La natalité en France, un problème pour la macronie ...
La baisse de la natalité est un problème récurrent depuis des décennies pour une relève normale des emplois, ceci afin de financer les pensions de retraite par répartition de ceux qui ne seront plus en activité. Et non par capitalisation comme cherche à imposer Jupiter avec des rencontres « secrètes » avec la multinationale américaine BlackRock , et en accord avec ses amis les grands assureurs, le grand patronat et les banquiers.Le manque de main-d’œuvre dû à la natalité en baisse a été le leitmotiv des gouvernements formatés par Macron et ses acolytes, dans la seule optique d'imposer les lois scélérates sur la retraite à 64 ans.Avec 43 années de cotisations, sans prendre en compte les études longues de jeunes qui commencent dans la vie active à plus de 20 ans, (voire 25 ans), cela sans donner la parole aux représentants élus de l'Assemblée nationale, leur imposant le silence par l'instauration de l'article 49,3. Rien alors ne les empêchera à l'avenir de pousser le départ à la retraite des travailleurs à 75 ans, ou plus !Lors des « Trente Glorieuses » (1945/1975) la France avait bien besoin de main-d’œuvre afin de redresser son économie, les gouvernements de l'époque avaient bien compris la nécessité « d'introduire au cours des années, avec méthode et intelligence, de bons éléments d'immigration » (De Gaulle 1944)De Gaulle président, renouvelle l'appel aux migrants maghrébins. De 1950 à 1970 - 78000 ouvriers marocains avaient alors été recrutés pour extraire les dernières tonnes de charbon des mines et assurer la survie des hauts fourneaux et de l'industrie du pays. Ces ouvriers ont fait « tourner la machine France » malgré les discriminations par une certaine classe d'individus (toujours les mêmes ) dont ils faisaient déjà constamment l'objet.Aujourd'hui l’État Macron, et ses amis dite de droite, se réclament tous de « l'héritage de De Gaulle » ont pour seule préoccupation pour diriger la France, de ne pas oublier le dépôt de gerbes chaque année sur la tombe du général, afin de ne pas perdre le contact avec leurs électeurs qu'ils bluffent à chaque consultations électorales; mais surtout de penser à la démolition des droits sur l'immigration mise en place dans la Constitution de 1958.Rien à voir avec Ciotti - Marleix - Larcher - Retailleau – Darmanin et consorts, tous complices avec les extrémistes de droite, qui font la chasse à l'immigré afin de sauver leurs sièges le plus longtemps possible.La baisse des naissances n'a peut-être rien à voir avec des « congés parentaux » ou le « congé naissance de 6 mois » proposé par l'exécutif en place, sous la houlette du locataire de l'Elysée.Que feront les jeunes femmes qui après 6 mois d'arrêt rémunéré (on ne sait comment), quand elles devront reprendre leur place dans l'entreprise, alors que leur employeur aura trouvé une ou un remplaçant pour le poste laissé vacant ?Quelle sera la possibilité d'avancement pour ces jeunes mères de famille si celle-ci se retrouve en cinq ans à attendre deux ou trois enfants ?* Que sera-t-il proposé aux enfants pour leur avenir pendant la scolarité, compte tenu des difficultés engendrées après le Brevet des collèges, concernant le choix par l'apprentissage, la poursuite en seconde générale, ou en fin de premier cycle, ayant pour cause le fameux « Parcoursup » mise en place par Blanquer, mais jamais remis en cause par ses prédécesseurs ? Ou encore, lorsqu'il seront bloqués sur le choix des masters pour la simple cause d'un manque de place dans les universités et grandes écoles...Ce Parcoursup qui aujourd'hui pour un jeune en fin de 1er cycle, avec baccalauréat et mention AB - B ou TB, n'est absolument sûr de rien (exception faite pour ceux inscrits à Stanislas) sur ses choix et les propositions faites par l'administration où il risque de se retrouver aux quatre coins de la France dans d'autres filières ?Les études de médecine bloquées par le numerus clausus, malgré une loi Santé sortie en 2019, qui souhaitait mettre ainsi fin aux déserts médicaux (sans grands résultats à ce jour) sachant que les futurs médecin diplômés d’État de médecine générale sortiront au plus tôt en 2030.* Que les étudiants sont de plus en plus nombreux à travailler le soir pour payer les inscriptions en fac ou ailleurs et qui ont de plus en plus recours aux aides alimentaires.* Sachons qu'aujourd'hui 9,2 millions, (soit 15 % de la population) sont pauvres.* Que 5 % des Français ne mange pas à leur faim. (source Secours populaire)* Plus de deux mille enfants vivent dans la rue.* Plus de 330 000 adultes sont sans domicile fixe. (fondation Abbé Pierre)* La France compte 4 ,1 millions de mal-logés et plus de 6 millions de demandes de logement en attente.* Que des jeunes célibataires ou en couple vivent encore chez leurs parents à l'âge de plus de 25 ans, faute de CDI afin de prétendre à la location d'un HLM.Alors que la France compte 1 % des plus riches, qui s'accaparent la majorité des richesses produites et disposent de tous les pouvoirs.Que penser des familles qui rêvent encore d'une famille nombreuse ?