Les faibles ont toujours besoins de s'entourer de mercenaires autres que Gendarmes et Policiers ! Benalla ou " Les nouveaux tontons macoutes en France "...
Duvalier; dictateur, dirigeant leader des "tontons macoutes" armés d'armes à feu et de couteaux. Est-ce là que Macron et sa bande veulent en arriver ?
La France d'aujourd'hui sous Macron-Philippe-Collomb et les autres, toujours aussi accueillante avec les migrants fortunés.
Comme Jean-Claude Duvalier dit « Bébé doc » immigré en France pour « quelques jours » après avoir semé la terreur dans son pays « Haïti » pendant plus de vingt cinq ans, mais surtout après avoir siphonné les caisses du pays, ( le plus pauvre du monde) de plus de 800 millions de dollars (selon l'ONG Transparency International.)
C'est en « homme riche » qu'il est reçu sur le territoire français - rien à voir avec les migrants d'aujourd'hui qui fuient les guerres et les privations dans leurs pays d'origine – sans rien dans les poches ni sur le dos, et qui sont pourchassés par tous les États de l'UE, y compris en France, par le renforcement des compagnies de CRS envoyés par le ministère, sur demande de certains maires souvent eux-mêmes descendants direct de la migration.
Après le rejet de sa demande d'asile en 1987, l'ex-dictateur a vécu illégalement sur le territoire français pendant plusieurs années, de l'aveu même des autorités de l'époque. En mai 1999, un militant des droits de l'homme l'a d'ailleurs cité à comparaître pour « séjour irrégulier » procédure annulée pour vice de forme.
Après le rejet de sa demande d'asile en 1987, l'ex-dictateur a vécu illégalement sur le territoire français pendant plusieurs années, de l'aveu même des autorités de l'époque. En mai 1999, un militant des droits de l'homme l'a d'ailleurs cité à comparaître pour "séjour irrégulier", procédure annulée pour vice de forme.
A la fin des années 90, des Haïtiens de France veulent le traduire en justice. Leur plainte pour crimes contre l'humanité est classée sans suites fin 1999 mais "Bébé doc" choisit de se faire oublier. Il est officiellement « porté disparu » par le gouvernement français.
Il loge un temps à l'hôtel Claridge près des Champs-Élysées puis, au début des années 2000, dans un deux-pièces « modeste »dans un quartier chic de Paris avec sa compagne Véronique Roy, où il reste jusqu'à son retour surprise en Haïti, raconte Ronald Mettelus, ex-opposant devenu l'un de ses « proches »