J-L Borloo, élu de Valenciennes ?
Que pense-t-il de Valenciennes ? (ici, ce n'est pas l'étang du Vignoble !)
La France s’est dotée le 6 mai dernier d’un Président de gauche, mettant fin à 17 années de direction de droite à l’Élysée dont les 5 dernières années de « Sarkozisme » qui ressemblait, peut s’en faut, aux années noires que nos anciens ont connus malheureusement avant nous.
La politique extrême de démolition des acquis, hérités du CNR (Conseil National de la Résistance) et des dures luttes gagnées par nos aînés tout au long du siècle dernier, a remis en cause lesdits acquis en beaucoup moins de temps qu’il aura fallu pour les gagner.
Ce travail, un homme - J-L Borloo - qui se dit élu de Valenciennes mais dont on a pu compter ses apparitions dans la circonscription depuis huit ans, en a été le promoteur dans les différents gouvernements qu’il a si bien servi.
De Balladur, en passant par Raffarin et les deux gouvernemens de Fillon, il n’en a pas manqué une pour appuyer et faire voter à sa « Servante bien aimée » Cécile Gallez - qui l’a représentée à l’Assemblée Nationale toutes les lois sur le déremboursement des soins et des médicaments par la Sécurité Sociale, l’augmentation des tarifs de journées d’hospitalisations - la fermeture des unités hospitalières de proximité et des petites maternités. Rappelons ici, par exemple, la fermeture de la maternité de Condé-sur-l’Escaut ou la députée suppléante s’était engagée en son temps de tout faire pour sauver les emplois (VDN de l’époque), la réforme des retraites, la casse de l’École publique, la suppression de milliers de postes d’enseignants et la fermeture de classes, la fermeture des bureaux de postes, des perceptions et d’un nombre incalculable de services publics nécessaires à la vie rurale de notre pays, etc
Aujourd’hui, il voudrait remettre ça !
Pense-t-il que les Valenciennois ont la mémoire courte et qu’il va encore pouvoir leur conter fleurette pour retrouver une place à l’Assemblée Nationale dont il y a encore peu de temps, il en été complètement désintéressé, son ami Sarkozy lui ayant promis une place de Président d’une grande société multinationale à 200 000 euros par mois (plus de 165 SMIC par mois).
Ce qui n’est peut-être pas perdu car d’autres propositions sont encore à l’étude par ses amis.
Que penser de sa « suppléante » (encore une fois) qui disait à qui voulait l’entendre qu’elle « raccrochait » et ne prendrait plus de mandat ; et qui après avoir été remercié par ce même J-L Borloo pour service rendu pendant 8 années, revient au service du candidat « fantôme » qu’il fut dans sa circonscription pendant deux mandats complet et qui se présente en « sauveur » de l’emploi et de toutes les promesses que l’on voudra bien lui entendre dire.
Elle sert, en étant encore une fois son « porte-valises », la caution d’un sac vide !
Alors, malgré les bâtons dans les roues qu’il faut s’attendre à recevoir d’une « Union Européenne » dirigée par les technocrates de Bruxelles et la droite libérale des pays "satellites"qui l'on rejointe, il faut une France forte sur sa gauche et il nous faut résister afin de mettre en place une vraie politique de gauche dans notre pays.
Une vraie gauche, avec des élus qui auront le courage de dire NON au nom du peuple qui les aura mis en place à l’Assemblée Nationale et qui feront comme le Peuple d'ISLANDE qui a refusé de payer la dette des banques ou le Peuple IRLANDAIS qui a déjà dit non deux fois au référendum sur le traité de Lisbonne et qui vient encore d’être consulté par son gouvernement de droite libérale jusqu’au moment ou le "oui" l’emportera pour se conformer au dictat de Bruxelles.