La vente à perte du carburant…le coup de pompe de l'exécutif !
Prix du carburant : Un exécutif macroniste aux abois, qui cherche par des pirouettes à anesthésier les Français !
Quel est donc le résultat à attendre de l'inconséquence due à une décision de l'exécutif et de son patron le locataire de l'Elysée, eux, qui sont aux abois et qui programme à leur bon gré la vente à perte pendant six mois du carburant en France. Est-ce dans l'objectif de cacher leur incapacité à gérer l'inflation galopante qui grève le budget des familles en France depuis l'arrivée de Jupiter à l’Élysée ?
Cette loi, rêvée par le haut du pavé qui nous gouverne, ne concernerait que les distributeurs de carburants, (gros et petits). Alors, serait-ce un montage supplémentaire de l'Elysée, de Matignon et de Bercy, pour tenter d'anesthésier une fois de plus le peuple français ?
Ce que E. Borne et Le Maire veulent imposer dès le 1er décembre 2023, ressemble de plus en plus à une opération électoraliste, « si ce n'est un paquet farce et attrape » afin de se payer une fois encore la tête des citoyens et de l'ensemble des Français.
En effet, ce serait aux seuls distributeurs de faire « l'effort » à compter du 1er décembre prochain. Il resterait à ces derniers, deux mois pour augmenter le prix à la pompe. Un prix qui ne cesse de grimper aujourd'hui à raison de 10 à 15 centimes le litre toutes les quinzaines. C'est-à-dire qu'au 1er décembre, ce sera environ 50 centimes au minimum !
Alors, ces derniers pourront vendre à perte, c'est-à-dire baisser de quelques dizaines de centimes pendant six mois, et Le Maire, en bon commercial, est déjà en train de discuter des « compensations » à Bercy pour les gros distributeurs.
Les gros poissons n'ont pas mordu à l’hameçon « Borne/Le Maire » et les grandes surfaces ont refusé net et clair les suppositions d’économies pour le Français qui se déplace pour son travail sur le seul compte des distributeurs. Même le plus puissant d'entre eux « Total Energie » a refusé la proposition, craignant, lui, de devoir rogner sur ses milliards de bénéfices qu'il ne pourrait plus partager avec ses actionnaires.
Mais qu'adviendrait-il des petits artisans de la pompe à carburants; ces derniers règlent le carburant au fournisseur à la livraison. Alors, seront-ils amenés après « l'effort » demandé, de mettre la clé sous la porte, car les découverts bancaires ne seront pas admis par les amis banquiers de Macron.
Alors, comme cela est arrivé pour bons nombres de petits commerces «aidés par les banques» sous couvert de Bercy et ses complices pendant la pandémie de Covid 19, les commerçants, les artisans et les petites industries, ont été mis en demeure par ces banques de rembourser les avances de finances et charges sociales, sans avoir pu retrouver leur clientèle et le chiffre d'affaires après le délai écoulé que Bercy avait décidé ?
La grosse blague de l’exécutif, et de Le Maire, est qu'ils ne se tournent pas vers les pétroliers, qui eux, pendant cette période continueront d'encaisser les milliards de bénéfices à répartir entre actionnaires, mais encore moins sur les taxes sur les carburants que Bercy encaisse sans broncher, suite à la poussée des prix à la pompe jusqu'au 1er décembre et peut-être bien au-delà.
Combien de millions de litres de carburant se vendent chaque semaine à la pompe en France ? Sachons qu'un litre de carburant réglé 2.00€ à la pompe, c'est plus de 1,00€ de taxes et TVA qui rentrent à Bercy, alors, 2,50 € le litre, ce sera 1,25 pour Bercy !
A ce jour, ce ne sont que des paroles et rien de concret. Alors que l’État s'est déjà vu imposer par Bruxelles la vente à perte de sa production électrique par EDF et de partager le gaz à la concurrence commerciale dite européenne qui s'est installée sur le territoire, il faut se rendre compte que les prix du marché énergétique sont loin d'avoir baissé.
La fermeture des petites entreprises et commerces artisanaux en sont la preuve vivante sur le marché hexagonal.
Quant aux salaires et aux pensions de retraite, ils sont loin de suivre cette inflation galopante sur les denrées alimentaires et autres. Inflation voulue par un gouvernement qui calcule ses rentrées complémentaires de TVA, sur la hausse continuelle des prix, tout comme sur les prix de l'énergie et des carburants !