La "Macro-bagnole" à 100 balles
Alors oui, Monsieur Macron et les différents exécutifs qu'il a mis en place depuis son avènement au trône élyséen (et même avant lors de sa période chez F. Hollande), n'a eu de cesse que de casser les acquis et les régimes sociaux obtenus par la Classe ouvrière (la France d'en bas).
Au troisième trimestre de 2016, l'endettement de la France était de 2160,4 milliards d'euros, soit 97,6 % du PIB (Produit Intérieur Brut).
Au troisième trimestre 2023, elle atteint le summum, la dette de l'État est à plus 3000 milliards – soit 111,9 % du PIB). Un endettement bien au-dessus de la moyenne des 27 pays de l'UE (83,7%) - juste devant la Belgique qui atteint une dette de 106 %.
Cet endettement coûte aux Français la modique somme de 40 milliards par an, pour le seul remboursement des intérêts de l’emprunt afin couvrir la dette...
Aujourd'hui, en bon samaritain, il propose (par une promesse supplémentaire…) la voiture du petit peuple à 100 euros par mois.
CENT EUROS, c'est la somme qui reste sur le compte bancaire de 31 % des Français dès le 10 du mois ( étude de l'IFOP l'institut de sondage).
Incidence directe du pouvoir d'achat des Français due à une inflation galopante que le gouvernement et Bercy n'arrive à contrôler que par des paroles et des promesses.
Comme il n'a pas su contrôler la pandémie de la Covid 19 en 2019, il continue de mentir sur la pénurie des médicaments de base (en rupture de stock) promettant toujours le « rapatriement des laboratoires pharmaceutiques dans l’hexagone). Mais ces médicaments, absents des officines, sont toujours un risque d’aggravation des maladies non soignées correctement, tout comme cela s'est passé lors de la pénurie des masques et autres lors de « l'apparition » de la Covid !
Paroles, promesses et baratins depuis plus de 7 ans ! Alors, la voiture pour les « Français d'en bas » : est-ce le remake de la voiture pour le « petit peuple » que nos voisins d'Outre Rhin ont connu dans les années 1933 ?