Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Profitant de la pandémie, le macronisme au « galop » en profite-t-il pour mettre pour notre démocratie en danger …

29 Novembre 2020, 23:25pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Attention: Tout est bon dans l'Macron !
Attention: Tout est bon dans l'Macron !Attention: Tout est bon dans l'Macron !
Attention: Tout est bon dans l'Macron !

Attention: Tout est bon dans l'Macron !

Par l'AFP :

Loin du consensus, l'Assemblée nationale vote la prorogation de l'état d'urgence sanitaire...

Les députés et sénateurs n'ont pas réussi à s'accorder sur ce texte. La commission mixte paritaire s'est soldée par un échec. Les sénateurs souhaitaient ramener au 31 janvier 2021 la fin de l’état d’urgence sanitaire, imposer un vote du Parlement en cas de prolongation du confinement après le 8 décembre, permettre aux préfets d'autoriser l'ouverture des petits commerces pendant le confinement.

 

Le renouvellement de l'état d'urgence sanitaire lié au Covid-19 a été adopté par le Parlement après le vote en dernière lecture des députés, loin du consensus politique du printemps dernier.

Le désaccord entre les députés de l’opposition et le gouvernement s'explique par le vote de plusieurs amendements surprenants dans l'hémicycle.

Alors que l'Assemblée nationale avait adopté en première lecture le projet de loi autorisant la prorogation de l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 16 février 2021 comme le souhaitait l'exécutif, un amendement de la députée de Saône-et-Loire Josiane Corneloup (LR) a réduit cette prolongation au 14 décembre 2020.

 

Par ailleurs, un autre amendement - adopté lui aussi contre l'avis du gouvernement et du rapporteur Jean-Pierre Pont (LREM) - a été proposé par le député Paul Molac (Libertés et Territoires). Il prévoyait qu’aucune prolongation du confinement au-delà du 30 novembre ne puisse se faire sans accord du Parlement.

Adoptés tous deux dans un premier temps contre l'avis du ministre de la Santé, en raison d'un nombre insuffisant de députés de la majorité sur les bancs de l'Assemblée nationale.

Ce vote était loin de convenir à Véran, qui après avoir fait le rappel en « urgence politique » de ses moutons, remis l'ouvrage sur le métier pour le faire revoter

de nouveau et définitivement par l'Assemblée nationale le 7 novembre 2020, le texte prolongeant l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 16 février 2021, une « période de transition » étant établie jusqu'au 1er avril 2021.

 

De leur côté, les sénateurs avaient par ailleurs supprimé la prolongation du régime de post-état d’urgence sanitaire, réduit de 70 à 30 les habilitations demandées par le gouvernement, directement introduit plusieurs mesures urgentes dans le projet de loi et voté des amendements pour sécuriser les élections régionales et départementales de 2021.

Ces dispositions qui, elles n'ont plus été retenues dans le texte adopté définitivement par l'Assemblée nationale.

 

Il faut savoir quand même que les dispositions prisent par le « conseil de défense sanitaire » est composé par des participants « choisis par le chef de l'Etat » dont Véran, Salomon et quelques autres font partie. C'est donc un comité restreint dont les participants sont tenus au « secret défense » et supplantant ainsi le conseil des ministres, ce dernier devenant une chambre d'enregistrement. (tout comme d’ailleurs les chambres des deux Assemblées)

 

Le compte rendu public présenté en fin de conseil par le porte parole du gouvernement Attal (ou sa prédécesseure ) perdant largement de son intérêt !

Ce régime d'exception permanent donne au gouvernement le pouvoir de recourir aux ordonnances, de limiter drastiquement les déplacements, de confiner la population ou encore d’obliger certains commerces à fermer leurs portes.

Mais aussi de profiter de la confusion de la période pour imposer des lois néfastes à notre démocratie, qui depuis le passage de Sarkozy à Beauvau, puis à l’Élysée et aujourd’hui Macron -Castaner -Darmanin et les autres, réduisent chaque jour qui passe, nos libertés à peau de chagrin !

Et si il n(avait pas été équipé de caméras de surveillance ? Pour la "meute " de chiens de chasse à courre agglutinée sur une "biche au sol", cela serait pour Macron et  Darmanin une obligation de flouter ! Et si il n(avait pas été équipé de caméras de surveillance ? Pour la "meute " de chiens de chasse à courre agglutinée sur une "biche au sol", cela serait pour Macron et  Darmanin une obligation de flouter !
Et si il n(avait pas été équipé de caméras de surveillance ? Pour la "meute " de chiens de chasse à courre agglutinée sur une "biche au sol", cela serait pour Macron et  Darmanin une obligation de flouter !

Et si il n(avait pas été équipé de caméras de surveillance ? Pour la "meute " de chiens de chasse à courre agglutinée sur une "biche au sol", cela serait pour Macron et Darmanin une obligation de flouter !

Ici est le problème de la « loi sécurité globale »

 

que Darmanin veut faire passer à tout prix !

 

Nos « Liberté », « Égalité », « Fraternité » sont, elles aussi floutées ! Quant en aurait-il été du passage à tabac de Michel Zecler si ses caméras de vidéosurveillance n'avaient pas filmé les faits d'un passage à tabac par autre policiers en furies ?

Aujourd'hui, sans ces vidéos, le producteur de musique serait enfermé avec toutes les accusations de ceux qui l'ont tabassé et dénoncé dans leur rapport « détaillé  à charge » !

Qu'en sera-t-il d’ailleurs des sanctions promises par Darmanin : ont-ils eu droit aux prises de sang pour vérification de l’alcoolémie ou drogue, les dix voitures de polices venues en « renfort » sur les lieux, et le personnels arrivés sur place , n'ont-ils pas une certaine responsabilité pour « Non assistance à personne en danger ? » En cas de révocation « comme promis », ces ex-fonctionnaires de l’État, auront-ils droit après leurs « peines à une reconversion dans la police municipale ou dans les rangs de la milice Benalla ?

.

« Au pays des aveugles les éborgneurs sont rois » !

 

« Si les violences policières n'existent pas, pourquoi interdire de les filmer ? » « Au pays des aveugles, les éborgneurs sont rois ! »…

Des slogans ont brandis, samedi 21 novembre, part des dizaines de milliers de personnes, place du Trocadéro à Paris, malgré la muraille policière la fermant presque totalement.

A l'appel d'une soixantaine d'organisations syndicales de journalistes et sociétés de journalistes, dont celle de « l'Humanité, Amnesty International, la Ligue des droits de l'Homme (LDH) , une vingtaine de manifestations ont eu lieu partout en France, après les premières mobilisations le 17 novembre.

 

Citoyens et journalistes s'inquiètent de la dérive liberticide du gouvernement Macron et de ses moutons, qui s'expriment notamment à travers l'article 24 de la proposition de loi »sécurité globale » adopté le 20 novembre par  l'Assemblée.

Ce texte modifié de la loi de 1881 sur la liberté de la presse, en ajoutant un article qui punit d'un an d'emprisonnement et de 45 000 euros d'amende la diffusion, « dans le but manifeste qu'il soit porté à son intégrité physique ou psychique », de l'image d'un gendarme en opération » « il y a tentative nette du ministre de l'Intérieur de tenir les stylos des journalistes, leurs caméras et leurs images », a dénoncé Emmanuel Poupard, du SNJ.

 

Il n'y a qu'en France qu'on a ces problèmes de maintien de l'ordre. En Allemagne, en Grande-Bretagne, en Italie, les confrères journalistes hallucinent, c'est inexplicable ce qui se passe ici ! » a fustigé Emmanuel Vire, su SNJ-CGT.

Les opposants du texte ne sont pas convaincus par l’amendement porté par le gouvernement Castex, censé améliorer l'article 24. Le nouveau texte inclut, au début, la mention » sans préjudice du droit d’informer » et fait figurer un peu plus loin l'ajout « dans le but manifeste »…

 

Pire, le gouvernement persiste et signe, en étendant le nouveau délit aux polices municipales.

Pour Michel Philibert, membre du bureau de la LDH, c'est clair : « Il y a un glissement de la société dans le manière dont le gouvernement traite les droits de l'homme par un encadrement policier. »

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Commenter cet article