Bulletin municipal n°40 : enfin... après 7 mois de censure !

Voici le texte "entier" proposé pour publication dans le prochain bulletin municipal de Saint-Saulve, à paraître... prochainement. Bonne lecture !

Meilleurs vœux à tou(te)s pour cette nouvelle année 2014

En 7 mois, aucune édition du bulletin municipal ! Une censure supplémentaire à la parole des élus d’opposition, alors que leurs interventions sont souvent coupées en Conseil et oubliées par les médias.
 
Promesses tenues par la majorité pour une « certaine Classe à Saint-Saulve » qui exécute des travaux de prestige ou inutiles, que seule cette dernière peut payer (courts de tennis avec club house, stade de foot et vestiaires pour équipe de CFA, etc.). Ces dépenses pouvaient attendre des jours meilleurs et il aurait été préférable de penser à aider les jeunes chômeurs diplômés ou non, les personnes licenciées à 50 ans et qui se retrouvent au RSA pour vivre un mois, ou les personnes seules ou handicapées.
 
Plombée par des décennies de clientélisme, la commune est tenue en laisse par des propriétaires terriens « qui se font des retraites chapeau » et des promoteurs qui n’hésitent pas à mettre en œuvre des centaines de logements dans des terrains inondables. Malgré l’arrivée massive de logements neufs au Marais et dans différents quartiers comme le Rôleur, aucun investissement pour l’Ecole Publique n’a été engagé, principal « vivier » du Collège Lavoisier. Les nouveaux arrivants au Marais se retrouvent dans un secteur sans local d’accueil, sans commerce ni rien pour la jeunesse.
 
L’omerta est totale sur des travaux préparés en coulisse et « ficelés » par la Maire et quelques adjoints à qui la majorité a donné quitus à la signature à concurrence de 6 M€ TTC de travaux sans passer par la Commission d’Appel d’Offres. Un plafond ramené dans certaines communes du Valenciennois à 20 000 € ou moins !
« Ce ne sont plus à nos yeux que des commissions d’enregistrement ! »

L’écologie (matériel roulant propre ou récupération de l’énergie solaire sur immeubles municipaux), elle, est toujours trop cher ; ce sera à nos enfants et petits-enfants de rembourser les crédits pour penser à l’équipement d’une Ville du 21ème Valenciennois ».