Bygmalion / "bygmagouille" : le problème français !

C’est toujours de la faute des ouvriers territoriaux, des communes, des intercommunalités, des départements ou des régions qui doivent se serrer la ceinture et baisser la demande de subventions ainsi que de leurs dépenses !

Il faut savoir que nos dirigeants nationaux, président, ministres et les autres, ceux qui nous mènent la vie dure, ne sont pas gênés dans leurs recrutements de chefs de cabinets, chefs de cabinets adjoints, sous-chefs, adjoints aux sous-chefs et compagnie.

Tous ces gens, sortis des mêmes « boites » que sont l’ENA et autres, qui sont grassement payés, qui font partis de tous gouvernements de droite ou de gauche et qui imposent une pensée unique.

En France, après les élections, on change le « général » mais on conserve les subalternes qui continuent leurs petites affaires.

Ce n’est pas l’ouvrier territorial qui grève les budgets, alors que le plus souvent il gagne le SMIC légèrement majoré ; mais bien tous ces énarques, attachés à tel ou tel ministère, qui se trouvent en haut de la pyramide, qui dépensent ce qui devrait revenir au peuple par le biais des subventions d’Etat et les commandes de collectivités locales, départementales ou régionales.

Alors, oui, des personnages comme Monsieur Vallini, élu de l’Isère, a raison ; il faut réduire les petites structures municipales, il faut rassembler plusieurs Départements et Régions, etc.

La proximité pour ces gens là ne compte pas les kilomètres. Il faudrait même peut-être tout ramener dans la Région parisienne pour « avoir plus de service qui assurerait plus de proximité ».

Voir pour exemple l’affaire du « Bygmalion » à paraître dans le livre de Violette Lazard journaliste à Libération (et ce n’est qu’un exemple...).

L'article du jour :

LIVRE Un livre très documenté d'une journaliste de Libération met au jour les pratiques plus que douteuses à l'UMP pendant la campagne présidentielle de 2012...

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