La France, l’Europe et la main mise des technocrates de Bruxelles sur nos économies nationales

L’Europe après s’être libérée de la dictature du III^ème Reich grâce au courage de nos anciens, parents et grands-parents et de leur sacrifice, se terminant souvent par la torture voir la mort, celle-ci, se voie aujourd’hui prise aux mains d’un dictat venu tout droit de Bruxelles, des béni-oui-oui gouvernementaux de la droite européenne ainsi que du reste, qui mettent nos états à sec.

Voyons aujourd’hui ce qui se passe en Grèce, (pays des grands armateurs…) Irlande, Espagne , Portugal, Italie et autres. Aujourd’hui, la France est à son tour dans le collimateur de ces dirigeants bruxellois, bien payés et dont les retraites après cinq ou dix ans de « bons et loyaux services » laissent rêveur les petits retraités, dont certains ne gagnent pas sur une année ce que, eux, touchent sur un mois.

Nous voyons à quel point, Bruxelles a mis « KO » les pays qu’elle a accepté dans l’Union européenne, agrandie en quelques années à 27 unités et dont les peuples comptent entre 20 et 35% de chômeurs et un nombre de plus en plus important d’usines et de fabricants nationaux qui délocalisent à tout va pour profiter de la pauvreté de certaines régions dans le monde, quitte à faire travailler des enfants de 6 ans et quelquefois encore plus jeunes.

L’Europe, paradis des délocalisations ! L’INSEE estime aujourd’hui à 20 000 le nombre de suppressions d’emplois direct délocalisés en France pour la seule année 2012 alors qu’une précédente étude menée par l’INSEE entre 2002 et 2007 parlait déjà de 36 000 destructions d’emplois par an.

Où sont donc nos gouvernants qui parlaient, il y a encore peu de temps de sauvegarder coûte que coûte nos emplois ? Après les appels à la nationalisation des entreprises qui délocalisent pour des profits encore plus importants, alors qu’ils font des millions de bénéfices sur l’hexagone, notre ministre du « Redressement Productif » avait suggéré certaines « nationalisations » vite contrées par ses amis du gouvernement.

Allons-nous être les nouveaux « colonisés » des pays dits « émergents » ?

Nos gouvernements auront-ils un jour l’audace de passer outre les directives de Bruxelles écrites du jour au lendemain par ses technocrates, qui laissent les peuples européens et surtout nous, français, hors de toutes consultations démocratiques. Ils nous tirent le peu d’argent gagné du travail du Smicard à celui du cadre moyen ou des petits retraités afin de satisfaire la Banque Mondiale, le FMI, la Banque centrale européenne (BCE), la Deutsch Bundesbank et tous les organismes mondiaux qui soignent de près leurs milliardaires du CAC 40 et tous les spéculateurs ?

Auront-ils eux aussi le courage de faire comme la République algérienne, après son cinquantième anniversaire d’indépendance et d’asservissement au colonialisme, à savoir dire « NON » à Monsieur Mittal  et tous les milliardaires affameurs de l’Europe et du monde et de re-nationaliser l’acier algérien en jetant Mittal hors du pays.

Ce point a été totalement occulté par l’ensemble des médias radios et télévisés en France, à l’exception de France Info qui a eu le culot de l’annoncer sur un flash de quelques secondes le jour de la prise de cette décision, et puis plus rien, silence radio au sens propre comme au figuré!

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