Ces anglais, qui refusent l'accueil sur leur île des anciens colonisés de "l'Empire"

Ils les repoussent en accord avec une Europe qui ferme les yeux !

Les « îliens de Grande-bretagne » ont toujours peur de la rage  ?

Ouvert en 1999 à l’instigation du gouvernement Jospin et de la Croix-rouge française, le camp de Sangatte a abrité jusqu’à 1600 migrants. « Afghans, Iraniens, Irakiens, Kurdes, Kosovars » fuyants les atrocités de la guerre, les tueries ethniques, les bombardements américains sur les peuplades civiles etc.

C’est en 2002 que N. Sarkosy alors ministre de l’Intérieur décide pour « un coup politique » : la fermeture et le démantèlement du centre ; ce qui depuis plus de treize années n’a rien changé dans la région calaisienne, les migrants arrivants toujours en nombre n’ont d’autre solution, dans l’espoir de passer la Manche, que de squatter les terrains et bosquets dans une jungle sans pareille, laisser comme des bêtes à l’état sauvage par des peuples franco-anglais dits « civilisés ». 

Aujourd’hui, ils sont refusés d’entrée en Grande–Bretagne par Cameron et avant lui Blair et la sénatrice-maire de Calais, qui a fait son « beurre » dans le calaisis avec le coup de bluff de Sarkozy et oubliant elle aussi, être issue de l’immigration (arménienne et polonaise) ; elle  continue avec son ami Cameron de financer l’installation de barbelés (payée par l’Etat) et de ses CRS. Ces derniers n’ont aucun remord à bastonner et à gazer ces HUMAINS à qui la Grande-Bretagne refuse l’accès sur son île.

Y a-t-il contagion à craindre de les admettre sur leur territoire, comme ils ont peur des chats et chiens qu’ils mettent en quarantaine avant leur débarquement sur l’île afin de se protéger de la rage ?

Pourtant, ces migrants viennent pour la plupart d’entre eux d’anciennes colonies anglaises, comme l’a souligné dans ses colonnes le journal « Le Figaro », mais sans oublier qu’elles ne font pas partie du Sacro-saint Commonwealth de sa Majesté !   

« Lu dans « le Figaro »

Plus facile de trouver du travail au Royaume-Uni

« Globalement, l'économie du Royaume-Uni se porte mieux que celle de la France. Avec un taux de chômage de 6% (9.7% en France en septembre 2014), la pression sur le marché du travail y est moins élevée. Pour les sans-papiers, il y est plus facile de trouver un travail au noir, faiblement rémunéré. De plus, il n'y a pas de cartes d'identité en Angleterre, ce qui signifie que les contrôles d'identité sont impossibles et qu'il est plus difficile de détecter les migrants une fois qu'ils sont sur place.

La langue joue aussi un rôle primordial. La plupart des migrants proviennent d'anciennes colonies britanniques: Soudan, Irak, Somalie, Pakistan, et sont nombreux à parler anglais. La langue est un facteur essentiel pour trouver du travail et entamer des démarches administratives. Fastidieuses en France, où la langue est difficile à apprendre, elles découragent souvent les migrants de tenter leur chance dans l'hexagone. Beaucoup de migrants viennent également en Angleterre retrouver une communauté et des réseaux déjà installés. Dans la société britannique multiculturelle, le communautarisme a pris une place très importante, entretenant des liens de solidarité et des passerelles culturelles indispensables aux migrants. »

Mais la  Grande-Bretagne qui fait partie de l’Union Européenne, n’en fait partie que pour en tirer les bénéfices et non pour les inconvénients !

Elle laisse pour ça aux riverains italiens, grecs, espagnols et français le soin d’en sauver un maximum possible ainsi que pour ceux qui ont la chance d’arriver vivant sur les côtes.

Pour les autres, la Méditerranée sert de dernière demeure sans aucun remord de personne !