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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Tous médecins malgré eux (rien à voir avec Molière) Mais qu'ont-ils fait depuis 9 mois.

6 Novembre 2020, 11:45am

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Est-ce les futures campagnes électorales que Jupiter et sa bande lancent au nom de la Covid? Est-ce les futures campagnes électorales que Jupiter et sa bande lancent au nom de la Covid?
Est-ce les futures campagnes électorales que Jupiter et sa bande lancent au nom de la Covid?

Est-ce les futures campagnes électorales que Jupiter et sa bande lancent au nom de la Covid?

Celui qui est devenu calife à la place du calife ! »


Lors de la première vague de la Covid-19, le « sieur Castex » fut l’homme du déconfinement dès le 2 avril 2020 à l’appel du Premier ministre de l’époque Edouard Philippe. Un déconfinement limité dès le 11 mai, sans permission de sortie, mais limitée à 100 km de rayon atour de l'habitation principale.

Ce fut un « déconfinement » ayant pour seul but, dans un esprit purement « macroniste de « sauver l’Economie du pays en Marche » ainsi que les dividendes des milliardaires du CAC 40. Le principal étant de remettre en route la machine économique qui avait coûté cher au grand patronat.
La reprise d’une seconde vague du virus était prévisible.


Depuis mars dernier et après deux mois de confinement ; qu'ont donc fait l’exécutif et Macron pour améliorer le suivi des malades du Covid ?

A l’exception d'avoir « viré poliment » Buzyn pour la remplacer par Véran le nouveau « Monsieur Santé » ; ce dernier, pousse aujourd'hui sa « crise juvénile » devant les élus parlementaires afin de faire croire qu'il avance dans ses actions « préventives » depuis son arrivée le 17 février dernier.

Mais à quoi se résume le « travail » exceptionnel de ces gens depuis le début de la pandémie ?

* Par un manque de place dans les services hospitaliers, ils ont été dans l'obligation de réquisitionner des lits et des personnels de réanimation lors de la première vague de mars, dans les services soignants d'autres patrologies, au détriment des malades « en attente  de soins »

* Mais ils ont aussi demandé d'applaudir les services de Santé et de Secours depuis les balcons, sans oublier une promesse d'augmentation des salaires des hospitaliers, ainsi qu'un renforcement du nombre de lits hospitaliers des urgences, avec le personnel adéquat et l'augmentation de lits de réanimation…

* La promesse de récompenser l'ensemble des soignants en pointe dans les centres hospitaliers par la revalorisation des salaires, des primes « exceptionnelles » après le tri financier de celui qui pourra en bénéficier, mais aussi la distribution de médailles (peut-être achetées chez Amazon ) pour combler les remerciements…

Et combien d'autres promesses en attente de concrétisation ?


Ou en sommes nous en novembre 2020 ?

* Alors qu'en Allemagne les centres hospitaliers disposent de 24 000 postes en réanimation, la France en reste à 6 000 lits fin octobre 2020.

* Quant à l'Italie, un des pays européens le plus touché dès la première attaque de l'épidémie début 2020, celle-ci a embauché en l’espace de huit mois 6 000 médecins et 14 000 infirmières…

Chez nous, il faut savoir que certains centres hospitaliers, toujours sur la « corde raide financière » ont, pour beaucoup d'entre eux, été dans l'obligation de ne pas renouveler les embauches en CDD d'agents des services techniques, de nettoyage, d'infirmières, aides soignantes etc, tout cela malgré les promesses de Macron et de ses services technocratiques ministériels.

* 1 000 lits supplémentaires de réanimation ont été ouvert depuis mars, pour arriver aujourd'hui au chiffre de 6 000 (mais combien de lits supprimés dans les autres unités de soins pour combler ces « suppléments ? »

Après les annonces mortifères de Jupiter et de l'ensemble de l'exécutif en place ( de Philippe à Castex), ils expliquent les résumés des « conseils de défense », sur les chaînes d'info en boucle, à des Français qui ne comprennent rien des leurs décisions prises et, qui changent de jour en jour !

«  Monsieur reconfinement » a, dans un premier temps imposé un « couvre feu », puis décidé, en accord avec l'Élysée de ré-cloîtrer les français à la maison depuis le 30 octobre jusqu’au début décembre ( dans l'espoir de sauver Noël ! )

Des décisions unilatérales sans autre consultation des intéressés, ont été prises pour la re-fermeture des bars, restaurants, dès le 16 octobre, à l’exception des buralistes, « monopole d'État » vendeurs de tabac, premier poison cancérigène en vente libre, qui sont restés ouverts afin de ne pas pénaliser les fortes taxes qui rentrent à Bercy.

 

Puis ce fut le reconfinement annoncé par le « chef », suivi par son armée de ministres pour nous annoncer un nouveau confinement (différent à celui de mars) : en effet, les ouvriers et employés pourront retourner sur leurs lieux de travail avec certificats de l’employeur ou de l'administration et horaires indiqués.

La réouverture des écoles après les vacances de la Toussaint est autorisée, avec masques obligatoires pour les élèves dès 6 ans. (masques encore indisponibles dans les pharmacies) et autorisation aux parents de conduire et de rechercher les enfants en fin de cours. ( avec permissions écrites, datées et signées )


Quant aux petits commerçants, qui ne sont pas épiciers, primeurs, boulangers, bouchers ou autres et qui exercent en centre bourg ou ville, ils devront rester fermés, laissant ainsi place libre aux hypermarchés et grandes surfaces de vendre les produits toutes marques, (de la casserole à la chaussette) ou laissant aux sociétés de livraisons à domicile type Amazon, le soin de continuer leurs affaires sans payer les charges dont l'artisan ou le petit commerçant est soumis.

 

Décisions qui ont amené une partie de ces petits commerçants et artisans concernés à « fronder », souvent soutenus par leurs élus de proximité. Ils ont ainsi amené avec peine, l’exécutif à revoir sa position : Castex et ses équipes ont « accepté du bout des dents», la fermeture des rayons incriminés dès le 4 novembre.

Cette « bronca » des petits commerçants n'a rien à voir avec le poujadisme des années 1950, et ce ne sont pas les paroles insultantes des « Le Maire et Borne » qualifiant les maires et élus soutenant la réouverture des petits commerces « d'irresponsables », en appelant les préfets à supprimer ces décrets, ce ne sont pas par de telles menaces que l'apaisement des esprits arrivera !


Il est certain que pour ces ministres, il est plus facile de mettre au banc des accusés les élus locaux que les familles Mulliez, Leclerc, Bompard ( Carrefour ) Schelcher (Super U) et d'autres qui eux, s'arrangeront pour détourner l'interdiction par de la vente en ligne, comme Amazon qui ne se gênera pas de le faire aux dépends du petit commerce et de l’artisanat.

Le ras le bol de ces « Français de rien » est à son comble et un gouvernement qui n'arrive pas à prendre les décisions nécessaires et ne cesse de se contredire d'heures en heures sur les antennes ou devant les Assemblées est une composition de dirigeants inutile !


Qui sera donc le nouveau « Monsieur déconfinement dans les mois prochains ? »

L’attestation de permis de sortir « modèle Castaner » revient en service, avec le risque de contraventions d’un montant minimum de 135 €en cas d'oubli, sans oublier l’attestation de droit de sortir pour les courses de premières urgences ou encore pour aller faire « pisser toutou ».

Rappelons que le premier confinement à fait sujet de 20,7 millions de contrôles procédés par les forces de l’ordre  et de 1,1 millions de contraventions dressées sous Castaner, sanctionnant le défaut d’attestation de déplacement ! 


Darmanin fera-t-il mieux ?

 

* Le respect de la distanciation étant une autre affaire dans les transports en communs, Métros, RER ou TER comblés aux heures de pointe. Mais, après la rentrée de la Toussaint, Blanquer se trouve, après les tergiversations à la « Trump ou Johnson » devant des directeurs d'établissements qui doivent composer avec des classes de 45 m² pour 35 élèves et personnels ou des cantines à six élèves par table.

* Mais, en ce début du mois de novembre, il est nécessaire de savoir que le ministère Santé, qui ne cesse de passer des spots publicitaires sur les précautions à prendre sur la pandémie, en rajoute pour appeler les personnes « âgées ou vulnérables », à se faire vacciner.

Mais, les pharmacies ne sont toujours pas en mesure de se fournir ces vaccins « anti-grippe saisonnière » avant au moins le 10 novembre prochain, pour cause de rupture de stocks !

Ces spots et courts métrages lançaient sur les médias par Ministère de la Santé . Gouv, la Sécu ou tout autre commendataire ne seraient-ils pas pour aider les amis milliardaires, propriétaires des chaînes privées, en manque des publicités commerciales depuis le début d'année, sur les 100 milliards prévus pour la relance "Castex" ?
 

La consigne Macron : « Restez chez vous ! » mais, les ouvriers des usines, les travailleurs du bâtiment, les employés des services publics, les enseignants et les élèves se retrouvant à 35 dans des salle de moins de 50 m², les services cantines scolaires à 6 élèves par table, les employés en grandes surfaces, etc.. ? Cad des millions de personnes :  AU TRAVAIL !  INCOMPRÉHENSIBLE ...

La consigne Macron : « Restez chez vous ! » mais, les ouvriers des usines, les travailleurs du bâtiment, les employés des services publics, les enseignants et les élèves se retrouvant à 35 dans des salle de moins de 50 m², les services cantines scolaires à 6 élèves par table, les employés en grandes surfaces, etc.. ? Cad des millions de personnes : AU TRAVAIL ! INCOMPRÉHENSIBLE ...

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