Quand il faut attendre 12 jours pour remplacer Gégé de Lyon

il est a espérer qu'ils ne nommeront par Benalla "préfet de Police !"

L'ex-socialiste et joueur de poker, Castaner a lui aussi à vendu sa carte politique aux puces, tout comme Colomb, Philippe, Le Maire et les autres, pour rejoindre Jupiter.

L'homme qui dirige ses moutons godillots du LREM en leur intimant l'ordre de ne pas voter les propositions de lois et amendements venant de l'opposition, venant de droite, de gauche, de l'Est ou de l'ouest ; celui qui fait dire à ses troupes « NON » à toutes propositions ( 181 propositions de lois sont bloquées au niveau des commissions, et n'ont pas été programmées à l'étude) pourrait depuis 17 mois de mandat prendre le nom de « Casta-Niet »

Même certaines propositions votées en commissions de l'Assemblée ou du Sénat, avec l'accord de certains députés LREM sont retoquées en séances par la majorité de ses lèches-bottes, ces amendements sont quelquefois qualifiées trop « gauchistes » par la direction LREM.

De la commission des affaires sociales dont le rapporteur était Dominique Watrin en janvier 2018 concernant la revalorisation des retraites agricoles, retraites aujourd'hui toujours inférieures au seuil de pauvreté et retoqué par les hommes de l'Elysée. Ou encore dernièrement le LR qui s'est vu refuser une proposition de loi, concernant l'inclusion des élèves en situation de handicap - rejetée par LREM sans vote en séance publique .

Le voici aujourd'hui introniser ministre de l'Intérieur en lieu et place de Philippe qui a remplacé au pied levé le copain de la famille élyséenne « Gégé de Lyon »

Que pouvons-nous attendre d'un Castaner, qui interdit la liberté de vote au sein même de son mouvement y compris auprès du Mo Dem, cumulant son poste de chef de parti avec on poste de secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, (relation à sens unique)

Que faut-il en attendre ?

Compte tenu de l'ambiance régnante au LREM , va-t-il instaurer une police politique de l’Élysée afin de surveiller de près les autres partis politiques, n'oublions pas qu'il y a déjà une cellule de barbouzes non déclarée !

Compte-il faire payer les retards de règlement des heures supplémentaires non réglées depuis des années, tant dans la police nationale que chez nos gendarmes ?

Ou comment fera-t-il pour « embaucher » des jeunes policiers et gendarmes, personnels disparus depuis le passage d'un certain Sarkozy au ministère de l'Intérieur et pendant son quinquennat bling-bling, sans leur demander de « traverser » la rue ?.

Ils ne se rendent pas compte du haut de leurs bureaux aux dorures de l'ancien régime, qu'un gendarme ou un policier ne peut bénéficier d'un poste avec une préparation de trois mois ou moins d'enseignement. Ce ne sont pas des « policiers municipaux » qui en trois ou quatre années de service, sont « bombardés » brigadier-chefs, majors ou directeurs de police municipale. Ceux que l'on retrouvent sur nos nationales ou autoroutes sortent des écoles de la gendarmerie ou de la police, après plusieurs années de cours avant d'être en service sur le terrain.

Moins grave que l’absence de médecins dans les villes et campagnes dont ils viennent de se rendre compte du « numerus clausus » bloqué beaucoup de poste, alors que le désert est signalé depuis des décennies et que beaucoup de professionnels fr la santé en service aujourd’hui seront encore partis en retraite d'ici la prochaine décennie.

Alors, Castaner aux commandes que va-t-il faire en mieux ?

Va-t-il prendre la décision de caser son chômeur « Ben-alla » au poste de directeur de la police nationale ? Pour faire comme Jupiter, qui a recasé le médecin Yves Levy, époux de la ministre de la Santé Agnès Buzyn, qui ne s'est pas représenté à la présidence de l'Inserm, (risques de conflits d’intérêts) avec la position de Madame la ministre son épouse.

Un Castaner qui interdit la liberté de vote au sein même du LREM y compris auprès du Mo Dem, cumulant son poste de chef de parti avec on poste de secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, (relation à sens unique)

Le voici aujourd'hui introniser ministre de l'Intérieur en lieu et place de Philippe qui a remplacé au pied levé le copain de la famille élyséenne « Gégé de Lyon »

Que faut-il en attendre ?

Compte tenu de l'ambiance régnante au LREM , va-t-il instaurer une police politique de l’Élysée afin de surveiller de près les autres partis politiques, n'oublions pas qu'il y a déjà une cellule de barbouzes non déclarée !

Compte-il faire payer les retards de règlement des heures supplémentaires non réglées depuis des années, tant dans la police nationale que chez nos gendarmes ?

Ou comment fera-t-il pour « embaucher » des jeunes policiers et gendarmes, personnels disparus depuis le passage d'un certain Sarkozy au ministère de l'Intérieur et pendant son quinquennat bling-bling, sans leur demander de « traverser » la rue ?.

Ils ne se rendent pas compte du haut de leurs bureaux aux dorures de l'ancien régime, qu'un gendarme ou un policier ne peut bénéficier d'un poste avec une préparation de trois mois ou moins d'enseignement. Ce ne sont pas des « policiers municipaux » qui en trois ou quatre années de service, sont « bombardés » brigadier-chefs, majors ou directeurs de police municipale. Ceux que l'on retrouvent sur nos nationales ou autoroutes sortent des écoles de la gendarmerie ou de la police, après plusieurs années de cours avant d'être en service sur le terrain.

Moins grave que l’absence de médecins dans les villes et campagnes dont ils viennent de se rendre compte du « numerus clausus » bloqué beaucoup de poste, alors que le désert est signalé depuis des décennies et que beaucoup de professionnels fr la santé en service aujourd’hui seront encore partis en retraite d'ici la prochaine décennie.

Alors, Castaner aux commandes que va-t-il faire en mieux ?

Va-t-il prendre la décision de caser son chômeur « Ben-alla » au poste de directeur de la police nationale ? Pour faire comme Jupiter, qui a recasé le médecin Yves Levy, époux de la ministre de la Santé Agnès Buzyn, qui ne s'est pas représenté à la présidence de l'Inserm, au risque de conflit d’intérêt avec la position de Madame la ministre son épouse.

Il a été nommé conseiller d’État extraordinaire par la ministre garde des sceaux, le mercredi 10 octobre. Mais il ne touchera entre 1.500 et 6.100 euros tous les mois pendant cinq ans, bien qu'il n'ait jamais pratiqué le droit public.

Les "hommes" de l'Elysée" Benalla - Crase - Strzoda - Girier - Hottiaux - Mizerski et d'autres ...