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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

UBÉRISATION EN RECUL.

26 Août 2021, 11:30am

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Coronavirus : les étudiants en en première année "santé" autorisés à réaliser des tests PCRCoronavirus : les étudiants en en première année "santé" autorisés à réaliser des tests PCR
Coronavirus : les étudiants en en première année "santé" autorisés à réaliser des tests PCR

Coronavirus : les étudiants en en première année "santé" autorisés à réaliser des tests PCR

Rappelez-vous : le 4 novembre 2020, en même temps que l'élection présidentielle aux États-Unis, celle de Biden à battu Trump, il y avait d'autres votations et referendums.

 

En Californie, la société post-esclavagiste Uber a dépensé 200 millions de dollars pour « gagner » le sien, connu sous le nom de l'article 22.

Il s'agissait de permettre que les chauffeurs ne bénéficient pas des droits des salariés.

Uber a suffisamment manipulé l'opinion pour obtenir 58,6 % de voix pour imposer un travail à la tâche sans « Sécu », ni retraite, ni chômage, ni protection face à la déconnexion... Certes les chauffeurs ( et les cyclistes de Deliveroo, etc) sont libres, mais ils n'ont aucun droit économiques » Moins que des esclaves.

 

Uber, heureux de l'article 22 californien, s’apprêtait à faire passer le même genre de loi dans toute l'Europe. Mais ils ont été heureusement bloqués partout, à Madrid et même à Londres. Et un juge californien, Franck Roesch, vient finalement de déclarer ce referendum anticonstitutionnel et son résultat inapplicable parce qu'il « restreint le pouvoir d'un futur législateur de définir les conducteurs basés sur des applications comme des employés soumis à la loi sur les accidents des employés.

Bonne nouvelle pour eux, les chauffeurs VTC devront être requalifiés en salariés, ce qui coûtera des milliards à Uber.

« C'est perturbant qu'il faille autant d’efforts pour faire connaître légalement une évidence », a commenté le syndicat états-uniens.

 

Signal utile en France, où l'on sait que Macron et son exécutif « en marche », veut accélérer « l'ubérisation » du salariat. Nous voilà d'ailleurs en ce moment confrontés à la multiplication autoentrepreneuriats et de free-lances pour effectuer les tests PCR :

des étudiants en santé se retrouvent embauchés, avec des contrats frauduleux ; low-cost et sans formation, par des sous-traitants privés alléchés par le fait que la Sécurité sociale paie cash à 100 %..

 

C'est de l'hippodrome de Longchamp que Le Maire et Le Roux de Bezieux, le patron du Medef ont lancé la fin du « quoi qu'il en coûte » Mais le « pognon de dingue »  continuera de couler pour le grand patronat et les milliardaires, amis de la macronie en place, aux dépends des artisans, cafés, restaurateurs et tous ceux qui ne sont pas dans leurs « petits papiers »

C'est de l'hippodrome de Longchamp que Le Maire et Le Roux de Bezieux, le patron du Medef ont lancé la fin du « quoi qu'il en coûte » Mais le « pognon de dingue » continuera de couler pour le grand patronat et les milliardaires, amis de la macronie en place, aux dépends des artisans, cafés, restaurateurs et tous ceux qui ne sont pas dans leurs « petits papiers »

« Le quoi qu’il en coûte, c’est fini », a lancé ce mercredi 25 août le ministre de l’Économie Bruno Le Maire à l’université d’été du Medef. Durant la crise sanitaire, "nous n’avons pas compté l’argent public parce que c’était responsable de le faire. Mais maintenant que l’économie française redémarre, que nous avons des perspectives de croissance à 6%, le quoi qu’il en coûte c’est fini », a-t-il asséné. « Nous sommes passés au sur-mesure, nous continuerons à soutenir ceux qui en ont besoin », a-t-il cependant ajouté devant les patrons réunis à l’hippodrome parisien de Longchamp.

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