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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Les petits plats dans les grands pour le départ de la reine « Christine » du FMI. Gueuleton payait avec l'argent des pays pauvres et endettés et celui de l'ensemble des européens

8 Octobre 2019, 08:44am

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Malgré les problèmes, ils sont toujours imposés dans les chasses gardées du macronisme. Çà ne réussit pas toujours !!! La preuve avec Sylvie Goulard rejetée par les eurodéputés.., Malgré les problèmes, ils sont toujours imposés dans les chasses gardées du macronisme. Çà ne réussit pas toujours !!! La preuve avec Sylvie Goulard rejetée par les eurodéputés..,
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Malgré sa « négligence «  à 400 millions d'euros, Christine Lagarde maintenue à la tête du FMI

Article revu dans le Magazine « Mariane » du 20 déc 2016

 

Sans surprise, la directrice générale du Fonds monétaire international, Christine Lagarde, pourtant condamnée en France ce lundi 19 décembre dans l'affaire de l'arbitrage Tapie, a été maintenue à ses fonctions à la tête de l'institution qui lui a renouvelé toute sa « confiance ».

« Pleine confiance ». Il n’aura fallu que quelques heures au conseil d'administration du Fonds monétaire international (FMI), réuni en urgence à Washington ce lundi 19 décembre, pour décider de maintenir à son poste la directrice générale de l’institution, Christine Lagarde, 60 ans, condamnée un peu plus tôt dans la journée, en France, pour « négligence » dans la sulfureuse affaire de l’arbitrage Tapie, qui aurait tout de même coûté plus de 400 millions au contribuable français

Une « négligence » si la justice n’avait pas annulé, en 2015, ledit arbitrage conduit en 2008 sous la tutelle de Christine Lagarde, alors ministre de l’Economie. Mais rien, donc, de nature à mettre en cause « la pleine confiance » des membres du conseil d'administration du FMI « dans la capacité » de la directrice générale « à s'acquitter efficacement de ses fonctions », ont fait savoir ces derniers dans un communiqué.

Christine Lagarde : un « fantastique leadership »

Après avoir pris en compte « tous les éléments pertinents », et notamment « le fantastique leadership » de Christine Lagarde et « le respect et la confiance qu’elle inspire sur le Globe », ils ont ainsi décidé de lui renouveler leur confiance, comme ils l’ont d’ailleurs fait tout au long de la procédure, puisque le mandat de l’intéressée au FMI, entamé en 2011 suite à la démission de Dominique Strauss-Kahn, a été renouvelé par avance en février dernier. 

Une décision qui risque de ternir un peu plus l’image déjà écornée de l’institution, qui demande la plus grande discipline aux États qu'elle renfloue mais se garde bien de l’appliquer à ses propres dirigeants.

Outre Dominique Strauss-Kahn, contraint de se retirer en 2011 après avoir été arrêté à New York pour « agression sexuelle, séquestration de personne et tentative de viol », l'Espagnol Rodrigo Rato, prédécesseur de DSK au FMI, avait en effet lui aussi fait l'objet de poursuites judiciaires dans son pays, en l’occurrence pour détournement de fonds lorsqu'il était banquier. Ce à quoi vient donc aujourd'hui s’ajouter la petite « négligence » à 400 millions d'euros de Christine Lagarde... 

FMI : le somptueux pot de départ de Dame Christine Lagarde et de ses courtisans, avant qu'elle ne devienne la patronne au sein de la Banque centrale européenne  (BCE)Une place qui a été imposée par Macron à l'UE, qui est la principale institution monétaire  de l'Union européenne, établie à Francfort-sur-le-Main en Allemagne ?

De jack Dion                                                                  Le 28 septembre, la directrice du FMI Christine Lagarde, en partance pour la Banque centrale européenne, organisait son pot de départ. Une sauterie rigueur budgétaire ne faisait pas partie des priorités. Grâce à « Paris Match », on n’ignore rien du modeste pot d’adieu auquel a eu droit Christine Lagarde au siège du Fonds monétaire international (FMI) à Washington, le 28 septembre. Le lendemain, elle partait prendre la direction de la Banque centrale européenne (BCE), installée à Francfort, siège du vrai pouvoir monétaire de l’Europe allemande.

DU BEAU MONDE AU CHEVET DE LA REINE CHRISTINE

Ce jour-là, l’ex-ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy, aujourd'hui adoubée par Emmanuel Macron, est arrivée en robe Chanel, entourée de sa grande famille, pour participer à ce que Paris Match appelle « un adieu festif et chaleureux ». Au menu, il n’y avait pas que des chips et du soda, vu qu’il s’agissait d’accueillir le tout-Washington des affaires et le petit monde de l’élite politique mondialisée. Ce ne sont pas des gens à qui on propose une petite collation sur un coin de table. On n’est pas au Secours populaire.

Quelque 250 invités en tenue de gala ont été conviés à venir saluer la reine Christine. Parmi les invités, il y avait Ivanka Trump, la fille de qui vous savez, accompagnée de monsieur, le milliardaire Lakshmi Mittal, boss du groupe éponyme, connu pour avoir contribué à mettre la sidérurgie lorraine sur le carreau, David Rubenstein, fondateur du fonds d’investissement Carlyle, l’un des plus puissants au monde, historiquement lié à la CIA et qui a compté les deux Bush (le père et le fils) parmi ses responsables, Bruno Le Maire, ministre français de l’Economie, qui aime tant vilipender les frasques du capitalisme, et même Bono, leader de U2, venu saluer celle qu’il considère comme « une rock star ».

« Aussi à l’aise avec des villageoises du Burkina Faso qu’avec Angela Merkel »

Devant tous ces représentants du lumpenprolétariat mondial, Christine Lagarde a eu droit à une corbeille d’éloges. Les uns et les autres ont tenu à souligner « son humanité, sa tolérance ».         En guise de remerciement, Christine Lagarde leur a lancé : « Vous avez tous touché ma vie ». Les peuples des pays où sont passés les experts du FMI, toujours prêts à sortir le sabre pour couper les crédits qui dépassent, n’en diront pas autant.

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