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Cellule PCF ''Plantive'' de Saint-Saulve

Les nuls de « La République En Skis » nous gouvernent...

18 Mars 2019, 18:16pm

Publié par Cellule PCF de Saint-Saulve

Acte XVIII : Ils vont attendre combien d'années avant d’arrêter de rejeter leur incurie sur les Gilets jaunes et les hauts fonctionnaires ?

Acte XVIII : Ils vont attendre combien d'années avant d’arrêter de rejeter leur incurie sur les Gilets jaunes et les hauts fonctionnaires ?

Depuis la déclaration de la première manifestation des Gilets jaunes début novembre 2018 pour le samedi 17 du même mois : il s'en est passé dix huit à ce jour.

Un gouvernement de rigolos et un chef « seul maître à bord » comme ce dernier la belle et bien prouvé lors du « licenciement » du chef d’État major des Armées Pierre de Villiers. Un militaire de haut rang qui a certainement eu au long de sa carrière eu plus de titres glorieux à son actif, que « ce petit chef »

 

Mais qu'ont-ils fait depuis bientôt cinq mois, à l’exception d’essayer d'endormir le peuple.

 

Dans un premier temps les Gilets jaunes se battaient pour le pouvoir d'achat qui est en baisse constante depuis plus de 25 ans. La revalorisation des pensions et contre la hausse des carburants par une taxe supplémentaire « écologique » de 7 centimes le litre.

Alors que le prix du gasoil battait tous les records jusqu'à 1,53 €/L, dès les premiers samedis du mouvement des Gilets jaunes, Jupiter a décidé d'ajourner cette taxe injustifiée en décembre 2018 pour six mois,

 

Une taxe inventée non pas pour aider les recherches écologiques, mais bien un programme de taxes pour remplir les caisses de l’État, sur le dos, une fois de plus, des salariés.

Il faut rappeler qu'à ce jour, l'annulation de taxe court encore pour quelques semaines, mais, le prix du gasoil, comme celui de l'essence ont déjà bien rattrapé leur retard et arrivent aux prix de 1,50 €/l à ce jour.

 

Malgré une stagnation du prix du baril de pétrole au 15 mars 2019 de 57,74 $, soit 50,70 €uros le baril, alors qu'en 2012, le même baril valait 109,87 $ et en 2014 il était de 96,29 $.

Tous ces bénéfices iront, n'en doutons pas dans les coffres de TOTAL et autres pétroliers, qui eux ne paient pas d'impôt ou très peu en France.

 

Toutes les questions relevées par les Gilets jaunes et les citoyens, sont restées en sommeil depuis janvier, après que l’exécutif et son « chef » aient décidé du « grand débat national » qui n'en doutons pas, n'aura été qu’un leurre de plus pour endormir les Français et à faire des courbettes aux maires qui ont accompagné ce grand « déballage » pour effacer son absence à leur congrès. .

 

Le 18e samedi des Gilets jaunes est une honte pour un gouvernement qui aura laissé les forces de l'ordre avec un effectif réduit de moitié, par rapport avec la manifestation du 8 décembre dernier, en laissant les black bloc exécuter leurs démolitions et pillages..

Ils étaient un minimum de personnels pour contrôler les Gilets jaunes se rendant sur les Champs Élysées, laissant aux groupes de « black bloc » la possibilité de passer sans problème au travers des « filets. »

 

Pourquoi avoir laissé ces « blousons noirs » modernes, casser à tout va, sans aucune intervention policière ; attendaient-ils des ordres politiques d'en haut : ordres qui sont arrivés après la casse. Le seul travail de cette journée des « Castaner et Nuñez » n'auront été que de détailler aux médias le calcul toutes les heures des manifestants arrêtés et les mises ne garde à vue. »

 

Aujourd'hui, c'est un président rappelé en catastrophe à Paris, le privant d'une journée de plus de Sport d'hiver. Le problème pour Macron et son équipe rassemblée d'urgence fut d'annoncer, ( pour apaiser les esprits ) « que les Gilets jaunes restaient sur place Champs Élysées, étaient les complices des black bloc. » Toujours des mots simplistes à la « Griveaux ou Castaner » pour rendre les gens plus dociles.

 

La solution facile a été de trouver un fusible afin de couvrir les responsables politiques Philippe, Castaner, Nuñez et Belloubet de leur incurie à régir le problème des black bloc. Ils ont par contre su rejeter la casse, les pillages, les incendies et autres sur le dos de Gilets jaunes ; dans le seul but vicieux d'un pouvoir aux abois, de discréditer ce mouvement.

 

Ils étaient pourtant bien au courant des risques encourus par cette journée du 16 mars, aussi bien par les maires d'arrondissements, les professionnels du commerce, etc. Ceux-là mêmes qui avaient tiré la sonnette d'alarme huit jours plus tôt. L’exécutif a eu l'audace de prévenir les préfets le vendredi dans l'après midi, ces derniers n'ayant prévenu les maires qu'en fin de journée.

Il est honteux de laisser briser les vitrines en verre feuilleté des magasins, de piller et de mettre le feu comme ils l'ont laissé faire, sans aucune intervention des forces de l'ordre. Ce genre de verre blindé ne se casse pas comme le verre simple d'un châssis de buanderie et il faut au minimum de 10 à 15 minutes pour en venir à bout.

Où étaient-ils donc ; les caméras, elles, étaient sur place, tout comme elles l'étaient à l'endroit où un policier s'est fait tabasser au sol par ces voyous.

Ces collègues sont venus à son secours, mais ont laissé filer le casseur sans l’appréhender. Avaient-ils là aussi eu des contre-ordres de leur hiérarchie : et de laquelle ?

 

                             Un autre problème tout aussi inquiétant ;   

Après les remarques de l'UE et de l'ONU sur les blessures graves dont les Gilets jaunes ont subi, suite aux lancers de grenades dispersantes ou du service des flash-ball (LBD) exportés de Suisse comme « armes de guerre », deviennent des « armes intermédiaires » en France. Ce tour de passe-passe sémantique facilite un usage massif et dangereux. Bien que les autorités internationales des droits de l’Homme pressent nos gouvernants d’ouvrir les yeux, ils commandent des LBD plus dangereux.   

 

                                                 Qu’en est-il de leurs cœurs arides ?

D'après l'agence de presse Taranis News, celle-ci a dénoncé dans une vidéo, dès samedi l'utilisation pour la première fois, la diffusion du gaz lacrymogène en poudre « CS » depuis un véhicule blindé afin de disperser une foule hostile dans le secteur de l'Arc de Triomphe, (publié par Orange et AFP-Services) et confirmé par le Sirpa Gendarmerie à Checknews ce dimanche.

 

Une première dans un pays « démocratique »

Selon le journal « Marianne », ce « dispositif du dernier recours permet de projeter sur 4 ha » un lacrymogène hautement concentré, « l'équivalent de 200 grenades d'un coup ». En décembre, un proche du préfet de police avait déclaré qu'il serait utilisé « si une foule importante était amenée à forcer les barrages du périmètre de sécurité » « en dernier ressort dans le but de les stopper ». « Ils sont conçus pour protéger le véhicule s'il était pris d'assaut par des assaillants.»

S'ils devaient être actionnés dans Paris, ce ne serait qu'après sommations d'usage avait expliqué à Marianne le Colonel Carminache.

Toujours selon le site, le dispositif ne pouvait être employé que sur « autorisation expresse » du Préfet de Police, Michel Delpuech, qui servit aux « pieds nickelés » dès le lendemain de fusible, renvoyé sur le coup dans ses foyers.

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