Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Plus blanc que blanc il n'y a pas mieux.

18 Octobre 2016, 14:42pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

C'est si beau l'amitié : Après l'Ump et le dinar libyen va-ton avoir droit au Lr et  le riyal qatarien ?C'est si beau l'amitié : Après l'Ump et le dinar libyen va-ton avoir droit au Lr et  le riyal qatarien ?
C'est si beau l'amitié : Après l'Ump et le dinar libyen va-ton avoir droit au Lr et  le riyal qatarien ?

C'est si beau l'amitié : Après l'Ump et le dinar libyen va-ton avoir droit au Lr et le riyal qatarien ?

Jean-François Copé

Les 7 péchés capitaux  -  N° V  

Né à Boulogne-Billancourt, il est le fils aîné de Monique Ghanassia, dont la famille juive séfarade était originaire d’Alger et du professeur  Roland Copé chirurgien français d'origine juive ashkénaze roumaine.

Le grand père André Ghanassia, son épouse et leurs trois enfants, dont Monique, quittent Alger pour la métropole dans les années 1950, peu après les débuts de la guerre d’Algérie.

Jean-François Copé est bachelier série B (économique et social), il intègre Sciences PO. En 1987 il entre à l’ENA dans la promotion  « Liberté-Egalité-Fraternité » (1987-1989)

Divorcé d’un premier mariage dont il eut 2 filles et 2 fils, il épouse Nadia Hamama son attachée parlementaire en 2011 à Meaux.

Il se déclare « juif non pratiquant » et « veille à demeurer, avant tout, le représentant d'une autorité laïque »

En mai 2007, bénéficiant du décret permettant aux anciens ministres et parlementaires de devenir avocats sans formation spécifique ni examen, (ne cherchons pas pourquoi les jugements politico-financiers traînent si longtemps dans les  tiroirs!) il obtient le certificat d’aptitude à la profession d’avocat et prête serment devant le cour d’appel de Paris. À partir de septembre 2007, il exerce à temps partiel, pour 20 000 € par mois, dans le cabinet d'avocats d'affaires Gide, l'un des plus importants de France, chargé par exemple de conseiller l'État dans le projet de fusion GDF-Suez.

En novembre 2010, lors de sa nomination comme secrétaire général de l’Ump, il annonce qu'il cesse d'exercer dans le cabinet, mais continue son activité de conseil « à titre individuel ».

De 1993 à 1995, Jean-François Copé est membre de la cellule de réflexion économique de Jacques Chirac animée par Nicolas Sarkozy. Il devint ensuite directeur de cabinet Romani, ministre délégué aux Relations avec le Sénat, chargé des rapatriés, dans le gouvernement Balladur.

Il soutient Chirac lors de la présidentielle de 1995. La même année, il devient délégué général au projet de société au Rpr. Il fait alors partie de la « task force Juppé » (à l'époque Premier ministre et président du RPR) en matière d'idées. De 1998 à 2001, il exerce la fonction de secrétaire national du Rpr, chargé de « l’économie », puis de la formation. Lors de l'élection pour la présidence du Rpr en 1999, il se présente en tandem avec Devedjian, puis il se déclare pour le second tour en faveur de Michèle Alliot-Marie, il est secrétaire général adjoint du Rpr, chargé du projet d'alternance.

Copé se présente sans succès à sa première élection lors des cantonales de 1992 à Villeneuve-Saint-Georges mais il est élu maire de Meaux en 1995 comme candidat Rpr dissident et parachuté, à l'âge de 31 ans, puis est réélu successivement jusqu’en 2014. Il est conseiller général de 1998 à 2007.
Elu en juin 1995, il devient député de la 5ème circonscription de Seine et Marne, à la suite de la nomination de Guy Drut dans le gouvernement Juppé
Il est membre des gouvernements Raffarin de 2002 à 2004, en tant que secrétaire d’Etat aux relations avec le Parlement, porte-parole du gouvernement sous Chirac.
Fin 2003, il promeut un dispositif d'exonération de l’impôt sur les plus-value des grandes entreprises en cas de vente de leurs titres de participation, appelé en pratique «  niche Copé »  Il conduit alors la liste de l’Ump au premier tour, puis la liste d'union avec l’Udf au second tour des élections des 21 et 28  mars 2004 en  Île de France. À la suite de la victoire de la liste socialiste conduite par J-P Huchon, il renonce à prendre la tête du groupe Ump au conseil régional d’Île de France, que conserve Karoutchi.
Il devient, en mars 2004, ministre délégué à l’Intérieur dont Sarkozy en est le ministre, tout en demeurant porte parole du gouvernement. En novembre 2004, il est nommé ministre délégué au Budget et à la Réforme budgétaire du gouvernement Raffarin III et conserve ses attributions de porte-parole du gouvernement. Il est reconduit dans ces fonctions le 3 juin 2005, dans le gouvernement de Villepin , avec en complément la responsabilité de la Réforme de l'Etat.  
En 2005, il est au centre d'une polémique car il occupait un logement de fonction, plus grand que ce qu'autorisent les consignes ministériels (230 m2 au lieu de 120 m2 à 140 m²), dans le 16ème  arrondissement de Pais, bien qu'il disposât par ailleurs d'un appartement privé à Paris. Jean-François Copé se justifie alors par le fait qu'il faisait réaliser un certain nombre de travaux dans cet appartement, et qu'il y emménagerait après que son épouse, alors enceinte, aurait accouché.
Cette polémique intervient en même temps que l’affaire Gaymard, qui conduit le Premier ministre Raffarin à instaurer de nouvelles règles en la matière.
En 2005, il est membre du club Le siècle. Il lance son club de réflexion, Génération France .fr, le 13 décembre 2006.
Elu en juin 2007, président du groupe Ump à l’Assemblée nationale à ce poste, après avoir subi de vives critiques de la part de certains parlementaires membres du groupe Ump, comme ceux qui s'opposent à la réforme de la carte judiciaire en novembre.                                  Il s'impose comme un homme fort de la majorité, relais entre les parlementaires et l'exécutif, n'hésitant pas à exprimer ses distances avec le gouvernement. Après s'être vu confié par le Premier ministre Fillon, une mission sur la modernisation du Parlement au premier semestre 2007, il préside en 2008 la commission « pour une nouvelle télévision publique », pour étudier la mise en place de la proposition présidentielle du retrait de la publicité dans l'audiovisuel public.
Fin 2009, Copé prend position dans le débat sur le voile intégral et propose le vote d'une loi interdisant la dissimulation du visage dans l'espace public. Celle-ci est votée en octobre 2010 et promulguée en avril 2011. Elle est validée par la CEDH en 2014.
Commenter cet article