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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

L’ÉNERGIE DANS LA RURALITÉ

24 Mars 2020, 22:09pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

L’ÉNERGIE DANS LA RURALITÉL’ÉNERGIE DANS LA RURALITÉ
L’ÉNERGIE DANS LA RURALITÉ
MÉTHANISATION

À la communauté de communes des Hauts de Flandre (CCHF), l’objectif est la réhabilitation de 800 logements par an sur quatre ans. Un enjeu fort pour gagner des économies d’énergie, pour le chauffage et la consommation. Problèmes d’isolation, de chauffages anciens, d’énergie utilisée, de vétusté des logements... La réduction de l’impact énergétique fait partie des priorités tout comme la recherche d’une forme d’autonomie territoriale ou de production énergétique locale.

De ce côté, deux voies sont ouvertes, la méthanisation ou le photovoltaïque. Pour l’instant, la production locale ne représenterait que 3 % de la consommation locale. La CCHF souhaite développer plus en amont les actions sur les productions locales et veut faciliter les projets par des aides individuelles, de l’ingénierie, et l’accueil du public.

Outre l’utilisation des bâtiments publics pour l’installation de centrales photovoltaïques sur les toitures, c’est la méthanisation qui a le vent en poupe malgré quelques projets éoliens dans le secteur d’Hondschoote.

Des solutions énergétiques locales

La méthanisation permet une production de chaleur renouvelable. Une installation sur un domaine agricole présente un fort potentiel lié aux intrants, aux sous-produits, au fumier ou lisier. Quatre installations sont en service et quatre en projets.

Les riverains sont toujours sensibles aux questions environnementales. Et d’un projet à l’autre, l’accueil peut être sensiblement différent. Tout dépend si l’exploitant, le méthaniseur pour la conversion de ses déchets ou si sa production agricole ne devient plus qu’un prétexte pour produire, et vendre de l’énergie. Et, pour tous les dispositifs, le prix de rachat  par l’opérateur de l’énergie produite est soumis aux décisions de l’Etat.

Sur le territoire rural se pose aussi la question  des mobilités très énergivores. Trois gares sont toujours en activité et la CCHF envisage de proposer de nouveaux services à la population autour d’elle, favorisant les mobilités alternatives (vélos, covoiturage …) et les pratiques sportives à proximité.

La place de la voiture est forcément plus importante qu’ailleurs, pour exemple le secteur quasiment en osmose avec le Dunkerquois et un trafic continuel des habitants vers le lieux de travail entre la CUD et la CCHF, liés par un même basin de vie; mais beaucoup secteurs d'autres aussi.

L"agri-solaire : rentable pour les grands producteurs ? Mais pourquoi ne pas imposer la récupération des eaux pluviales sur les milliers de m² des surfaces de bâtiments agricoles des grandes sociétés et coopératives agricoles pour servir à l'irrigation des champs de culture de maïs ou de tournesol ??? ​​​​​​​
L"agri-solaire : rentable pour les grands producteurs ? Mais pourquoi ne pas imposer la récupération des eaux pluviales sur les milliers de m² des surfaces de bâtiments agricoles des grandes sociétés et coopératives agricoles pour servir à l'irrigation des champs de culture de maïs ou de tournesol ??? ​​​​​​​
L"agri-solaire : rentable pour les grands producteurs ? Mais pourquoi ne pas imposer la récupération des eaux pluviales sur les milliers de m² des surfaces de bâtiments agricoles des grandes sociétés et coopératives agricoles pour servir à l'irrigation des champs de culture de maïs ou de tournesol ??? ​​​​​​​

L"agri-solaire : rentable pour les grands producteurs ? Mais pourquoi ne pas imposer la récupération des eaux pluviales sur les milliers de m² des surfaces de bâtiments agricoles des grandes sociétés et coopératives agricoles pour servir à l'irrigation des champs de culture de maïs ou de tournesol ??? ​​​​​​​

 

Les panneaux photovoltaïques

 

Outre l’utilité  d’installer sur les bâtiments publics ( salles de sports, salles des fêtes, écoles maternelles et primaires – collèges et lycées ) des centrales photovoltaïques sur les toitures ; les agriculteurs des secteurs de « grandes ruralités » des Hauts de France, les installent eux,  sur la couverture des hangars de matériels agricoles, granges, étables (voir la ferme des mille vaches) etc. au titre du commerce électrique.

 

Ce ne sont pas les petits agriculteurs, loin s’en faut.

Mais ces grandes sociétés agricoles,  ne devraient-elles pas faire l’effort d’installer des bâches de réserve d’eau ou des citernes préfabriquées  sous ces milliers de m² de  hangars,  afin d’aider la nature concernant l’irrigation de leurs centaines d’hectares de maïs ou de tournesol au lieu de puiser dans les nappes phréatiques ?

Cela éviterait de réduire par les  périodes que l'on connait de réduire , été comme hiver le niveau de ces nappes qui ont été encore très basses cette anné et d'éviter ainsi les préfectures du Nord- Pas-de-Calais, Hauts de France et ailleurs de réglementer l'usage par des restrictions aux usags particuliers, restrictions qui auront durées plus d'une année en 2019 et début 2020 !

 

L'irrigation de milliers d'hectares de culture; des solutions de réserves d'eaux pluviale : Un choix pour la préservation des nappes phréatiques !

Des citernes couplées au sol au bassin de rétention de 10 à  300 m3 ou de la citerne souple de 30 à 600 m3.
Des citernes couplées au sol au bassin de rétention de 10 à  300 m3 ou de la citerne souple de 30 à 600 m3.
Des citernes couplées au sol au bassin de rétention de 10 à  300 m3 ou de la citerne souple de 30 à 600 m3.
Des citernes couplées au sol au bassin de rétention de 10 à  300 m3 ou de la citerne souple de 30 à 600 m3.
Des citernes couplées au sol au bassin de rétention de 10 à  300 m3 ou de la citerne souple de 30 à 600 m3.

Des citernes couplées au sol au bassin de rétention de 10 à 300 m3 ou de la citerne souple de 30 à 600 m3.

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