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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

En 1940 les fils de migrants se battaient pour la démocratie française jusqu'à en mourir.

18 Février 2018, 17:46pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Il est certain  qu'au lendemain  de la 1er guerre mondiale, le gouvernement français ne chassait pas les migrants et ne les enfermait pas dans des « camps de rétention » ? Leurs descendants reconnaissants jusqu'à en mourir pour le pays qui avait accueilli leurs familles, ont été jusqu'à la fin de leur calvaire pour  sauver la démocratie française du nazisme et de ses collaborateurs français.dénonciateurs ou tueurs?

Il est certain qu'au lendemain de la 1er guerre mondiale, le gouvernement français ne chassait pas les migrants et ne les enfermait pas dans des « camps de rétention » ? Leurs descendants reconnaissants jusqu'à en mourir pour le pays qui avait accueilli leurs familles, ont été jusqu'à la fin de leur calvaire pour sauver la démocratie française du nazisme et de ses collaborateurs français.dénonciateurs ou tueurs?

A Anzin, l'hommage à Eusebio Ferrari et à la jeunesse résistante.

 

Le 17 février dernier a eu lieu à Anzin, le vernissage de l'exposition en hommage à la jeunesse résistante contre le nazisme lors le la guerre 1939/1945,

Il y avait beaucoup de monde le 17 février à Anzin, pour inaugurer l'exposition en hommage à Eusebio Ferrari est à toute la jeunesse résistante du Nord-Pas-de-Calais.

A un jour près, cette date coïncide avec l'anniversaire de la mort de ce jeune Résistant, tué d'une balle de mousqueton à bout portant par un gendarme français, le 18 février 1942 dans le quartier de la Bleuze Borne à Anzin.

Avec cette exposition, l’Association du souvenir d'Eusebio Ferrari et de la jeunesse résistante du Nord-Pas-de-Calais espère mieux faire connaître l'action de ces jeunes qui on su résister à l’oppression,

 

Né en Toscane à Pitegho le 9 octobre 1919, le jeune Eusebio était arrivé dans le Nord à Fenain, avec sa famille antifasciste réfugiée en 1923, alors qu'il n'avait que quatre ans.

Excellent élève, devenu électricien à la verrerie d'Aniche, il s'est très tôt investi dans les jeunesses communistes.

Enthousiasme pour la cause de l'Espagne républicaine, il participa aux comités d'aide. Avec l'occupation en France, il s'engage dans la résistance communiste. Le 14 juillet 1940, il badigeonne cette inscription sur les murs de Fenain : « Courage et confiance, nous vaincrons » avec faucille et marteau.

Au cours de l’organisation spéciale de combat (OSC) qu'il a créée avec d'autres jeunes militants, il passe dans la clandestinité et organise sabotages et attentats. Recherché par la police française et allemande, il est tué le 18 février 1942 alors qu'il était cerné. Il n'avait que 22 ans

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