Les fainéants dans la rue, les aristocrates " à la Lanterne"
Président élu au minimum, le représentant de la France est aussi celui qui salit son peuple depuis l'étranger, Ce « Chevalier sans peur et sans reproche » préfère en « bon soldat qu'il est » partir affronter « IRMA » sous le soleil des Caraïbes, huit jours après le passage tueur et dévastateur de l'ouragan. Jour choisi comme un « bon frimeur » qui aura la langue plus rapidement usée que les bras, choix, pris afin d'éviter ce jour là, la manifestation des fainéants dans l'ensemble de l’hexagone.
* Le 18 juin 1940, De Gaulle a lancé depuis Londres un appel à tous les Français et si, plus tard, il les qualifia de « veaux », ce fut en privé et en France.
Le 8 septembre 2017, Emmanuel Macron les a insultés et menacés publiquement depuis Athènes : « Je ne céderai rien, ni aux fainéants, ni aux cyniques, ni aux extrêmes ». Il voulait ajouter « ni aux vioques » mais, d’une simple grimace plissée, la « première dame » Brigitte l’en a dissuadé. Alors, il a dévié sur « l’égoïsme » et « les pessimistes ».
A ajouter aux ouvrières des abattoirs « GAD » dans le Finistère ces « illettrées » aux nordistes des Bassins Miniers « l'alcoolisme et le tabagisme » et à la foule des gares où il croise « des gens qui ne sont rien ».
Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu. Bertold Brecht (1898 - 1956)
Soyons sûrs que si le parti de la « Trouille » le réélit encore deux ou trois fois, « Papounet » arrivera à se dépouiller de son costard de jeune loup tout fou, Sciences-Po-ENA, pour endosser l’habit de président de la République où jamais tailleur n’ajouta une poche transparente pour que s’affiche le mépris envers le peuple. Partager cet article