Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

( B ) Quand « LaREM » doit rendre des comptes à la justice Française et européenne !

27 Avril 2021, 14:32pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !  Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !
Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !  Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !  Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !
Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !  Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !  Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !
Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !  Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !

Ils auront à répondre devant la Justice française, lorsque celle-ci aura l'autorisation !

B- Le palmarès judiciaire de la macronie en quatre

années « d’intermittence » à l'Elysée, sans compter le temps

passé chez Hollande... 

 

Douze enquêtes sont en cours.

 

* Sébastien Lecornu : C’est ainsi que la macronie fait sa rentrée en 2021 : une enquête préliminaire pour une éventuelle prise illégale d’intérêts est en cours au Parquet national financier (PNF) à l’encontre du ministre des Outre-Mer. On apprend la nouvelle « via Libération . » Le quotidien précise : « Les faits remontent à l’époque où il cumulait les fonctions de président du conseil départemental de l’Eure et un poste d’administrateur de la Société des autoroutes Paris-Normandie ».

* Éric Dupond-Moretti : « sur  Franceinfo : « Une information judiciaire pour prise   illégale d'intérêt » va être ouverte à l'encontre du gardes des Sceaux.                        La commission d'instruction de la Cour de justice de la République, compétente       concernant les actes des ministres dans l'exercice de leurs fonctions, a jugé recevables les plaintes déposées par l'association Anticor et trois syndicats de magistrats. Ces derniers accusent le garde des Sceaux de conflits  d'intérêts liés à ses anciennes activités d'avocat.

En septembre, Éric Dupont-Moretti avait saisi l’Inspection générale de la justice pour mener une enquête administrative à l’encontre de trois magistrats du Parquet national financier (PNF), dans le cadre de l'affaire dite des « fadettes ». Mais le ministre avait lui-même été mis sur écoute dans ce dossier, alors qu'il était encore avocat. Il avait porté plainte contre l'institution, avant de se désister lors de son entrée au gouvernement...

* Alain Griset : Ministre délégué auprès du ministre de l’Économie, des Finances et de la Relance, chargé des Petites et Moyennes entreprises, Alain Griset n’est peut-être pas le plus médiatique des membres du gouvernement, mais il est plutôt bien connu de la justice. Ainsi lit-on sur Médiapart qu’il « fait l’objet de deux enquêtes judiciaires pour ne pas avoir déclaré à la Haute Autorité de la transparence de la vie publique un plan d’épargne en actions, sur lequel il a effectué des opérations suspectes                 . Une « maladresse » qui s'élève à 171 000 euros !
* Olivier Dussopt : 11 juin 2020, « Mediapart » révèle que : Le parquet national financier a ouvert une enquête pour « corruption » et « prise illégale d'intérêts  » [...[ Le secrétaire d'Etat s'était fait offrir en 2017 des œuvres d'art par un dirigeant de la Saur, en affaires avec la municipalité qu'il dirigeait alors !  L’ancien « socialiste » sera perquisitionné le 18 août 2020. 
* Gérald Darmanin : - ( ministre de l'Intérieur actuel ) Fin 2017, le ministre des Comptes publics est accusé de viol et d’abus de faiblesse par deux femmes. En février et mai 2018, les affaires sont classées sans suite.Le 31 août 2018, Gérald Darmanin a obtenu un non-lieu définitif pour une de ces affaires, au motif que " le défaut de consentement ne suffit pas à caractériser le viol. Encore faut-il que le mis en cause ait eu conscience d’imposer un acte sexuel par violence, menace, contrainte ou surprise », a expliqué le juge. La plaignante a fait appel. L’avocat du ministre a, quant à lui, annoncé l’intention de ce dernier de porter plainte pour « dénonciation calomnieuse ».Mi-novembre 2019, on apprend via l'AFP que la justice va réexaminer le non-lieu dont a bénéficié Gérald Darmanin. Le 11 juin 2020, on lit dans Le Monde que « la cou d’appel de Paris a en effet ordonné la reprise des investigations visant le ministre concernant une accusation de viol, harcèlement sexuel et abus de confiance ». Le 14 décembre 2020, il a été entendu par les juges qui l’ont placé sous le statut de témoin assisté. En parallèle, les accusations de « trafic d'influence » ont été classées « sans suite ... »

* Jean-Marie Girier : Le 24 octobre 2019, on lit dans « Le Point » que le Parquet national financier a ouvert une enquête à l’encontre du directeur de cabinet de Richard Ferrand, « Jean-Marie Girier »  ( qui fut aussi directeur de la campagne d’Emmanuel Macron). Il aurait travaillé à une stratégie pour « siphonner les élus du Parti socialiste et créer un « Agir de gauche ». 

* Jean-Jacques Bridey : Le 27 septembre 2018, Médiapart publie un article sur ce député LREM. Jean-Jacques Bridey, un des premiers « marcheurs », actuel président de la commission de la défense à l’Assemblée nationale, est « visé par une enquête préliminaire pour concussion », peut-on lire.
Concrètement, Jean-Jacques Bridey est soupçonné d’avoir dépassé les plafonds d’indemnités concernant le cumul de mandats. Coût de l’opération : 100 000 €. En novembre 2019, « Le Monde » révèle qu’une autre enquête est ouverte par le Parquet national financier à l’encontre de Jean-Jacques Bridey. Cette fois-ci, le député est soupçonné de « détournement de fonds publics, liés à un usage illicite de ses indemnités représentatives de frais de mandat (IRFM) de député, lors de la précédente législature », peut-on lire dans le quotidien du soir. Plus tôt en septembre, Médiapart assurait que Jean-Jacques Bridey se faisait également rembourser deux fois ses notes de frais, des frais de bouche exorbitants alors qu’il était maire de Fresnes. 

* Laura Flessel :  Le 4 septembre, quelques heures avant le remaniement post-Hulot, la ministre des Sports Laura Flessel annonce sa démission pour des «raisons personnelles ». Il n’aura pas fallu 24 heures pour que Mediapart révèle ces « raisons » : « Le fisc a récemment saisi la Commission des infractions fiscales (CIF) de Bercy, en vue d’une possible plainte pénale pour fraude, après avoir découvert des manquements déclaratifs de la ministre concernant une société de droit à l’image », peut-on lire. Plusieurs dizaines de milliers d’euros d’impôt seraient en jeu.

A peine nommée, la nouvelle ministre des Sports, Roxana Maracineanu, est épinglée dans la presse parce que, depuis 2012, elle occupe un logement social.

 * Françoise Nyssen :  Avant d’être nommée ministre de la Culture, Françoise Nyssen dirigeait la maison d’édition Actes Sud. C’est à la tête de cette dernière qu’elle s’est permis quelques écarts avec les règles élémentaires d’urbanisme. En 1997, lors de l’agrandissement des locaux parisiens – un immeuble classé , Françoise Nyssen avait fait réaliser les travaux « sans autorisation », ni « déclaration au fisc  », écrit « Le Canard enchaîné ». Le journal satirique révèle également d’autres « irrégularités » dans des travaux au siège d’Actes Sud, dans le centre classé d’Arles, effectués en 2011. « Une négligence »,  tente d’expliquer la ministre. Le parquet de Paris a ouvert le 23 août une enquête préliminaire.

Le 16 octobre 2018, à l’occasion du remaniement post-démissions de Nicolas Hulot et de Gérard Collomb, Françoise Nyssen n’est pas reconduite à la Culture...

* Muriel Pénicaud :  22 mai 2018, la ministre du Travail est entendue comme témoin assisté par le pôle financier du Tribunal de Paris. La justice enquête sur le rôle de « Business France » – société qui eut pour directrice générale Muriel Pénicaud – dans l’organisation d’une soirée à Las Vegas en janvier 2016 pour le candidat Macron.

Une information judiciaire ( toujours en attente ) a été ouverte pour des soupçons de favoritisme en juillet 2017, mois au cours duquel Muriel Pénicaud a déclaré qu’elle « n’avait rien à se reprocher ». Elle est nommée aujourd'hui « représentante permanente de la France auprès de l’Organisation de coopération et de développement économiques » (OCDE). (Pôle Emploi élyséen oblige, sans obligation de traverser la rue ! ) 

Commenter cet article