L'Europe que Lrem espère...

l'Europe des barbelés!

L'Europe de Macron

A un an de l'élection européenne, Macron et ses acolytes de LREM pensent fortement faire un groupe européen du « macronisme » avec les 27 associés de l'UE.

Le champion du bordel en France, part à l’assaut de l'Europe, la République en Marche veut tout et veut tout écraser sur son passage.

Quels genre d'accords pour une « République » tel la sienne va-t-il inventer pour « raccrocher » les monarchies de Belgique, des Pays-Bas, d'Espagne, de la Suède, du Duché du Luxembourg. Comment ira-t-il repêcher les principautés qui se sont rattachées à l'UE comme Monaco, Andorre, le Liechtenstein (paradis fiscaux en sus) ou encore le Saint-Siège… Que deviendra donc son groupe la « République en M….» ?

Napoléon lui-même n'y est pas parvenu !.

Pourra-t-il se retourner sur l'Irlande, le Portugal ou Malte, autres Républiques paradisiaques du fisc international ?

Il attend peut-être l'aide des extrémistes de l'Ultra droite européenne, ceux de Pologne, d'Autriche, Hongrie, Italie, Estonie, Lettonie, Lituanie, Finlande, Suède, Tchéquie ou encore récupérer des complémentaires afin de remplacer la Grande-Bretagne, avec son ami Petro Porochenko l'ukrainien ou celui aussi reçu surtapis rouge à l’Élysée le turque Tecep Tayyip Erdoğan celui qui enferme ces intellectuels y compris les policiers et magistrats ?

Va-t-il se retourner sur l'Italie qui est gouvernée aujourd'hui par l'extrême droite de la « Ligue du Nord » de Berlusconi et du partie 5 étoiles anti européen. ?

* En Autriche ; le nouveau chancelier conservateur, Sebastian Kurz, s'entoure à des postes régaliens de trois ministres venus du parti d'extrême droite, le FPÖ. Un exemple d'alliance politique qui est loin d'être une première puisqu'une dizaine de pays européens s'y sont déjà résolus depuis le début des années 2000.

● Au Danemark: l'extrême droite soutient le gouvernement sans en faire partie La stratégie consiste à peser au parlement pour faire passer certaines lois, notamment en matière d'immigration. ( Il faut dire qu'il est déjà servi sur ce sujet avec certains des ministres qu'il a mis en place)

* Pays-Bas: la position d'arbitre de Geert Wilders « extrême droite néerlandaise » anti-Union européenne, anti-Islam, décide avec ses 15 % de suffrages de soutenir le gouvernement libéral minoritaire.

* La Pologne : d'Andrzey Duda, excellent européen conservateur, qui préconise le refus de l'euro dans son pays et qui débaptise le nom des rues et places qui ont été inauguré avec des noms de résistants polonais tombés tant en Pologne qu'en France en combattants les nazis lors de la seconde guerre mondiale.

* La Hongrie :Victor Orbän, Conservateur d’obédience « sociale démocrate » pointé du doigt par Angéla Merkel pour sa fermeture des frontière aux migrants de toutes les régions en guerre aujourd'hui.

* Ou alors plus facile pour lui, est d'appeler dans son gouvernement de récupération, la famille Le pen et leurs acolytes ! Il a déjà recueilli pas mal de personnages dans ses rangs du type Claire O'Petit, qu après un passage au PS de 2000 à 200, passe à l'Udf puis au Mo Dem, avant d'essayer être sur les listes Fn en position éligible aux dernières régionales.

Il faut dire que le personnage, fondateur de la République en marche a déjà bien pris ses leçons d'extrémiste avec Alain Madelin ancien dirigeant de la formation de casseurs extrémistes de droite d'Occident et ancien soutient de Tixier-Vignancour ;

Voilà le danger que le macroniste nous réserve pour une Europe qui n'aura plus rien de démocratique !