ÉTAT D'URGENCE SANITAIRE : où commence et où s’arrêtera la dictature macroniste ?
Blanquer mouille la chemise contre la Covid, se fichant pas mal des conséquences envers le corps enseignant, les enfants porteurs du virus et de la santé de leurs familles!
Après avoir ignoré les conséquences de la pandémie depuis plus d'un an et ses 100 000 victimes ( voir beaucoup plus ), l'exécutif et Macron s’adressent aux Français régulièrement pour les « endormir ».
Des millions de vaccins prévus et promis depuis de début de l'année 2021, mais des centres de vaccinations fermés par manque de doses...
Ils en sont même arrivés à envoyer les personnes âgées se faire vacciner chez les vétérinaires … Alors, pourquoi pas aujourd'hui envoyer ces mêmes personnes se faire implanter chez ces mêmes « vétos », une puce en guise de « certificat vert » qu'ils veulent faire voter prochainement par les Assemblées ?
Est-ce encore un mensonge d'Etat de plus sur le nombre de vaccins manquants pour la protection des Français? Après les masques, les respirateurs d’oxygène, les tests, etc. Ils n'en sont plus à un près !
L'appel à la rescousse des vétos, d'un gouvernement "hors course" depuis le début de la pandémie. Ce qui ne l'empêche pas de venir régulièrement parader sur les écrans pour affirmer son incapacité!
Un régime d'exception s'arrête, un autre commence...
Le Parlement, mis sous cloche depuis le début de la crise Covid
retrouvera-t-il un jour son rôle démocratique ?
Cela ne paraît pas être une priorité pour l'exécutif, qui s'apprête à prolonger les pouvoirs exceptionnels qui lui sont conférés dans le cadre de l'urgence sanitaire bien au delà du 1er juin prochain.
Par un projet de loi, consulté par France -Inter, le gouvernement prévoit de créer de nouveau un « régime transitoire » jusqu'au 31 octobre , reprenant la quasi totalité des prérogatives de l'état d'urgence.
Le premier ministre Castex pourra ainsi, par décret , « réglementer ou interdire (…) la circulation des personnes et des véhicules, « réglementer l'ouverture au public d'une ou de plusieurs catégories d'établissement recevant du public » ou encore « réglementer les rassemblements de personnes » si la circulation du virus le nécessite.
Avec le projet de loi, le gouvernement veut également poser la base juridique d'un passeport sanitaire, alors que le « certificat vert » ( prouvant qu'une personne est soit vacciné du Covid-19, soit négative à un test PCR, soit contaminée et guérie récemment ) doit être généralisé dans l'Union européenne avant l'été.
Si la commission européenne assure que ce « pass » ne sera pas préalable » à tout déplacement de personne, le texte de loi français envisagerait d'imposer aux voyageurs qui souhaitent entrer en France ou partir à l'étranger la présentation d'un certificat vert.
L'Assemblée nationale examinera le texte le 10 mai , le Sénat le 18, lors des débats qui promettent d'être houleux, alors que les oppositions dénoncent depuis plus d'un an la privation de leurs pouvoirs législatifs.