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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

La "Santé" en France et les poisons autorisés.

30 Novembre 2017, 16:14pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Et en plus, ils ont un "grand" pied dans l'agroalimentaire...
Et en plus, ils ont un "grand" pied dans l'agroalimentaire...

Et en plus, ils ont un "grand" pied dans l'agroalimentaire...

Comment voulez-vous que ça tourne rond dans notre pays et en second plan en Europe ?

 

Aujourd'hui encore, près deux années de débats inutiles sur la question du « Ghyphosate » cet herbicide cancérigène mi sur le marché européen et international depuis trop longtemps.

Deux années pour ne rien dire et surtout ne rien faire, les européens, représentés par la « grande puissance qu'est l'UE » celle qui dirige les 28 pays de l'union à Bruxelles, se sont pliés devant les exigences et la puissance financière des empoisonneurs internationaux « Montant - Bayer» et de ses produits tueurs d'oiseaux, d'animaux sauvages, d'abeilles, d'humains etc,.

 

La France a voté pour l'arrêt de cette mise en vente sur le marché du Ghyphosate et des ses dérivés, en demandant l'arrêt total d'ici à trois ans.

Mais compte tenu des lobbys financiers de certains laboratoires empoisonneurs, des représentants européens à Bruxelles sous la pression de ces laboratoires, d'une FNSEA représentants les grands propriétaires terriens que sont certains agriculteurs, (ceux qui font travailler leurs métayers et ouvriers agricoles pour l'épandage des poisons sur les terres ; avec comme seule protection un masque de peintre) sans oublier les multinationales de l'agroalimentaire, et les grandes sociétés de semences par qui les agriculteurs sont dans l'obligation de passer pour l'achat de l'ensemencement annuel de leurs terres.

 

Notre ministre français de l'agriculture a quant à lui fait la préférence de suivre le mouvement ; des « gros exploitants «  passant ainsi au dessus de l'esprit écologique de son collègue le ministre d’État.

Le projet est ainsi repoussé a cinq ans, avant de prendre d'autres décisions et d'autres discussions aussi incultes que celles qui viennent de se passer, pour redonner du temps au temps.

Un trop grand enjeu financier pour l'Allemagne qui aujourd'hui retourne sa veste au sein d'une Europe représentée par des technocrates désignés et non élus par les peuples.

Retour de veste « compréhensible » du « moteur européen allemand » sachant que les laboratoires «BAYER » ont dans leur projet de racheter « MONSANTO » l'empoisonneur mondial du ghyphosate.

« Un peu d'histoire afin de se rappeler que le laboratoire Bayer, achetait dans les années 1940, les femmes prisonnières des nazis, pour ses essais de labo sur êtres humains, avant de les envoyer à la crémation » (1)

 

Aujourd'hui, ces labos réunis ne veulent rien lâcher, un délai de cinq années avant que l'UE ne prenne une décision, laissera à ces empoisonneurs le temps de mettre au point un autre poison international déjà commercialisé par Santon sous le nom « Dicamba » plus de 100 fois dangereux que le glyphosate. Un produit déjà utilisé et approuvé chez nous, par les grands dirigeants agriculteurs de la FNSEA pour traiter les maïs.

 

Après cela nous pourrons mettre à table, nos viandes, poulets légumes, fruits et autres, estampillés « BIO »

Le président français, a lui décidé de réduire ce délai à trois ans maximum ;

Compte-t-il sur la bonne volonté de son ministre de l'agriculture, de la FNSEA et de l'UE pour éviter à la France les poursuites financières qu'ils auront décidé.

 

N'en est-il pas de même pour le « LEVOTHYROX » qui après la mise en service de la nouvelle formule mise sur le marché par le laboratoire allemand Merck, avec l'autorisation de la ministre de la Santé Madame Busyn, ancienne directrice de l'Institut Nationale du Cancer et elle même l'épouse le PDG de l'INSERM (Institut National pour les Sciences et la Recherche Médicale)

Il leur aura fallu attendre des effets secondaires graves chez les patients, les pétitions et les procès lancés dans toute la France, pour que cette dernière prenne avec l'ANSM (Agence nationale pour la sécurité du médicament) la décision de remettre sur le marché dans les officines (pour quelques jours) l'ancienne formule sous le nom « Euthyrox »

 

Cela, dans l'attente de la sortie d'un nouveau produit, essayé en laboratoire sur des chiens ou des rats ou autres, comprenant même la mise sur le marché d'un générique (moins cher, toujours une question d'argent sur la santé des malades) dont beaucoup de patients connaissent certains effets désastreux avec d'autres médicaments génériques,

Les problèmes ne s'arrêtent pas à ces deux exemples, dernièrement on parle du « Cytorec » médicament contre les ulcères de l'estomac,

Ce médicament, beaucoup moins cher que ceux prévus pour un usage gynécologique à base de prostaglandine qui sert au déclenchement artificiel du travail, est donc détourné de son usage pour raison économique ; c'est un nouveau scandale nationale qui est encore en train de naître, car il entraîne de graves risques pour la santé tant pour la mère et que pour l'enfant,

Le ministère de la Santé a pris « l'initiative » d'interdire ce médicament dès « MARS 2018 » Laissant ainsi le temps nécessaire pour liquider les stocks (sans perte) et la possibilité pendant plusieurs mois de laisser le temps à d'autres risques graves d'arriver dans ce domaine,

 

D'un autre côté, la Cour des Comptes qui veut »guérir » les comptes de la Sécurité Sociale, par des mesures simplement réservés aux médecins libéraux afin de porter un coup d'arrêt aux dépassements d'honoraire, au risque de les déconventionner, opération synonyme d'un non remboursement des frais médicaux pour les patients,

Alors ces personnages de la Cour des Comptes et autres, « ceux qui réfléchissent sur le papier » ont-ils dans l'esprit que la désertification de la médecine rurale est de plus en plus sévère dans notre pays.

Que les hôpitaux et maternités de proximités ferment les uns après les autres, qu'un bon nombre de spécialistes de la médecine ne seront plus remplacés sous la prochaine décennie et que beaucoup de centres médicaux, hôpitaux régionaux sont déjà dans l'obligation de faire appel à des médecins et spécialistes étrangers pour combler les vides.

Et surtout, que le déplacement des patients à quelques 60 ou 100 km pour des consultations chez les spécialistes ou en hôpitaux sont coûteux et comportent des risques,,,

 

Pensent-ils que le numerus clausus imposé par les grands pontes et les ministères successifs vont pouvoir encore longtemps laisser le choix aux étudiants de choisir « médecine »

Un foutoir est un foutoir et la France malheureusement y est bien accrochée !

Peut-on aujourd’hui faire une confiance aveugle à notre médecine et à ses ministres, agences de vérifications, de recherche ou de la Sécurité du médicament ?

Les années noires ou Bayer achetait les prisonnières aux nazis.Les années noires ou Bayer achetait les prisonnières aux nazis.Les années noires ou Bayer achetait les prisonnières aux nazis.

Les années noires ou Bayer achetait les prisonnières aux nazis.

(1)

 

http://www.cbgnetwork.org/Francais/...

Au http://www.cbgnetwork.org/Francais/...

Au début du mois août, le groupe pharmaceutique et chimique allemand Bayer a retiré de la vente un de ses médicaments contre le cholestérol. Associé à un autre remède, il aurait provoqué la mort de plus de 50 personnes dans le monde.

 

La présence du nom de cette firme à la une de l’actualité éveille de pénibles souvenirs. Sous le régime nazi, Bayer, filiale du consortium chimique IG Farben (1), procéda en effet à des expériences médicales sur des déportés, qu’elle se procurait dans les camps de concentration en particulier.

Nous avons retrouvé dans le numéro de février 1947 du Patriote Résistant les extraits de cinq lettres adressées par la Maison Bayer au commandant du camp d’Auschwitz. Elles étaient publiées dans un article traitant de quelques-uns des méfaits des industriels allemands sous le nazisme - alors que leur procès était instruit par le tribunal de Nuremberg.                                                                                                   Les lettres, trouvées à la libération d’Auschwitz par l’Armée rouge, datent d’avril-mai 1943. Elles se passent de tout commentaire.                                                                         

Première lettre :                                                                                                                                                                      " En vue d’expérimenter un soporifique, vous serait-il possible de mettre à notre disposition quelques femmes et à quelles conditions, toutes les formalités concernant le transfert de ces femmes seront faites par nous."                                                                                               

Deuxième lettre :                                                                                                                                                "Nous accusons réception de votre lettre. Considérant le prix de 200 marks exagérés, nous offrons 170 marks par sujet, nous aurions besoin de 150 femmes. "                                                                       

Troisième lettre :                                                                                                                                                 " D’accord pour le prix convenu. Veuillez donc faire préparer un lot de 150 femmes saines que nous enverrons chercher très prochainement. "                                               

Quatrième lettre :                                                                                                                                               " Nous sommes en possession du lot de 150 femmes. Votre choix est satisfaisant quoique les sujets soient très amaigris et affaiblis. Nous vous tiendrons au courant du résultat des expériences." 

Cinquième lettre :                                                                                                                                           " Les expériences n’ont pas été concluantes. Les sujets sont morts. Nous vous écrirons prochainement pour vous demander de préparer un autre lot. 

(1)IG Farben fournit aux nazis le Zyklon B utilisé dans les chambres à gaz et utilisa massivement la main-d’œuvre concentrationnaire dans ses usines. Condamnée pour crimes contre l’humanité à Nuremberg puis à la dissolution, IG Farben possède toujours un statut juridique malgré son démantèlement entre les sociétés Bayer, BASF et Hôchst.

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