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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Les têtes pensantes du nouveau Président.

14 Mai 2017, 17:20pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

D'autres exemples d'acheteurs de vestes réversibles   dans l’équipe des supporteurs du nouveau Président de la République Française. Emmanuel MACRON.

Le ministre Tout Corps d'Etat des gouvernements successifs de droite

Le ministre Tout Corps d'Etat des gouvernements successifs de droite

(II)

Dominique PERBEN (71 ans)

il est plusieurs fois ministre de 1993 à 2007 :

1993 à mai 1995 : ministre des DOM-TOM, ( gouvernement Edouard Balladur)

novembre 1995 à juin 1997 : ministre de la Fonction publique, de la Réforme de l’Etat et de la Décentralisation ( gouvernement Alain Juppé) mai 2002 à juin 2005 : Garde des Sceaux, ministre de la Justice, ( gouvernement Jean-Pierre Raffarin ; 1.2 et 3 )

2 juin 2005 au 15 mai 2007 : ministre des Transports, de l’Equipement, du Tourisme et de la mer ( gouvernement Dominique de Villepin )

En juillet 2005, il met en œuvre avec Thierry Breton le processus de privatisation des autoroutes françaises. Le modèle économique choisi lors de cette privatisation est par la suite sévèrement critiqué par la Cour des comptes

À la demande de Nicolas Sarkozy, il préside une « mission parlementaire sur le développement des métropoles urbaines d'avenir »

Il est nommé membre du Comité pour la réforme des collectivités locales en octobre 2008.

Début 2014, il devient membre de la haute autorité présidée par la juriste Anne Levade chargée d'organiser les primaires de l’UMP en 2016.

 

Ou: faire de la politique pour se préparer une place au soleil dans le privé!

Ou: faire de la politique pour se préparer une place au soleil dans le privé!

RENAUD DUTREIL (57 ans)

Secrétaire d’Etat et ministre de Chirac ; 1er président de l’UMP, président de la filiale USA de 2002 à 2007,

Renaud Dutreil, en tant que secrétaire d'État ou ministre chargé des PME.

* Le 31 mars 2004, Renaud Dutreil est nommé ministre de la Fonction Publique et de la réforme de l’Etat.

À ce titre il crée le "contrat de travail à durée indéterminée" dans la Fonction Publique et engage une réforme des corps de fonctionnaires.

Renaud Dutreil est notamment à l'origine du Régime social des indépendants en France « le fameux RSI » initié sous le gouvernement Raffarin.

Après le gouvernement

* Dès 2003, il envisage de se présenter aux prochaines municipales (2008) à Lyon, Alors qu'il est favori, c'est cependant Dominique Perben, ministre et maire de Chalon-sur-Saône, qui est choisi par Jean-Pierre Raffarin pour mener la droite lyonnaise lors de cette élection.

Il décide de s'implanter sur Reims, ville voisine de sa circonscription de l'Aisne. Aux élections législatives de 2007, il se présente dans la 1er circonscription de la marne. Il est élu député au second tour avec 53.72% de voix en tant que divers-droite avec appuis de l’extrême.

Le 9 novembre 2007, il est préféré à Catherine Vautrin pour l'investiture de l'UMP comme candidat à la mairie de Reims. Cependant, Catherine Vautrin décide de maintenir sa candidature et obtient le soutien du maire sortant. Ses deux principales rivales, Catherine Vautrin et Adeline Hazan (PS) concentrent leurs critiques sur le « parachuté » Battu au soir du premier tour. Cette division fait perdre la ville à la droite et favorise l'élection d'Adeline Hazan.

Il quitte la politique en août 2008 pour présider à partir de septembre la filiale américaine du groupe de luxe français LVMH à New York, fonction qu'il exerce jusqu'en juin 2012. Il est également pendant cette période membre du conseil de L Capital, le fonds d'investissement de LVMH.

En novembre 2014, il se porte acquéreur de la société d'eaux en bouteille Jolival, en Charente qui est bientôt sélectionnée comme eau officielle du Paris Saint Germain. En janvier 2016, il est nommé Chairman du cabinet de conseil FTI Consulting LVMH

Sarkosiste y compris

Sarkosiste y compris

Jean Arthuis (73 ans)
1986-1988 : ministre du gouvernement Chirac
Jean Arthuis, alors sénateur de la Mayenne, est nommé secrétaire d'État auprès du ministre des affaires sociales et de l'emploi le 20 mars 1986 du second gouvernement Chirac.
De janvier 1987 à mai 1988, il est secrétaire d'État chargé de la Consommation et de la Concurrence.
Il est nommé ministre de l'Économie, des Finances et du Plan le 26 août 1995.
Il soutien François Bayrou lors de la campagne présidentielle de 2007.
Au second tour de l’élection présidentielle, il annonce publiquement son soutien à Nicolas Sarkosy.
Départ du MoDem en 2008 et fondation de l'Alliance centriste
Début avril 2008, Jean Arthuis annonce son départ du Mouvement démocrate, Il souhaite « faire revivre » l'ancien parti de Valéry Giscard d’Estaing : après la réunion du comité directeur de l'UDF, il est désavoué par un vote sans appel en faveur de François Beyrou.
À la suite des élections sénatoriales de 2011, qui voient la victoire de la gauche, il perd la présidence de la commission des finances au profit de Philippe Marini (UMP)
Depuis 2014 : député européen et président de la commission des budgets
Le 13 juin 2014, il démissionne de son poste de président du Conseil général de la Mayenne; mais garde son mandat de conseiller général du canton de Château-Gontier-Ouest
Le 30 juin, veille de sa prise de fonction comme député européen, il démissionne de son siège de sénateur de la Mayenne. Le 1er juillet 2014, il annonce sa candidature à la présidence de l'UDI, Il y renonce 10 jours plus tard, à la suite de son élection de président de la commission des budgets du Parlement européen
De l'UDF à l'UMP

De l'UDF à l'UMP

Douste Blazy (64 ans)
Ministre de la Culture
Soutien de Jacques Chirac à l’élection présidentielle de 1995, il est nommé ministre de la Culture le 18 mai après la victoire de ce dernier.
En juin, il est réélu maire de Lourdes, et devient secrétaire général de Force démocrate fin novembre. Il est ensuite membre du bureau politique de l’UDF et en devient vice-président
En tant que ministre, il accentue les politiques culturelles en direction des territoires urbains et ruraux défavorisés, en associant les acteurs de l'aménagement du territoire et de l’Education nationale.
Député et maire de Toulouse.
En mars 2001, il laisse la circonscription de Lourdes pour se faire élire dans la 1er circonscription de haute-Garonne.
Abandonnant ses mandats de conseiller général et de membre du conseil municipal de Lourdes, il remporte à la même date la mairie de Toulouse. Il préside la communauté d’agglomération du Grand Toulouse de 2001 à 2008.
Fin 2001, il s'associe à la campagne de Jacques Chirac pour un second mandat présidentiel. Organise l'adhésion d'une frange de l'UDF au parti fondé lors de la campagne Chirac et qui deviendra l'UMP.
* Réélu député de la Haute-Garonne en 2002, et devenu secrétaire général de l'UMP le même mois lors du congrès du parti, il refuse d'entrer au gouvernement pour conserver la mairie de Toulouse.
* En 2004, il démissionnera cette fois de son poste de maire de la « Ville rose » pour entrer au gouvernement en tant que ministre de la Santé et de la Protection sociale le 31 mars 2004
* Il entame à ce poste la réforme de l’assurance maladie, en prévoyant 10 milliards d'euros d'économies et 5 milliards de recettes supplémentaires en 3 ans, grâce à une franchise de 1 euro par acte médical, la hausse du forfait hospitalier et un élargissement de l'assiette de la CSG.

 

Son successeur n’est autre que Xavier Bertrand
L'homme bien vert !

L'homme bien vert !

François-Henri GOULLET DE RUGY (44 ans)
En 1991, il adhère à Génération écologique, le parti de Brice Lalonde, qu'il trouve « plus cohérent et plus pragmatique qu'Antoine Waechter », le porte-parole des Verts. Il quitte le mouvement en 1994.
* En 1995, il fonde l'association Écologie 44 qu'il préside jusqu'en 1999
* En 1997, il adhère aux Verts. Il est candidat aux élections législatives de mai 1997 dans la 3e circonscription de Loire-Atlantique et recueille 3,87 % des suffrages.
Il est nommé secrétaire général adjoint du « Croupe radical citoyen et vert » à l'Assemblée nationale, groupe où siègent jusqu'en 2002 des députés des petites composantes de la « gauche plurielle »
* En 2001, il est élu conseiller municipal de Nantes, dans le groupe des Verts. Adjoint au maire, chargé des transports, il est aussi l'un des vice-présidents de la communauté urbaine Nantes Métropole, chargé des déplacements.
* Lors des législatives en 2007 dans la 1re circonscription de Loire-Atl. il est l'un des rares candidats Verts à bénéficier d'un accord avec le PS. Le 17 juin 2007, le ticket qu'il forme avec le socialiste Pascal Bolo remporte 52,03 % des suffrages
* Le 26 juin 2007, appartenant au groupe parlementaire de la « gauche démocratique et républicaine » il est élu secrétaire de l'Assemblée nationale le 27 juin 2007, membre de la commission des finances et membre de la délégation chargée de l'application du statut du député.
* Aux municipales de 2008, candidat unique de la gauche à Orvault il est battu, ne recueillant que 47,79 % des voix.
* Il est réélu député en juin 2012, avec 59 % des voix, dans le cadre d'une candidature pour Europe Ecologie les Verts, reconduisant le ticket de 2007 avec Pascal Bolo, adjoint (PS) au maire de Nantes et conseiller général.
* En lice face à Noël Mamère pour la présidence du groupe parlementaire EELV de l’Assemblée nationale, il est finalement désigné coprésident du groupe écologiste, en tandem avec Barbara Pompili. Malgré la coprésidence théorique, il reste officiellement le seul président ; elle lui succède néanmoins en janvier 2013. Les deux coprésidents décident d’alterner la présidence officielle du groupe tous les six mois. Il est membre de la commission de la Défense nationale et des Forces armées.
* Favorable à un retour des écologistes au gouvernement, il annonce le 27 août 2015 dans le journal « Le Monde » qu'il quitte son parti, dont il dénonce la « dérive gauchiste » et l'absence de débat interne, rejetant notamment la constitution de listes avec le Front de gauche en vue des élections régionales de décembre 2015 dans les régions N-P-de-C et PACA. Quelques jours plus tard, il participe à la création de l'Union des démocrates et écologistes, un mouvement écologiste de centre gauche. Le 8 septembre, il annonce que ce nouveau parti s’appellera finalement « Ecologistes »
* Le 17 mai 2016, il devient l'un des vice-présidents de l'Assemblée nationale, succédant à Denis Baupin. Il quitte alors la co-présidence du groupe écologiste. Le 19 mai, avec cinq autres députés, il quitte le groupe écologistes, provoquant sa dissolution, et rejoint le groupe socialiste.
De la primaire citoyenne au soutien à Emmanuel Macron
* En tant que président du Parti écologiste, il se présente à la primaire citoyenne de 2017, organisée pour désigner un candidat à la présidentielle de 2017.
En participant à la primaire, le député François de Rugy a pour ambition de mettre « l'écologie au cœur du projet de la gauche », à travers 66 propositions détaillées sur son site internet. Il a au cœur de son programme la volonté de faire en sorte que les énergies renouvelables représentent 100 % de la production de l'électricité en France à l'horizon 2050.
Sur les questions de société, il prône un service civique obligatoire pour les jeunes de 16 à 25 ans et souhaite en outre expérimenter la législation de cannabis, légaliser l'euthanasie et le suicide assisté pour les personnes en fin de vie, ouvrir la procréation médicalement assistée pour toutes les femmes et encadrer la gestation pour autrui.
* Sur le plan institutionnel, François de Rugy envisage l'instauration du vote obligatoire ainsi que la reconnaissance « réelle » du vote blanc qui, s'il représente plus de 50 % des suffrages, donnera lieu à l'organisation d'un nouveau scrutin.
* Le 15 janvier 2017, lors du deuxième débat télévisé, devant 1 750 000 téléspectateurs, François de Rugy prend publiquement l'engagement de soutenir le vainqueur de la primaire.
* Le 22 janvier 2017, au premier tour de la primaire citoyenne, François de Rugy est crédité de 3,82 % des voix.
* Un mois plus tard, Tout comme Manuel Valls (PS) il renonce à son engagement public de soutenir Benoit Hamon, et préfère s'engager aux côtés d'Emmanuel Macron « le ticket prévu gagnant à la présidentielle » Pour Jean-Christophe Cambadélis, alors premier secrétaire du PS, il s'agit d'une « faute morale » (sans plus de punition)
Tant qu’à La haute autorité des primaires, elle qualifie son attitude de « contraire au principe de loyauté » (mais il pourra certainement encore servir à l’avenir !)
OU ENCORE LA GAUCHE CAVIAR, QUI MANGE DANS TOUTES LES ASSIETTES.

OU ENCORE LA GAUCHE CAVIAR, QUI MANGE DANS TOUTES LES ASSIETTES.

Bernard Kouchner (78 ans)

Activités post-gouvernementales

Il est un fervent défenseur de la cause européenne. Il a pris position en faveur du traité de Lisbonne quand celui-ci était menacé par un « non » irlandais au référendum.

En octobre 2011, il cosigne la lettre ouverte de George Soros appelant, dans le Financial Times à plus d'Europe et plus d'intégration fiscale, face à la crise de l'euro.

Fonctions parlementaires.

* 1994 –1997 : député européen

Fonctions gouvernementales.

· du 4 avril 1992 au 30 mars 1993 : ministre de la Santé et de l’Action humanitaire du gouvernement socialiste de Pierre bérégovoy. * du 18 mai 2007 au 13 novembre 2010 : ministre des Affaires étrangères et européennes des gouvernements sarkosiste de François Fillon (1 et 2)

· Ministre délégué : * du 6 février 2001 au 7 mai 2002 : ministre délégué auprès du ministre de l'Emploi et de la Solidarité, chargé de la Santé du gouvernement Lionel Jospin

 *Secrétaire d'État : * du 13 mai au 28 juin 1988 : secrétaire d'État auprès du ministre des Affaires sociales et de l'Emploi, chargé de l'Insertion sociale du gouvernement Michel Rocard (1) * du 28 juin 1988 au 17 mai 1991 : secrétaire d'État auprès du Premier ministre chargé de l'Action humanitaire du gouvernement Rocard (2)

· du 17 mai 1991 au 4 avril 1992 : secrétaire d'État auprès du ministre d'État, ministre des Affaires étrangères, chargé de l'Action humanitaire du gouvernement Edith Cresson * du 4 juin 1997 au 28 juillet 1999 : secrétaire d'État auprès du ministre de l'Emploi et de la Solidarité, chargé de la Santé du gouvernement Jospin.

· Autres fonctions exécutives.

* Représentant spécial du secrétaire générale des Nations unies au Kosovo et chef de la Mission d'administration intérimaire des Nations unies au Kosovo (MINUK)) de juillet 1999 à janvier 2001… * Représentant de l'Union européenne au sein du Groupe international indépendant d'éminents experts (GIIEE) chargé de surveiller au Sri Lanka la commission d'enquête présidentielle sur les violations des Droits de l'homme commis depuis août 2005. * Président-fondateur de BK Consultants (SIRET 45156985900015, fondée en 2004) * Enseignant à la Harvard School of Public Health * Membre fondateur de La Chaîne de l’espoir présidée par le professeur Alain Deloche. * Administrateur de l'International Women Health Coalition. * Membre du Comité d'honneur de la Fondation Children Action * Il est membre du club Le Siècle et de la Fondation Saint-Simon.

* En 2005, il a été parrain de l’Ecole internationale de commerce et développement 3A.

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