Maison de retraite Notre-Dame de la Treille (Valenciennes) : on ne nous dit pas TOUT !
Le transfert projeté par la ville de Valenciennes de la maison de retraite « Notre Dame de la Treille », au square du Rieur (article paru dans la Voix du Nord du dimanche 30 octobre dernier) nous laisse à penser que le travail de préparation du projet a été, comme à l’habitude de la part des édiles de la Ville, établi sans aucune consultation des riverains et arrive à la discussion lorsque la majeure partie du dossier est prêt.
Il reste à Valenciennes-Ville 2 parcs de verdure : le jardin Plumecoq (Square du Rieur) et le parc de la Rhônelle. Faut-il alors croire que la Mairie de Valenciennes, qui ne veut plus de voiture en ville, ne veuille plus de personnes âgées en son centre ?
Alors, pourquoi ne pas avoir prévu une surface constructible sur la zone franche de « Forgeval » ? Cette zone franche est-elle réservée aux seuls cabinets médicaux qui vont s’y installer afin de bénéficier des avantages fiscaux et de certaines déductions sur les charges sociales qui les accompagnent ?
Il faut savoir, que beaucoup de cabinets médicaux installés sur la zone franche de « Val Santé » à Anzin, ancien bâtiment de la direction Vallourec, arrive en fin de contrat « zone franche » et vont ainsi déménager sur celle de « Forgeval ». Ni aurait-il pas de surface suffisante pour y installer une « maison de retraite » de 70 chambres, le commissariat de Valenciennes étant prévu de déménager aussi dans cette zone ?
Le bâtiment de la maison de retraite « Notre Dame de la Treille » actuellement installé au 78 rue de Paris, fait parti du « Vieux Valenciennes » et est inscrit en partie par les Bâtiments de France. Y a-t-il derrière tout ça une bonne affaire immobilière qui couve ?