Mais « Tout va très bien madame la marquise... »

La troïka du mensonge sur le système hospitalier en France, les masques, les tests, et les vaccins

Il faut savoir qu'en France, c'est 69 000 lits hospitaliers qui ont été fermés en 15 ans.

Malgré les déclarations d’Olivier Véran, suppressions de lits et fermetures d’hôpitaux se poursuivent

Sur 3036 établissements de soins recensés, 17 500 lits permettant aux patients de rester la nuit ont été fermés en six ans, entre 2017 et 2018, 4 172 lits ont disparu et      3 400 supprimés en 2019.

Mais aussi 40 % des maternités françaises ont déjà disparu, mettant en danger la santé des mères et de leurs enfants

La France compte aujourd’hui 100 000 décès dus à la pandémie qui dure depuis plus d'un an. Beaucoup plus, si l'on prend en compte les décès « collatéraux » compte tenu des 40 % de déprogrammation des interventions et des soins dans l'ensemble des hôpitaux et cliniques privées qui ont été « réquisitionnés », tenus de se soumettre afin d'assurer les soins de réanimation de la Covid !

Mais c'est aussi 40 % des maternités françaises qui ont disparu, mettant en danger la santé des mères et de leurs enfants.

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L'Humanité Dimanche

L’intervention du président de La République le 31 mars au soir, puis le débat au Parlement le lendemain ne modifient pas les données fondamentales de mon éditorial de « L’Humanité Dimanche », écrit bien plus tôt. Je l’ai intitulé « Une étrange défaite », celle d’un président qui décide seul en fonction des intérêts de la classe qu’il sert.

Peu importe les souffrances et les décès résultant de cette stratégie. D’ailleurs on a l’impression depuis quelques jours que sont revenus les béni-oui-oui du taux de croissance, qui serait supérieur chez nous.

Les travailleurs contaminés, les soignants en souffrance, les parents inquiets, les étudiants sacrifiés et l’emploi menacé – que ce soit pour les  50 000 travailleurs sur la plateforme de Roissy ou d’autres partout dans les moyennes entreprises dont le sort n’est jamais évoqué – sont évidemment inclus dans ce fameux « taux de croissance ».

Personne n’a prétendu que le combat contre cette pandémie était facile. Raison de plus d’écouter les scientifiques, le corps médical et les élus à commencer par associer le Parlement aux décisions à prendre.

Mais rien de tel ne se passe en cette monarchie républicaine. Pire, c’est le règne des boniments et de l’autosatisfaction au moment même où des compatriotes sont sous respiration artificielle et que d’autres perdent la vie.

Regardez ce ministre réactionnaire de l’éducation nationale qui n’a aucun mal à se contredire du jour au lendemain. Il a osé le matin après l’intervention télévisée du président redire que les écoles n’étaient pas des lieux de contamination.

Pourquoi alors les fermer ? Il faudrait demander un débat public sur une chaîne de télévision entre ces ministres, un représentant des enseignants et un épidémiologiste.

Le président « auto satisfait » n’a pas rappelé ses déclarations du 28 octobre dernier lorsqu’il donnait pour objectif de ne pas dépasser 5 000 contaminations par jour.

Le 1 décembre nous en étions à 10 000. Le 29 janvier le conseil scientifique préconisait de prendre des dispositions nouvelles. L’Élysée méprise alors cet avis.

Nous dépassons aujourd’hui les 50 000 contaminations quotidiennes et les 400 morts directement liés au Covid.

Les autorités ne donnent aucun chiffre sur les morts « indirectes », c’est-à-dire des personnes dont le traitement a dû être déprogrammé afin de libérer la charge de travail dans les hôpitaux.

Le professeur Axel Khan, président de la Ligue nationale contre le cancer, évalue à 10 000 le nombre de morts du cancer non soigné ces derniers mois.

La stratégie du « tester, isoler, tracer » n’a jamais été mise en œuvre. Après les masques et les tests, la vaccination est plus que chaotique faute de se donner les moyens de produire.

Et que dire des campagnes insidieuses contre le vaccin Russe en France ( dont le commissaire européen en charge du dossier de la vaccination, Thierry Breton, mis en place par Macron est totalement contre toute étude au niveau de l'UE, préférant peut-être comptabiliser les décès de la Covid et des patients non soignés par manque de lits ) alors que l’Allemagne et d’autres pays européens s’apprêtent à en acheter ?

Bref, oui « une étrange défaite » dont les victimes sont les citoyens, les travailleurs.

Mais rien de tel ne se passe en cette monarchie républicaine. Pire, c’est le règne des boniments et de l’autosatisfaction au moment même où des compatriotes sont sous respiration artificielle et que d’autres perdent la vie.

Regardez ce ministre réactionnaire de l’éducation nationale qui n’a aucun mal à se contredire du jour au lendemain. Il a osé le matin après l’intervention télévisée du président redire que les écoles n’étaient pas des lieux de contamination.

Pourquoi alors les fermer ? Il faudrait demander un débat public sur une chaîne de télévision entre ces ministres, un représentant des enseignants et un épidémiologiste.

Le président « auto satisfait » n’a pas rappelé ses déclarations du 28 octobre dernier lorsqu’il donnait pour objectif de ne pas dépasser 5 000 contaminations par jour.

Le 1 décembre nous en étions à 10 000. Le 29 janvier le conseil scientifique préconisait de prendre des dispositions nouvelles. L’Élysée méprise alors cet avis.

Nous dépassons aujourd’hui les 50 000 contaminations quotidiennes et les 400 morts directement liés au Covid.

Les autorités ne donnent aucun chiffre sur les morts « indirectes », c’est-à-dire des personnes dont le traitement a dû être déprogrammé afin de libérer la charge de travail dans les hôpitaux.

Le professeur Axel Khan, président de la Ligue nationale contre le cancer, évalue à 10 000 le nombre de morts du cancer non soigné ces derniers mois.

La stratégie du « tester, isoler, tracer » n’a jamais été mise en œuvre. Après les masques et les tests, la vaccination est plus que chaotique faute de se donner les moyens de produire.

Et que dire des campagnes insidieuses contre le vaccin Russe en France ( dont le commissaire européen en charge du dossier de la vaccination, Thierry Breton, mis en place par Macron est totalement contre toute étude au niveau de l'UE, préférant peut-être comptabiliser les décès de la Covid et des patients non soignés par manque de lits ) alors que l’Allemagne et d’autres pays européens s’apprêtent à en acheter ?

Bref, oui « une étrange défaite » dont les victimes sont les citoyens, les travailleurs.