La liquidation des universités par les CRS et les ultra-droites protégés le plus souvent par certains politiques et présidents d'université.

La "racaille" revient en force, protégée par les "gens d'enHaut"

Notre Jupiter national devrait plutôt se pencher sérieusement sur ce qui se passe dans son propre pays ? Après la purge de Policiers Nationaux et de Gendarmes faite par Sarkozy, son ministre de l'Intérieur, lui, envoie 2500 gendarmes armés jusqu'aux dents (blindés, pelles mécaniques, bulls, drones etc » pour déloger 100 zadistes au sud de Nantes.                                            Au lieu de garder ces personnels pour patrouiller dans les quartiers qu'ils appellent « difficiles » pour assurer la sécurité routière ou encore celle des voyageurs ou la recherche du radicalisme islamique. 

Ils sont par contre incapable de discuter pour une sortie propre de la grève perlée en cours, sans casse de l'outil français qu'est la SNCF et sans vendre aux moins offrants les lignes non rentables aux amis de la haute ,« ceux qui ont réussi » et qui écrasent les salariés,

Les ministres de l’Éducation et de l'Enseignement supérieur remettent sur le tapis les nouvelles casses au niveau des Lycées, des Universités.

Quand à Macron lui, laisse à son ami Alain Madelin, (son premier soutien à l'élection présidentielle) le soin de remettre sur pied ses casseurs de l'ex-groupe fasciste « Occident » Patrick Devedjan, Gérard Longuet, Claude Goasquen. Tous co-fondateurs du groupe de casseurs fascistes. 

Groupe dissout par Raymond Marcelin ministre de l'Intérieur lors du Conseil des ministres du 31 octobre 1968 avec effet dès le lendemain 1er novembre, mais vite remplacé par d'autres groupuscules fascistes ou par ceux qui ont rejoint le RPR ou le FN

Ces groupes étaient et sont toujours présent dans la République de Macron afin de casser des lycéens et universitaires : ceux qui ne sont pas d'accord avec les directives ministérielles et la casse continuelle de l’enseignement en France.

Il cherche à connaitre ce que les gamins de quarante ans b'ont pas connu en 1968.

RÉPRESSION !

On n'avait pas vu ça depuis mai 1968 !

Malheureusement,in ne s'agit pas de l'ampleur de la mobilisation étudiante, mais bien de celle de la répression .

Lundi 9 avril, une cinquantaine de CRS ont investi l'Université de Nanterre pour empêcher les étudiants de manifester devant le conseil d'administration , qui devait entériner « Parcoursup », le nouveau dispositif de sélection.

Après une première intervention pour déloger les étudiants réfugiés sur le toit, ce sont des jeunes réunis pacifiquement en assemblée générale qui sont pris par surprise dans une répression violente :   gaz lacrymogène, étudiants traînes à terre et frappés ?         Trois d'entre eux sont blessés et sept emmenés au poste de police.

L'emblématique université, foyer de la contestation il y a cinquante ans, ne s'était pourtant pas particulièrement illustrée jusqu'à présent dans le mouvement contre la sélection à l'université.

La répression a été immédiate et brutale. La droite au pouvoir en 1986 (Devaquet) et en 1994 (CIP) ou encore 2006 (CPE), lors des grands mouvements étudiants, n'avaient jamais osé faire ça.   Macron si !

De 200 en AG, le lundi, les étudiants étaient 700 dès le lendemain.

Le président de la République va peut-être enfin réaliser sa promesse de faire la révolution.