« Perquisitions, intimidations avant inquisition;»
Après la police parallèle de l’Élysée, ses barbouzes et mercenaires, voici une nouvelle action élyséenne pour brouiller les cartes de la politique démocratique de la France.
Une nouvelle entente police/justice politique pour faire oublier l'affaire Alexandre Ben-Alla, Vincent Crase et Patrick Strzoda, les seuls fusibles qui ont sauté lors de l'affaire de « castagne des faux policiers de l’Élysée » le 1er mai à Paris.
Aujourd'hui, pour étouffer dans l’œuf l'affaire Ben-Alla le barbouze de l’Élysée, on met en place les fouilles de permanences politiques de l'opposition ainsi que de leurs logements, avec des forces de police bardées de gilets pare-balles, procureurs, commissaires, huissiers, et autres etc. à la recherche des faux assistants parlementaires et des dépassements de frais pendant la campagne des présidentielles de 2017.
Dans le seul intérêt, de faire oublier les affaires en cours, les remaniements bidons d'un gouvernement à bout de souffle, des mises en scènes que supposent l'espoir du macronnisme de brouiller le bon déroulement de la vie démocratique en France !
« C'est le règlement qui l'impose » entendons-nous dire le Premier ministre sur les antennes « gouvernementales ».
L’État Français macroéconomiste, sa justice, sa police, seront-ils aussi rapides et justes avec les critères du règlement lorsqu'il s'agira de « visiter » les locaux du LREM ; les bureaux de l’Élysée, ou le pavillon du Touquet, afin de mettre à jour la vérité sur le financement LREM de la présidentielle de 2017.
Les locations de salles, les frais de déplacements, de réceptions, de tracts et d'affiches à tarifs réduits pour le parti godillot, seront-ils mis à la disposition du peuple pour connaître l'argent des gros financiers et peut-être même, comme Jacques Cheminade, candidat en 2017 l'annonçait dans ses meetings de l'époque « Macron : La City reconnaissante »
Enfin, tous ceux qui ont mis en place un président par défaut !
Alors, quand ouvriront-ils le dossier de « Las Vegas » dont Muriel Pénicaud aujourd'hui ministre du Travail, qui dirigeait alors « Business France » la structure qui organisa le déplacement d'Emmanuel Macron en janvier 2016 alors qu'il était ministre de l’Économie.
Un contrat passé avec Havas pour le somme de 381 000 € qui s'est réalisé sans appel d'offre.(entre copains) En pleine illégalité avec la réglementation des marchés de l’État, Madame, pour sa défense trouve « qu'il y a eu une erreur de procédure » l'enquête a été ouverte pour violation présumée des règles de la concurrence.
Pour cette affaire comme pour la première ci-avant ; faudra-t-il attendre des décennies, pour connaître l'aboutissement des affaires d'Ankara / Balladur, celle de Kadhafi/Sarkozy ou encore le pillage de l'uranium du Niger « l'uraniumgate » avec Areva et certains dirigeants français impliqués, afin de savoir où est passé l'argent ? etc.
Faudra-t-il faire appel aux archéologues d’État afin de connaître la vérité et sortir de sa torpeur une justice qui se laisse endormir par des tout-puissants; ces intouchables des bureaux aux dorures de l'ancien régime ?