Ces fantoches qui dirigent une Europe qui nous coûte cher !
Jean-Claude Juncker est vraiment l’homme « providence » pour l’Europe d’aujourd’hui. Il est en effet de la même trempe de Barosso qui a mis à ses pieds bon nombre de pays européens dont son propre pays, le Portugal.
S’il se dit le meilleur représentant des démocrates chrétiens et de la droite « modérée », ce Monsieur « tout blanc » se prononce pour faire sa propagande électorale contre le délai supplémentaire demandé par la France afin de réduire son déficit inférieur à 3% du PIB.
Il a entièrement raison ! Car la France, pays de 66 millions d’habitants, est l'un des pays européens dont l’argent des quelques grosses fortunes nationales va se mettre à l’abri dans les cinq banques luxembourgeoises et autres.
Mr Cameron et Mrs Ashton (Grande-Bretagne), eux, ont intégré l’Union européenne du temps de Margaret Thatcher afin d’en tirer le plus grand profit et en payer le moins possible au « club des 28 ». Ils ont pour eux le plus gros arsenal de paradis fiscaux de la couronne britannique dans le monde avec les îles Jersey-Guernesey, le territoire de Gibraltar, les Bahamas, les Bermudes, les Iles Caïmans, etc. Ce sont les grands récupérateurs de milliards « propres ou sales » d’une grande partie des tricheurs de la finance.
Mais, malgré ces avantages cachés, ils privatisent à ce jour la Poste pour le bien des actionnaires et jettent dehors 1.600 employés.
Depuis Thatcher en passant par Blair et Cameron, il y a beaucoup moins de chômeurs mais ces derniers sont très vite rayés des indemnités et se retrouvent le plus souvent à la rue.
Alors, est-ce là un choix de société ?
Mark Rutte (Premier ministre) et Neelie Kroes (représentante des Pays-Bas à l'UE) comptabilisent avec les Pays-Bas quelque 17 millions d’habitants ; y compris les Antilles néerlandaises de 230.000 habitants, autre paradis fiscal.
Pour ce qui est de l’Allemagne et de l’exemple de la « sociale démocratie » si chère à F. Hollande, ils ont moins de chômeurs. C’est peut-être un fait, mais chacun de nos gouvernants, de droite comme de gauche, oublient volontairement que beaucoup de travailleurs allemands se trouvent dans l’obligation, pour subvenir aux charges diverses et nourrir leur famille, d’assumer deux métiers différents sur la journée.
Que le prochain salaire minimum sera instauré sur la base de 7€ par heure pour 2017 ! Que les retraités de plus de 65 ans se trouvent dans l’obligation de faire des gardiennages jusqu’au moment où ils n’y arrivent plus ! Et que surtout l’économie et les industries tournent avec de la main-d’œuvre bon marché venue des ex-pays de l’Est.
Ne parlons pas de la Belgique, de Monaco, du Liechtenstein, des Seychelles et toutes ces places dont Bruxelles et ses technocrates n’ont jamais touché et ne toucheront jamais. Tant qu’il n’y aura pas un grand bouleversement dans cette « Union », tant que les citoyens européens ne prendront pas conscience que cette caste de trop bien-payé nivelle les salaires des 28 pays par le bas et tant que leurs dirigeants partent au bout d’une carrière de 5 ou 10 ans avec des retraites qui varient de 5.000 à 12.000 € par mois... il n'y aura aucune amélioration quant au pouvoir d'achat des Européens.
Nos chers dirigeants représentants la France dans cette « société » bruxelloise ne sont pas les plus neutres dans ce « laissé-allé non contrôlé » de ces milliards d’euros planqué ou détourné.
M. Michel Barnier, représentant la France à Bruxelles, n’est pas neutre non plus car lorsqu’il s’agit de paradis fiscaux, il faut aussi y voir la Principauté Franco-Espagnole d’Andorre ou celle de nos milliardaires français des territoires d’Outre-mer comme Saint-Barthélemy (7.000 habitants), exempté d’impôts alors que leurs voisins de la Guadeloupe ou de la Martinique, eux, tirent le diable par la queue pour survivre.
Aussi, pour les prochaines élections européennes du 25 mai prochain, il faut que les Français comme l’ensemble des Européens prennent conscience de ce grave problème et ne restent plus devant la télé, comme cela s’est passé pour les Municipales qui viennent d’avoir lieu. C’est aux peuples des 28 pays européens de réagir en masse en allant voter !
Cf. le croquis explicite ci-dessous, qui nous donne un exemple de nos banquiers français qui refusent des crédits aux particuliers aux petites entreprises en mal de règlements par les administrations ou autres et qui font payer les agios et frais de découverts au prix fort.