PARCOURSUP ...
Après un tel cinéma mis en oeuvre par le gouvernement, il faut que nos jeunes lycéens est un moral d'acier pour travailler normalement leur année de terminale.. Est-ce un calcul voulu ?
« Anxiogène et aléatoire »
C'est cette semaine que les bacheliers ont obtenu les premières réponses à leurs demandes d'orientation dans l'enseignement supérieur.
Chaque jour depuis le 22 mai, les futurs étudiants scrutent les notifications qui tombent sur leur smartphone pour savoir si leurs vœux obtiennent un « non » un « oui » ou « oui si ».
En 2017, 157 000 candidats n'avaient pas reçu de propositions lors de la première phase d'Admission Post-Bac, le dispositif précédent Parcoursup.
Selon la ministre elle-même, 270 000 lycéens vont devoir attendre au minimum un mois avant de recevoir un « oui » ou un « non » ou un « oui si » sur l'une de leurs demandes d'orientation.
« Les filières ne connaîtront les effectifs définitifs qu'à la fin de mois de septembre, mettant en péril l'orientation et la réussite des étudiants les plus fragiles » souligne le Collectif pour l'égalité d'accès à l'Université de Lille.
« Contrairement à ce qui est annoncé par le gouvernement, Parcoursup est une régression par rapport à l'APB ; c'est une procédure bien plus lourde, anxiogène et aléatoire »