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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Ils ont changé le nom de leur parti pour effacer l'ardoise!

17 Juillet 2016, 19:20pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Ils ont payé pour ça, et l'Etat les a remboursé à 66% sur nos impôts!Ils ont payé pour ça, et l'Etat les a remboursé à 66% sur nos impôts!
Ils ont payé pour ça, et l'Etat les a remboursé à 66% sur nos impôts!

Ils ont payé pour ça, et l'Etat les a remboursé à 66% sur nos impôts!

Les 9 affaires qui pourraient freiner Nicolas Sarkozy , mais qui ne l’empêchent pas de nommer ses têtes de liste pour les futures législatives de 2017 avant les primaires que la droite a prévu.
(Metronews fait le point sur les dossiers dans lesquels son nom apparaît.)
 1er avril 2015, Nicolas Sarkozy est placé sous le statut de témoin assisté

 Si Jean-François Copé a été au centre de toutes les attentions dans cette affaire Bygmalion, mais n'a pas été mis en examen, les soupçons se portent aussi sur Sarkozy. Il a été entendu le 16 février 2016 par les juges dans le cadre de l'enquête sur les surfacturations de sa campagne de 2012. Sa mise en examen a été prononcée dans la soirée.

Alors qu'il déclarait avoir "appris le nom de Bygmalion longtemps après la campagne présidentielle", l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales estime quant à lui qu'il ne pouvait ignorer ce total de 18,5 millions d'euros. L'expert-comptable, signataire du compte de campagne de N. Sarkozy, lui aurait adressé une note le 26 avril 2012, lui donnant le chiffre des dépenses prévisionnelles ou engagées à la date du premier tour, soit 18,4 millions d'euros. Dépassement significatif annonçant qu'il n'y avait plus "aucune marge de sécurité" en vue du second tour.  

 

Toujours aussi bien entouré, par des fusibles qui paieront pour lui !Toujours aussi bien entouré, par des fusibles qui paieront pour lui !

Toujours aussi bien entouré, par des fusibles qui paieront pour lui !

 

En 2007, « les sondages de l’Elysée » : il passe un contrat sans appel d’offres avec le cabinet d'études Publifact, alors dirigé par Patrick Buisson, conseiller de N.Sarkozy. L'accord prévoit un versement annuel de 1,5 millions d'euros, plus 10.000 €/ mois de rémunération. Le bureau et le domicile parisien de Patrick Buisson sont perquisitionnés. Les investigations portent désormais sur d'éventuels faits de "favoritisme", "détournements de fonds publics", complicité et recel.

Un juge enquête sur la régularité des contrats conclus entre l'Élysée et neuf instituts de sondage pendant son quinquennat. Dans cette affaire, son ancienne directrice de cabinet, E.Mignon, a été mise en examen pour "favoritisme" le 3 février 2016.

 

 

Le "pognon" de l'ami Kadhafi, celui qui devait disparaître, les morts ne parlant plus ! Le "pognon" de l'ami Kadhafi, celui qui devait disparaître, les morts ne parlant plus !

Le "pognon" de l'ami Kadhafi, celui qui devait disparaître, les morts ne parlant plus !

A ce dossier s’en ajoutent d’autres : soupçons de financement libyen de sa campagne 2007, sondage de l’Elysée, arbitrage dans l’affaire Tapie… financement illégal de campagne et placé sous le statut de témoin assisté pour les chefs d'usage de faux, escroquerie et abus de confiance.

La campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007 a-t-elle été financée par le régime libyen ? La justice se penche depuis avril sur cette question après les accusations en ce sens de Ziad Takieddine. L'homme d'affaires franco-libanais, mis en examen dans cette affaire, a affirmé en décembre détenir "des preuves" d'un tel financement, sans toutefois les fournir.

MAIS QUI EST A L'APPAREIL ? "je ne vous connais pas!"

MAIS QUI EST A L'APPAREIL ? "je ne vous connais pas!"

Pénalités réglées par l'UMP

Le rejet des comptes avait privé l'UMP du remboursement de plus de 10 millions de frais de campagne.

N.Sarkozy était visé depuis le 2 juillet, pour le paiement par l’Ump d'avoir régler les pénalités qu'il aurait dû régler lui-même après l'invalidation des comptes de sa campagne présidentielle de 2012. 

Le tribunal avait aussi ordonné au candidat Sarkozy la restitution à l'Etat d'une avance forfaitaire de 153.000 euros et lui avait infligé une pénalité de 363.615 euros, correspondant au dépassement constaté.

Mais pour le Conseil constitutionnel, le fait pour l'UMP d'avoir pris en charge ces frais pouvait constituer un abus de confiance, car les pénalités visaient le candidat lui-même et l'argent du parti aurait ainsi été détourné à son profit. L'enquête ouverte pour abus de confiance visait les pénalités de Nicolas Sarkozy réglées par l'UMP pour le dépassement de son plafond de campagne.

 A l'époque, pour se renflouer, l'UMP, très endettée, avait lancé une grande souscription auprès de ses militants, le « Sarkothon ». Revenu à la présidence de l'UMP, Nicolas Sarkozy s'était résolu à rembourser la somme de 363.615 euros.

 

Témoin assisté, l'ancien président a bénéficié d'un non-lieu dans cette affaire.

Le 1er avril 2015, quatre personnes ont été mises en examen dans le cadre de cette enquête.

 

Une autre enquête est aussi en cours concernant le financement d'un meeting de Sarkozy à Toulon, fin 2011.

 Le 7 mai 2015, la cour d’appel de Paris a validé les écoutes téléphoniques entre N.Sarkozy et son avocat T.Herzog.

Tapie-Lagarde-Crédit Lyonnais; Ce sera encore aux contribuables français à régler l'ardoise. Tapie-Lagarde-Crédit Lyonnais; Ce sera encore aux contribuables français à régler l'ardoise.

Tapie-Lagarde-Crédit Lyonnais; Ce sera encore aux contribuables français à régler l'ardoise.

 

 Affaire Lagarde/Tapie.

 

Trois juges d'instruction enquêtent sur la décision prise fin 2007 par l'ex-ministre de l'Économie, Christine Lagarde, de recourir à un arbitrage pour solder le contentieux opposant depuis 1993 l’homme d’affaires B.Tapie au Crédit lyonnais sur la vente d'Adidas.

L'État sera condamné à lui verser quelques 400 millions d'euros. N.Sarkozy aurait rencontré B.Tapie à 18 reprises entre 2007 et 2010. Certains soupçonnent donc l’ancien président d’avoir favorisé Tapie pour le remercier de son soutien lors de la campagne de 2007.

 

Ces banques qui nous coûtent "très chères"

 

Crédit Lyonnais:

En 1990 : Le financier italien Parretti rachète la Métro-Goldwyn-Mayer (MGM) avec le soutien de 2 filiales du C.L: filiale C.L Bank Nederland et Société de banque Occidentale  pour un montant de 1,3 milliards de dolars.

1991: Faillite de la Mgm, de DASEA et d'Executive Life .Après de nombreux bilans déficitaires en 1992/93, " la Commission d'enquête parlementaire" propose un premier plan de "sauvetage", par la création d'un Omnium immobilier. Mars 1995, second plan de "sauvetage" avec la création d'un Consortium de réalisation.

1996 : Le ministre Jean Arthuis engage des poursuites judiciaires contre le anciens dirigents du C.L.

le 5 mai 1996 : L'incendie du siège parisien du C.L. liquide pas mal de dossiers et soupçons dont on ne connaîtra jamais leurs contenus. 

Le 19 août : Nouvel incendie cette fois du dépôt d'archives de la IBSA au Havre, compléte l'affaire.

Septembre 1998 : Mise en examen de J-Y Haberer et François Gilel.

Mars 1999 : Le " California Insurance Departement " intente un procès au C.L.  Jean Peyrevelade  et J-F Henin sont inculpés 3 ans plus tard.

En 1999, c'est la privatisation du C.L. L'Etat vend ses parts restantes en novembre 2002 et c'est le Crédit Agricole qui fait une OPA sur la banque qui deviendra privée en 2005 sous le nom de LCL. 

 

Que sont devenus les 1100 milliards d'euros réinjectés par le BCE dirigée par Mario Graghi dans les années 1990 ? " toujours président  de cette BCE en 2016" 

 

Il faut savoir que le 10 novembre 2013, l'Etat a souscrit un prêt de 4.5 milliards d'euros (près de 30 milliards de francs) afin de solder la faillite de 1993, banque Nationale devenue privée et que c'est le contribuable français qui remboursera !

 

Aujourd'hui en cas de faillite bancaire, conformément à une directive européenne transposée en France au 1er janvier 2016, les banques pourront "ponctionner" les comptes individuels.

"Seuls les comptes disposants de plus de 100 000 euros seront concernés, les déposants ne seront toutefois solliciter qu'en 3ème recours!!!"    

 

  

 

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Les affaires Karachi et le Kazakhstan...  Affaires toujours 'en cours'Les affaires Karachi et le Kazakhstan...  Affaires toujours 'en cours'Les affaires Karachi et le Kazakhstan...  Affaires toujours 'en cours'
Les affaires Karachi et le Kazakhstan...  Affaires toujours 'en cours'

Les affaires Karachi et le Kazakhstan... Affaires toujours 'en cours'

 

 La France et le Kazakhstan.    

Tout a commencé le 16 octobre 2009 par la visite de Sarkozy au dictateur du Kazakhstan, Noursoultan Nazazbaïevv où il signe pour 1 milliard d’euros de contrats et engage 2.5 milliards en négociations supplémentaires, sollicitant l’aide du président de la République pour tenter de sauvegarder en Belgique les intérêts judiciaires et économiques de trois hommes d’affaires kazakhes dont le principal : Patotk Chodiev. Le but: permettre la signature des contrats en question

 

Mais aussi France Pakistan...

 

MIS EN CAUSE EN SA QUALITÉ DE MINISTRE DU BUDGET

Une analyse rejetée par Me Morice qui, dans un mémoire remis aux trois juges le 6 décembre 2012, a notamment fait observer que « les faits en cause sont d’évidence dépourvus de tout lien avec les fonctions de président de la République ». L’avocat souligne que le fameux communiqué « traite exclusivement de la mise en cause de M. Nicolas Sarkozy dans l’affaire dite ‘de Karachi’. Or, celui-ci n’est pas mis en cause dans cette affaire en sa qualité de président de la République, mais en sa qualité de ministre du budget du gouvernement dirigé par M. Edouard Balladur de 1993 à 1995. »
Or, dans leur ordonnance du 9 janvier, les trois magistrates se rangent à l’avis de Me Morice, et rejettent l’interprétation du parquet. L’article 67, écrivent-elles, « ne précise nullement que le président de la République n’a pas à répondre, après son mandat, des actes accomplis en cette qualité. Que, pas davantage, l’article 67 n’exclut les faits accomplis pendant son mandat. » « Bien au contraire, notent les juges, la réforme constitutionnelle du 23 février 2007 a institué non pas l’inviolabilité de la personne du chef de l’Etat, mais celle de sa fonction. »

 

Nicolas Sarkozy, ministre du Budget à l'époque, a été cité dans cette enquête sur des soupçons de rétro-commissions en faveur du camp Balladur en marge de ventes d'armes dans les années 90. Mais lorsqu'ils ont transmis le dossier à la Cour de justice de la République (CJR), les juges ont visé l'ex-Premier ministre Edouard Balladur et son ministre de la Défense François Léotard, laissant simplement ouverte la possibilité d'une audition de Nicolas Sarkozy comme témoin assisté.

Dans l’affaire Karachi, deux juges enquêtent sur un éventuel financement occulte de la campagne présidentielle d'Édouard Balladur et Léotard en 1995, par le biais de rétro-commissions présumées dans le cadre de contrats d'armement. N.Sarkozy est à l'époque porte-parole de la campagne de Balladur. Les aveux de l’intermédiaire Ziad Takieddine qui a reconnu avoir contribué au financement occulte de la campagne présidentielle de Balladur, 82.6 millions de détournés. Le 8 mai 2002, à Karachi, un kamikaze fait exploser sa voiture contre un bus emmenant les ingénieurs français à l’arsenal d’Etat, faisant 11 morts parmi les ingénieurs français qui travaillaient tous à la fabrication de 3 sous-marins vendus par la France au Pakistan. Les juges ont obtenu le feu vert pour déterminer si l'ex-chef de l'État s'est rendu complice d'une violation du secret de l'instruction.

 

A quand des procès définitifs que l'on ne voit jamais venir?

Aujourd’hui :

Est-il nécessaire de voir revenir ces « brocanteurs de casseroles » dans la course du pouvoir ? 

 

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