La police municipale: un coût énorme pour les communes pour combler la faillite de l'Etat sur la sécurité des citoyens !
Lorsque les communes doivent assumerà leur frais la protection de ses citoyens suiteà la défaillance de l’État, cela depuis lepassage Sarkozy « aux affaires » !
* En 2007 Sarkozy supprime 13 000 emplois de policiers et de gendarmes, effaçant ainsi les postes de police de proximité dans les quartiers ( inutiles et trop chers pour Sarko )* L'âge légal du départ en retraite dans la police nationale est de 52 ans ( à partir de 27 ans de service ) mais l'époque a voulu que certains fonctionnaires qui avaient cumulé des heures supplémentaires non payées ont pu aussi les déduire du temps légal et partir en retraite avant l'âge requis - ces emplois n'étant pas remplacés...* Alors qu'un policier était encore formé ( avant le passage de Sarkozy ) en 12 mois à l'école de la police nationale, ce dernier a réduit le stage à 8 mois. Ne cherchons plus d'où peuvent venir les bavures ignorées de plus en plus par l’État et l'IGPN.
* Aujourd’hui, les postes de la police nationale ouverts dans les villes moyennes, qui l'étaient de 9 h à 17 h (mais fermés le week-end), ainsi que les brigades de la gendarmerie nationale ont été fermées dans beaucoup de communes et sont de plus en plus remplacées par de la police municipale.
Celles-ci sont équipées aux frais des municipalités et donc des contribuables, tant pour les locaux aménagés, les uniformes, armements et autres matériels techniques (voitures ou motos de patrouille, ordinateurs, caméras de surveillance, ainsi que le coup de la maintenance de l’ensemble des matériels mis à disposition) y compris les lacrymogènesCes derniers assurent la sécurité lors des fêtes communales, commémorations et jours fériés etc. avec rattrapage par RTT.Ces « municipaux » sont souvent recrutés dans les rangs d'anciens militaires, des chefs de services sortant dans certaines « grandes villes » sont d'anciens officiers de l'armée ( reportage BFMTV). Leur formation est encore un mystère, à l'exception reconnue de la rapidité de la montée en grade, par rapport à la police nationale.En effet si un gardien stagiaire sorti de l'école passe gardien en quelque temps, beaucoup d'entre eux, le reste jusqu'à l’âge de la retraite, au mieux passe sous-brigadier, voir brigadier...Chez les municipaux, on y trouve rapidement des brigadiers-chefs, majors, allant même au grade de capitaine « chef de service » après quelques années de présence...Darmanin, veut à ce jour installer 30 000 policiers réservistes**Afin « d'aider » les représentants de l'ordre, submergés dans un premier temps par les Gilets jaunes et aujourd'hui par les contrôles d'autorisation de sorties suite aux confinements et aux couvre-feux, Darmanin va jusqu'à appeler les Français à la délation, tout comme dans les années noires de 1940 sous Vichy et de l'occupant nazi ou un service Français du type « Stasi ».
Aujourd’hui, Darmanin nous « invente » la loi relative à la « sécurité globale » visant les enfants instruits à domicile et l'islam... Une loi à laquelle il tient, afin de rassurer les électeurs de droite qui seraient attirés par le vote extrémiste.
S'il tente de rassurer les Assemblées élues sur différents points de crispations d'une partie du texte, concernant la crainte du désengagement de l’Etat occasionné par l’élargissement des compétences des policiers municipaux, « l'article 24 ou à l'utilisation des drones en complément des caméras fixes déjà en œuvre par dizaines de milliers en France ». Il revient à la charge avec la mise en place de 30 000 volontaires réservistes « dite républicaine ».Ces derniers pourraient amplement venir en aide aux CRS - gendarmes mobiles etc. dont les effectifs ont déjà été renforcés au détriment des polices de proximité, qui sont occupés aujourd'hui à la « chasse au trésor » mise en place par les exécutifs Philippe et Castex, contre les délinquants qui ne respectent pas les décrets de confinements et autres !Une recherche de pognon qu'ils ont organisé depuis un an afin de renflouer Bercy et non pour aider les hôpitaux !Ces 30 000 « miliciens » qui seront peut-être un jour sous les ordres de Benalla et Crase ???Car n'en doutons pas, le « Pôle Emploi élyséen » n'a pas pour habitude de laisser ses « ex premiers de cordée » traverser la rue afin de chercher du travail.Ces Benalla et Crase, pouvant venir en aide aux « services d'ordre de Darmanin » s'il on y ajoute les gros bras qu'ils détiennent dans leurs services privés, cela dans le seul but de mater toutes les contestations à venir ... surtout après la mise en place des lois passées en force par l’État macroniste depuis quatre ans, et dernièrement, qui, en profitant de la pandémie ont passé en force la destruction di Code du Travail, les lois sur les retraites, le chômage ou encore la démolition de la Sécurité sociale.** Est-il nostalgique de l'histoire américaine ?* Cela nous rappelle l'histoire des siècles passés concernant les milices racistes et armées qui ont été formées pendant la guerre de sécession (1861/1865) aux Amériques et qui ont été poursuivies après la création de l’État.La population blanche et raciste préférant le maintien de ces « milices » qui se sont tant avérées utiles pendant la guerre d’indépendance et auquel le deuxième amendement de la constitution leur garantit le port d'arme !Ce sont les émeutes autour des questions contre l'abolition de l'esclavage, raciales et sociales qui ont servi de déclencheurs aux créations de départements de milices, là où l'armée avait alors le pouvoir du maintien de l'ordre.
Alors :
Est-ce aux communes de payer l’incompétence de l’État ainsi que sa faillite concernant le maintien d'une police et de gendarmerie de proximité ?A ce régime, ce sont les petits propriétaires, ceux qui ont travaillé toute leur vie pour régler les crédits immobiliers en 20 - 25 ou même 30 ans, tout en réglant les taxes d’habitation et taxes foncières pendant toute la période de remboursement. Mais ce sont aussi ces mêmes petits propriétaires qui auront en même temps payé les études de leurs enfants afin de leur assurer un meilleur avenir social.Ces derniers, subiront les hausses de la taxe foncière afin de combler le puits sans fond que l'Etat fait subir aux communes, suite à la suppression des dotations d’État qui disparaissent chaque année et qui manquent de plus en plus dans les budgets communaux.La B.A d'apparence du macronisme, sera d'avoir supprimé la taxe d’habitation par un étalement sur plusieurs années, à l’exception pour certains « hauts salaires » qui sont souvent des propriétaires privés de logements mis en location, de résidences secondaires etc. Mais, qu'en sera-t-il des promesses du remboursement d’État pour la perte de finances des communes, et dans quelle proportion ?LE DOUBLE PIEGEMacron et sa loi ELAN du 23 novembre 2018. )* Qu'adviendra-t-il des locataires d'HLM à qui les bailleurs sociaux proposent l'achat des 4 pièces dans laquelle ils vivent depuis des années et dont ces sociétés de logements sociaux sont dans l'impossibilité d’en assurer l'entretien faute de financement, (malgré les promesses) mais la réduction des 5 € d'APL mensuel que Macron leur à fait prendre en compte sur les locations !* Ces nouveaux « propriétaires » seront eux aussi soumis à la taxe foncière, mais aussi au règlement financier du syndic de l'immeuble qui fera payer les travaux d'entretiens des cages d’ascenseurs, d'escaliers, des parcs, ou encore du salaire du gardien ds l’immeuble etc. Frais qu'ils devront régler au prorata de millième de surface occupées, en plus du remboursement des crédits !Rappelons que la taxe foncière est une taxe qui augmente en « valeur locative » de 1.5% en moyenne chaque année, alors qu'une construction de 40 ans coûte au propriétaire des frais continuels de maintenance du logement s'il veut le conserver « habitable » !Il faut savoir aussi, qu'en fin du décompte sur l'avis d'impôt, l'Etat n'oublie pas de mentionner sur la dernière ligne « FRAIS DE GESTION DE LA FISCALITE DIRECTE LOCALE » afin que le contribuable règle le travail d'une administration d'Etat !