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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

AURA-T-ON ENCORE UN JOUR LE DROIT DE "REVENDIQUER" SANS SE FAIRE VIRER ???

21 Juillet 2017, 20:56pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Dans nos Assemblées ils sont moins serrés, mais comme pour les dirigeants gouvernementaux; les économies: le chef ne connait pas !
Dans nos Assemblées ils sont moins serrés, mais comme pour les dirigeants gouvernementaux; les économies: le chef ne connait pas !

Dans nos Assemblées ils sont moins serrés, mais comme pour les dirigeants gouvernementaux; les économies: le chef ne connait pas !

REVUE DE PRESSE
Le problème n’est pas le nombre d’étudiants, mais bien l’insuffisance des moyens
 Par Brigitte Gonthier-Maurin  / 17 juillet 2017

 

Hasard du calendrier, alors qu’était annoncé le nombre de bacheliers sans affectation à l’issue de la deuxième phase du système APB (Admission Post- Bac), le Gouvernement annonce une annulation de crédits de 331 millions d’euros pour le budget de la MIRES en 2017. Une de plus, devrait-on dire ! Ce scénario se répète chaque année en juillet quand il ne s’agit pas de ponctionner les fonds de roulement des universités.

Encore une fois le Gouvernement fait l’impasse sur la question des moyens accordés à l’Université pour accueillir les étudiants dont la pression démographique – 40 000 étudiants de plus cette année - était connue et annoncée.

Certes la Ministre de l’enseignement supérieur de la recherche dit vouloir en finir avec le tirage au sort ! J’ai avec mon Groupe toujours dit notre opposition à cette pratique injuste et contre-productive. En avril dernier, nous nous étions élevés contre le décret publié par la Ministre « sortante » entérinant la pratique du tirage au sort pourtant décriée.

Pour autant, le nouveau Gouvernement propose de mettre en place des prérequis à l’entrée à l’Université, qui ne sont rien d’autres qu’une sélection qui ne dit pas son nom. Et annule des crédits quand il faudrait les augmenter.

Je regrette que tous les parlementaires ne soient pas associés à la « concertation » qui s’ouvre aujourd’hui sur les nouvelles modalités d’entrée à l’Université.

En ma qualité de vice-présidente de la Commission de la culture, de l’éducation et de la communication du Sénat et de responsable de ces questions depuis six ans pour le Groupe CRC, je ne manquerai donc pas de transmettre à la Ministre les propositions que je défends depuis des années en faveur de la démocratisation de l’enseignement supérieur, s’agissant par exemple de la poursuite d’études des bacheliers professionnels.

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