Le futur "empereur " de l'Europe !
En France, en Allemagne, en Europe, il veut "marquer son territoire" en chantant "la Marseillaise" à l'américaine, la main sur le cœur ! Napoléon Bonaparte portait la main droite "sous le gilet"
Après avoir brossé dans le sens du poil Messieurs Poutine et Trump, le nouveau président pour encore quatre ans et demi vient de faire sa « tournée européenne en solo » en passant par l'Autriche ou il a rencontré le Premier ministre ainsi que ceux de Tchéquie et de Slovaquie et par la suite en Roumanie et en Bulgarie.
Ce dernier, prend des dispositions contraires au bien être des citoyens qui en sont « Rien » à ses yeux ; et préfère discuter de la politique française à l’étranger faisant passer « ses sujets » pour des « neuneus » Ceux qui l’ont élu avec moins de 25 % des inscrits au premier tour des présidentielles; il laisse son Premier ministre expliquer aux gens les dispositions qui seront prises par son gouvernement, bien sûr aux ordres d’un chef qui a « tout bon ! »
Mais voilà, alors que les Français sont laissés dans l’expectative du lendemain, Monsieur Macron, après avoir « recadré » le général d’armée De Villiers, Chef d’Etat-Major des armées et l’avoir démissionné, n’accepte pas non plus « les remontrances » de l’ancien chef d’Etat François Hollande.
Celui qui lui a servi « l’Elysée » sur un plateau avec quelques-uns des « judas » de service, toutes origines confondues tels les Valls, Le Drian, Collomb, et la bande "gauche caviar du PS" accompagnée en cela par les chasseurs de « marocains » d’EELV, LR, MoDem afin d’assurer leur pauvre retraire de « politicards de profession » ceux qui finiront leur carrière la langue beaucoup plus fatiguée que les bras.
Aujourd’hui, avec les milliards d’euros de cadeaux qu’ils ont offerts aux banquiers et au Medef de Gattaz. Des milliards d’euros, payés sur le dos des salariés et qui n’auront servi à rien d’autre que de régler les dividendes ou encore de payer la revente des Stock-Options majorés à certains actionnaires ! Ceux-là mêmes qui ont aidé au licenciement de centaines d’employés, comme notre ministre du Travail chez Danone.
Ils veulent encore frapper plus fort avec la loi « Travail II » qui va encore toucher tous les salariés, retraités, étudiants et autres.
Alors que la France vient encore de passer un cap avec plus de 35 000 chômeurs supplémentaires recensés au mois de juillet ( Sans prendre en compte les rayés d’office à Pôle Emploi ou encore les travailleurs pauvres qui ne travaillent qu’à temps partiels pour 6 ou 700 euros/mois ! ) c’est le Black-out le plus complet de la part d’un gouvernement plus orgueilleux qu’efficace dans ce domaine.
Gattaz le nouveau "Talleyrand" de l'Etat Macron, celui qui servit tous les régimes jusqu'en 1838. Aujourd'hui, Gattaz patron de "Radiall" et du Medef, dans son château de 2120 m² de surface habitable et son vignoble classsé AOC, acheté pour la modique somme de 11 millions d'euros.
La flambée irrationnelle des rémunérations des grands patrons est inquiétante selon Piketty
Le célèbre économiste Thomas Piketty s'inquiète de la concentration des richesses nationales entre les mains d'un nombre de plus en plus restreint de « super-riches »
© Fournis par www.challenges.fr Rémunération des grands patrons: Piketty tire la sonnette d'alarme.
Pour Thomas Piketty, « l’exception égalitaire française est un grand mythe national très exagéré » L’auteur du best-seller mondial Le Capital au XXIe siècle (2013), est célèbre pour avoir révélé, grâce à un travail de titan sur une base de données fiscales patiemment constituée, un creusement massif des inégalités en Occident depuis trente ans passés en partie sous le radar des indicateurs classiques. Observant plus finement la dynamique des revenus des 1%, voire des 0,1% les plus riches, et aussi leurs patrimoines, il a démontré que cette élite capte une part grandissante de la richesse nationale.
Un phénomène qui n’épargne pas l’Hexagone: dans une nouvelle étude publiée en décembre dernier (avec Bertrand Garbinti et Jonathan Goupille), Piketty dévoile ainsi que, entre 1983 et 2015, le revenu moyen du Top-1% a progressé de 100% et celui des 0,1% de 150% alors que le reste de la population a dû se contenter d’une augmentation d’à peine 25% (soit moins de 1% par an)
Du coup, les 1% des plus aisés ont accaparé à eux seuls 21% de la croissance économique totale, contre 20% laissée aux 50% les plus mal lotis. Certes, c’est considérablement moins qu’aux États-Unis où le Top -1% a confisqué plus de 70% de la croissance américaine des trente dernières années.
Mais, note Thomas Piketty, « la rupture est frappante avec les Trente Glorieuses où, entre 1950 et 1983, les revenus progressaient de 4% par an pour l’immense majorité de la population… et plus vite que ceux des super-riches » L’étude relève aussi la forte croissance des plus hauts patrimoines en France, qui ont grossi nettement plus vite que le PIB depuis les années 1980, comme si la lutte des classes s’était déportée vers le haut… en partageant toujours moins avec le bas.
Le professeur de l’École d’économie de Paris, conseiller de Benoît Hamon pendant la campagne présidentielle, sonne donc l’alarme tant sont, pour lui, nocives le gonflement des hauts revenus - dû à « la flambée irrationnelle des rémunérations de quelques traders, grands patrons, cadres dirigeants, sans justification économique » - et la concentration accumulée des richesses, « aboutissant inexorablement à favoriser les rentiers et héritiers face aux travailleurs et entrepreneurs »