent nous imposer en France avec l'aide du Medef et les grands assureurs US

11 Octobre 2020, 11:48am

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Un rigolo qui a déjà 210 000 morts derrière lui, dans un pays qu'il dirige depuis 4 ans ! Et la France qui veut, avec Macron et sa bande, copier ce modèle afin de renflouer plus encore les actionnaires du CAC 40, du Medef, des banques dont il est issu,. sans oublier les assureurs aux bottes de BlackRock !Un rigolo qui a déjà 210 000 morts derrière lui, dans un pays qu'il dirige depuis 4 ans ! Et la France qui veut, avec Macron et sa bande, copier ce modèle afin de renflouer plus encore les actionnaires du CAC 40, du Medef, des banques dont il est issu,. sans oublier les assureurs aux bottes de BlackRock !
Un rigolo qui a déjà 210 000 morts derrière lui, dans un pays qu'il dirige depuis 4 ans ! Et la France qui veut, avec Macron et sa bande, copier ce modèle afin de renflouer plus encore les actionnaires du CAC 40, du Medef, des banques dont il est issu,. sans oublier les assureurs aux bottes de BlackRock !
Un rigolo qui a déjà 210 000 morts derrière lui, dans un pays qu'il dirige depuis 4 ans ! Et la France qui veut, avec Macron et sa bande, copier ce modèle afin de renflouer plus encore les actionnaires du CAC 40, du Medef, des banques dont il est issu,. sans oublier les assureurs aux bottes de BlackRock !Un rigolo qui a déjà 210 000 morts derrière lui, dans un pays qu'il dirige depuis 4 ans ! Et la France qui veut, avec Macron et sa bande, copier ce modèle afin de renflouer plus encore les actionnaires du CAC 40, du Medef, des banques dont il est issu,. sans oublier les assureurs aux bottes de BlackRock !

Un rigolo qui a déjà 210 000 morts derrière lui, dans un pays qu'il dirige depuis 4 ans ! Et la France qui veut, avec Macron et sa bande, copier ce modèle afin de renflouer plus encore les actionnaires du CAC 40, du Medef, des banques dont il est issu,. sans oublier les assureurs aux bottes de BlackRock !

Aux États-Unis, un anti-modèle meurtrier

 

de plus en plus contesté

 

Outre Atlantique, la pandémie de la Covid -19 a déjà coûte la vie à plus die 210 000 personnes. Un désastre qui jette une lumière crue sur un système inégalitaire livré aux géants de Wall Street et remis en question.

 

En d'autres temps, les libéraux du monde entier ne juraient que par ce modèle. Pensez : un système de santé et de protection sociale entièrement privatisé qui fait toute le place aux compagnies d'assurances entre les mains des géants de la finance à Wall Street.

Aujourd'hui, cependant, à l'heure de la pandémie de la Covid-19, leur admiration s'est faite beaucoup plus discrète. Et pour cause : les États-Unis affichent l'un des bilans les plus désastreux de la planète en ce qui concerne les dégâts du coronavirus. Et ils le doivent en majeure partie à la faillite de leur système de santé.

Avec 500 à 1000 morts enregistrés chaque jour, ils ont franchi le seuil des        210 000 victimes « officiellement recensées ». Soit plus de 20 % du total des personnes décédées de la Covid dans le monde …

 

Des millions de personnes sas couverture maladie.

 

La pandémie dirige les projecteurs sur l'un des traits les plus insoutenables du modèle états-unien. Avant la Covid, plus de 30 millions de personnes ne possédaient déjà aucune couverture maladie. Avec l'explosion de la crise économique et sociale qui s'est exacerbée en parallèle de la crise sanitaire, des millions de nouveaux chômeurs sont venus grossir leurs rangs.

Car la perte de l'emploi aux États-Unis signifie presque toujours la disparition simultanée de la couverture santé. En vertu de règlements sociaux très favorables, le patronat états-uniens s'assure une flexibilité maximale et peut se séparer rapidement de ses personnels pour éponger immédiatement une partie de ses pertes financières.

 

Or, un salarié n’accède généralement à une police d'assurance -maladie que parce qu'elle lui est fournie par son employeur au moment où il signe son contrat de travail.

 

Au total, des dizaines de millions de laissés pour-compte constituent ainsi une proie idéale pour le virus. En dépit des symptômes les plus alarmants, ces citoyens non (ou mal) assurés vont retarder le plus possible leur visite chez un médecin, fuir encore d'avantage l'hôpital. Ils savent que le montant de la facture sanitaire risque de les précipiter dans une situation de faillite personnelle.

Ce faisant, ils deviennent autant de foyers de propagation de la Covid. La carte des ravages de la pandémie va ainsi épouser celle des ghettos de pauvres et frapper donc de façon très disproportionnée les « minorités » afro-américaine ou latino. A Chicago, 72 % de victimes du coronavirus sont des Noirs, alors qu'ils ne représentent que 30 % de la population.

Les douleurs sont si insoutenables, le désastre si patent, qu'un débat a surgi sur le besoin d'un système universel, où la protection de chaque individu devient la condition de la protection de tous. Le candidat Joe Biden, issu de « l'establishment démocrate », refuse cependant d'envisager une telle transformation, préférant plaider un vague amendement du système .

 

Ce qui inquiète bien au-delà des militants progressistes. « Ignorer ce défi », alors même que la santé est devenue le premier sujet de préoccupation des citoyens états-uniens, fait resurgir en effet le spectre de la déconvenue de 2016, en écoutant une novelle fois le crédit du candidat « anti-Trump » ce qui pourrait maintenir éloigner des urnes une classe « laborieuse » désabusée.

 

La proposition du sénateur Bernie Sanders d'instaurer un système public « Medicare for All » (Medicare pour tous) répond en revanche à cette aspiration si actuelle. Il s'agirait de généraliser un dispositif public, partiel existant de couverture maladie. Il est réservé aujourd'hui aux seuls retraités de plus de 65 ans pour leur permettre d'accéder aux soins quel que soit le montant de leurs pensions.

 

 

 

 

 

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