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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Malgré leurs « licenciements » de l'Elysée, Benalla et Crase ont-ils placé leurs « barbouzes » pour continuer le travail auprès de Jupiter.

28 Mars 2019, 22:38pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Ils sont nommés par les copains pour compter les mouches au plafond
Ils sont nommés par les copains pour compter les mouches au plafond

Ils sont nommés par les copains pour compter les mouches au plafond

Affaire Benalla suite…

Le nouveau garde du corps de Macron : Christian Guédon « a continué à échanger avec Benalla après son départ de l’Élysée » affirme « Mediapart » précisant que c’est Alexandre Benalla qui l’a placé à l’Élysée « dans des conditions dérogatoires ».

Le site  a enquêté sur Christian Guédon, le nouveau principal garde du corps du président. Ainsi, le média rapporte que l'homme « a été intégré au sein du GSPR grâce à Alexandre Benalla et dans des conditions dérogatoires aux règles jusqu'ici en vigueur».

Benalla n'a quant à lui pas démenti son apport dans le recrutement de Christian Guédon durant son audition devant la commission le 19 septembre 2018: « J'ai pu dire le bien que je pensais d'une personne, en soulignant qu'il s'agissait d'un grand professionnel et qu'il serait bon qu'il rejoigne les rangs du GSPR » a-t-il expliqué.

Christian Guédon n'a donc pas rompu ses liens avec Alexandre Benalla après son départ de l'Élysée. Guédon était donc un autre point de contact,  jusqu'ici méconnu, de Benalla au sein de l'Élysée » poursuit l'article.

Mediapart cite en exemple un rendez-vous entre Christian Guédon et Alexandre Benalla fin août 2018 chez Izzat Khatab, «un trouble intermédiaire syrien domicilié à Paris».

«C'est à cette même période mouvementée que Christian Guédon se rend chez Izzat Khatab en compagnie de Benalla, au retour des vacances d'Emmanuel Macron au fort de Brégançon. Quel était l'objet de ce rendez-vous ? Christian Guédon y a-t-il participé en coordination avec la présidence de la République ou l'a-t-il fait, sans autorisation, à sa seule initiative personnelle ?»,  s'interroge le média.

Mediapart a également pu consulter le curriculum vitae de Christian Guédon. Ancien membre du Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN), il est spécialisé dans les « domaines technique et tactique de l'effraction et de l'infiltration ». Il a auparavant également travaillé durant plusieurs années pour des sociétés de sécurité privée en Afrique et au Moyen-Orient.

« Sa reprise d'activité avait été jugée irréalisable administrativement par la hiérarchie de la gendarmerie » car Christian Guédon a « quitté la gendarmerie en 2010 et n'était donc plus en activité dans le service public depuis de longues années », poursuit le site d'actualité.

Le Sénat va-t-il transmettre à la justice le cas des trois proches de Macron ?

A l’Élysée, Ismaël Emelien n’était pas seulement le copain de Benalla. Le conseiller spécial d’Emmanuel Macron, entretient également des liens étroits avec un autre personnage mystérieux de la macronie, Ludovic Chaker, lui aussi très proche de Benalla.

Tout un monde de gens, plus ou moins liés à la sphère militaire, du renseignement et de la sécurité, qui se sont connus durant la campagne, gravite autour du chef de l’État. Cité dans l'affaire Benalla, Ismaël Emelien a annoncé ce lundi 11 février sa démission de son poste de conseiller spécial d'Emmanuel Macron. Officiellement, pour aller vendre son futur livre sur le progressisme.

Interrogé dans Bourdin Direct, Ismaël Emelien assure que son départ de l'Élysée n'a « rien à voir » avec l'affaire Benalla. Pour lui, il n'y a « plus de lien » entre le président et son ancien chargé de mission ???

 Ludovic Chaker 39 ans, Un ami de Benalla, occupe un poste créé pour lui, celui de « chargé de mission » auprès du chef d’état-major particulier du président de la République (CEMP), l’amiral Rogel

Qui est-il ?

L’homme de l'ombre, le mystérieux conseiller d'E. Macron qui a recruté Benalla. Un Quadragénaire au parcours au moins aussi mystérieux que son acolyte Benalla. Ludovic Chaker a pour surnom « le ninja » ; ces jours sont comptés à l’Élysée, où il sert au poste spécialement créé ...

L'embauche de Ludovic Chaker auprès du chef de l’État n’aurait fait l’objet d’une publication au Journal Officiel. Le cabinet du président l’a défini au journal « Le Monde » comme « chargé de mission auprès du chef d’état-major particulier » d’Emmanuel Macron, mais il n’apparaît pas dans l’organigramme.

Il serait en réalité aujourd'hui chargé du renseignement et du terrorisme auprès du chef de l’État, alors que ce dernier pouvait déjà se reposer sur le coordinateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme (CNRLT), Pierre de Bousquet de Florian, ancien patron de la direction de la surveillance du territoire (DST). Ludovic Chaker, alors que la colère suscitée par l'affaire Benalla gronde, a supprimé son compte Twitter ce 24 juillet. Il s'y définissait avant la disparition du profil comme le « coordinateur des opérations de campagne ».

Cet ami d’Alexandre Benalla occupe un poste inusité. Présenté par le journal « Le Monde » comme « l’autre conseiller secret de l’Élysée » ... lui, de chargé de mission auprès du chef d’état-major particulier du président de la République. Sauf erreur de notre part, c’est la première fois qu’un tel poste est créé au sein de l’un des institutions les plus confidentielles du pays.

« Nous sommes hors-sol », juge un bon connaisseur de ces milieux.

Diplômé de chinois, passionné d’arts martiaux et marqué par les philosophies orientales, Chaker 39 ans, n’est ni militaire, ni fonctionnaire. Sur sa fiche Wikipédia (qu’il a sans doute relue et laissée en l’état), il est présenté comme ayant le grade de «  commandant !!!  ».

Le Monde indique qu’il est officier dans la réserve opérationnelle de l’armée de terre depuis 2005, ce qu’a semblé confirmer « avec hésitation le secrétaire général de l’Élysée Alexis Kohler », devant les sénateurs.

Le Journal Officiel le confirme, Ludovic Malik Chaker a été nommé sous-lieutenant dans la réserve opérationnelle du corps des officiers des armes, armée de terre, en 2005. Il a depuis lors été promu régulièrement, obtenant le grade de commandant en 2018, après avoir été inscrit au tableau d’avancement pour ce grade en 2017) (promotion ultra rapide même dans la réserve)

Durant la campagne, dans le groupe de travail sur la défense auquel il participait, il se présentait comme « ancien militaire, 44e régiment d’infanterie » ???

Pour les non-initiés, cela peut sembler banal, mais cela l’est nettement moins lorsque l’on sait que le 44e RI est, en réalité, la structure administrative de rattachement des personnels militaires affectés à la DGSE, hors service action. Il est étonnant qu’un responsable d’En Marche est ainsi fait état de cette appartenance.

Une source nous indique que Ludovic Chaker a suivi le stage ORSEM ( officier de réserve servant en état-major ) en 2013, qu’il n’a jamais été militaire d’active et qu’il était en effet rattaché au 44e RI, mais « sans mission opérationnelle ».)

Selon Le Monde « il aurait été un temps rattaché au Commandement des opérations spéciales (...) au service des « actions indirectes ». Selon nos propres sources, « il n’a jamais été vu à Villacoublay (à l’état-major du Cos) sur les 14 dernières années », mais il n’est pas exclu qu’il fasse partie « de la mouvance des réservistes du J9 », le bureau en charge des actions civilo-militaires du COS, « qui ne servent pas beaucoup » précise la même source.

* Il ne semble pas être connu au J9)

Quelle fonction occupe-t-il auprès de l’amiral Rogel, chef d’état-major particulier du président ? Le mystère est total. Sauf à ce qu’il ait été habilité à des niveaux très élevés de secret-défense, on comprend mal son rôle. L’EMP prépare, par exemple, les dossiers qui sont discutés chaque semaine en Conseil de défense. Il s’occupe aussi d’exportations d’armement et de dissuasion nucléaire.

Le Service de « la défense » nous indique qu’il s’occuperait de « superviser » des « notes de renseignement dans le domaine du terrorisme ». La même indique également que sur la Chine « il n’est pas top, manquant de vision prospective ».

Ludovic Chaker fait partie du noyau originel de la République en Marche, au moment de la campagne. Il est un ami d’Ismaël Emelien, proche conseiller du Président (démissionnaire). Selon une source bien informée, il s’est activé l’an dernier - avant et après l’élection - dans les milieux du renseignement, en vue de leur réorganisation. Un interlocuteur assure que sa candidature pour un poste au sein de la Coordination du renseignement à l’Élysée a été écartée. Ce camarade de la première heure a-t-il été repêché comme chargé de mission au sein de l’état-major particulier ?

C’est ce que suggèrent plusieurs interlocuteurs, bons connaisseurs de ces milieux, sans qu’il nous soit, pour l’heure, possible de le vérifier.

Une source proche du dossier ajoute qu’il aurait été engagé à l’Élysée, parce qu’il était « au chômage », mais qu’ « il ne fait rien » et qu’il est rarement vu à la Présidence.

Voilà un chômeur qui a traversé la rue pour trouver du boulot à ne rien faire., Sur le compte des contribuables et un de plus qui prend la place des 120 000 fonctionnaires que Jupiter parle de dégager des services avant la fin de son mandat.

 

 

Bientôt nommé à Bercy pour remplacer Darmanin qui doit normalement se présenter à Tourcoing...

Bientôt nommé à Bercy pour remplacer Darmanin qui doit normalement se présenter à Tourcoing...

Combien y en a-t-il dans les services de l’Élysée et autres ministère qui sont payés à compter les mouches au plafond de leurs bureaux dorés ?

Aujourd'hui encore le « Citoyen Griveaux » annonce comme deux autres ministres sa démission, en assurant qu'il prépare depuis plusieurs mois sa campagne municipale pour la mairie de Paris. A quoi sert donc la Cour des compte qui met son nez dans les remboursements de médicaments, le déficit de la Sécurité Sociale, le nombre de fonctionnaires en trop etc. Mais qui est incapable de vérifier les dépenses que coûtent ces ministres qui préparent leurs prochaines élections et qui seront encore payés pendant trois mois, ainsi que les employés de l’Élysée payaient à ne rien faire ?

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